samedi 8 février 2020

Le tonnerre de Brest.




Le 23 Janvier 2020 je tombe (rassurez-vous je ne me suis pas fait mal) sur un article de 20 minutes.fr suivant une dépêche (allah ligne) de l’AFP dite souvent Agence France Palestine, très politiquement correcte, malgré le fait que l’on y parle de terrorisme «islamique». Il convient de préciser que les journaleux de l’AFP, tous extrémistes gauchiasses et marxistes staliniens antisémites sont sous traitement de trois cachets de 100mg/ jour de Padamalgam, d’un cachet de 500mg/ jour de Cépalislam et d’une cuillère de sirop antidéséquilibre.

L’AFP, le 23/01/20 titrait : Brest: Sept individus soupçonnés de terrorisme transférés au siège de la DGSI.                                  Les «individus», Ce doit être comme «hommes» ou «jeunes hommes» ? Vous aurez remarqué le terme de «soupçonné» de terrorisme sans qu’on sache de quel terrorisme il s’agit, quoique maintenant la plupart d’entre vous en ont une petite idée, non ce ne sont pas des Témoins de Jéhovah ! Les piteux journaleux de l’AFP ne précise pas de suite que ce fameux «terrorisme» (appelé souvent à tort terrorisme islamique, notamment par les affreux gauchos de l’AFP, allah culture de porcs et de chiens galeux) est celui qui fait référence aux attentats et aux autres actions de terrorisme commis par des mouvements islamistes exclusivement composé de musulmans. Le terme de «terrorisme musulman» est utilisé plus rarement bien que parfaitement juste, mais terrifiant carrément les journalistes marxistes culturels et gauchistes occidentaux tous très politiquement corrects. De même, le terme «radicalisation» est souvent associé aux terroristes musulmans  et fait aussi l'objet de discussions sémantiques. Antoine Jardin, ingénieur de recherche au CNRS, estime ainsi qu'«il ne s’agit pas d’un concept scientifique rigoureux. «Radicalité» est devenu un mot fourre-tout pour désigner vaguement ce qui est perçu comme une menace non maîtrisée et un label hasardeux des politiques publiques dans un contexte de montée de la violence djihadiste musulmane depuis les attentats commis en France par Mohammed Merah en 2012».


L'objectif visé par le terrorisme musulman est la promotion d'une vision religieuse musulmane et radicale du monde et les organisations qui l'utilisent le perçoivent comme un commandement divin. En quarante ans, le terrorisme musulman a provoqué la mort de plus de 170 000 femmes, enfants et hommes sur la planète. Bien que dans sa définition strictement religieuse le djihad ne soit pas spécialement lié à la politique ni à la violence, au début du XXIe siècle il est étroitement associé à l’Islam et a pour but de «contraindre [des États] à un retour aux prétendues lois de «Dieu» et à la société prophétique de l’islam originel [et] à épurer l’ordre politique en place».
 
Ce terrorisme violent  trouve son fondement dans le Coran notamment : I. Sourate 2 (La vache), versets 190-193 : Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs ! Et tuez-les , où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés.
Aussi dans : II. Sourate 2, verset 216 : qui précise que le djihad est bien une  obligation coranique : Le combat vous est prescrit alors qu’il vous est désagréable.
La Sourate 4, verset 95 donne une supériorité aux musulmans djihadistes sur les autres hommes : Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux (…) ceux qui luttent (idée d’effort, de combat) pour l’expansion et la défense de la «vraie Religion», (…) Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un degré d’excellence sur ceux qui restent chez eux (…) Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense.

A la suite de ces élucubrations barbares et antisémites, la France vit sous la menace terroriste musulmane constante depuis le début, en 2015, d'une vague d'attentats criminels dits bêtement djihadistes qui a fait au total 255 innocentes victimes, sans compter les viols, vols, agressions diverses et variées.
Toujours le 23/01/20 l’AFP, continue avec : Ils ont été interpellés lundi à Brest par le GIPN et le RAID. Les enquêteurs ont découvert des documents de propagande lors des perquisitions.
Auraient-ils découvert un Coran ? Rappelons que ce «livre» appelle à massacrer allégrement les chrétiens, les juifs et les mécréants !
Ils ont quitté le Finistère pour Paris. Les sept «hommes» interpellés lors du coup de filet antiterroriste musulman à Brest ont été transférés au siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret dans le cadre d'une information judiciaire pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Agés de 16 à 38 ans, les sept individus sont suspectés d'avoir préparé un projet «d'action violente» en France notamment ils projetaient de commettre des attentats à l’arsenal de Brest, la base navale militaire de la ville, ils auraient aussi envisagé un départ vers la zone irako-syrienne.
Le personnage central de cette affaire semble bien être Wahid Bouraya, né en Syrie et arrivé en France en 2015 avec un passeport palestinien (Tout un programme de haine). Il avait obtenu le statut de réfugié. Un commerçant brestois, responsable d’une boucherie halal en haut de la rue Jean-Jaurès à Brest, fait également partie des suspects. Wahid est le neveu d’une dame très proche de la municipalité PS brestoise (Louisa Bouraya arrivée en France en 1967) et qui avait été faite chevalier de l’ordre national du mérite et présidente de l'association ICI Femmes d' Europe et d' Ailleurs, Wahid comme plusieurs individus interpellés lundi, faisait l’objet d’une fiche S en raison de son appartenance à la mouvance islamiste radicale (ce qui ne signifie pas grand-chose pour le coup, étant donné les innombrables fichés S de France pour un oui ou pour un non, la fiche S étant un simple outil de suivi administratif). Ce commerçant brestois est par ailleurs soupçonné d'avoir voulu se rendre en Syrie en septembre 2014, en compagnie de son épouse (Donia Bellec, une bretonne convertie à l’Islam), décrite par les «autorités» comme radicalisée, (elle porte le voile intégral dans l’espace public, exprimant ouvertement ses convictions extrémistes et sa négation des valeurs républicaines) et de leurs deux enfants mineurs.

Au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, le propriétaire de la boucherie, Mouhammad D. soupçonné d'avoir appartenu au groupe Etat islamique ou Daech avait été interpellé après avoir mimé un tir à l'arme automatique au passage d'une patrouille de police.


Après son interpellation, 15.000 euros avaient été découverts à son domicile ainsi que des images de propagande musulmane islamiste, selon le quotidien régional Le Télégramme. Cette affaire lui avait valu une condamnation à trois ans de prison avec sursis pour «apologie du terrorisme». 
Si aucune arme et aucun explosif n'ont été découverts lors des perquisitions menées lundi, les enquêteurs ont néanmoins mis à jour plusieurs découvertes inquiétantes comme des tutoriels récemment téléchargés permettant la confection d'explosifs ou de poison, mais aussi du matériel de propagande et plusieurs allégeances au nouveau calife de l'Etat islamique.
Interrogé sur BFMTV jeudi matin, le secrétaire dEtat à lIntérieur Laurent Nuñez a rappelé que le risque terroriste musulman demeurait «très élevé» en France en précisant que 60 attentats avaient été déjoués depuis fin 2013. «On saura à l’issue de ces investigations si nous avons eu, ou pas, le 61e», a-t-il indiqué.

Je me sens obligé de dire encore une fois un très grand merci à toutes ces associations d'accueil et de défense de ces chances pour la France comme le Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigrés), La Cimade, le MRAP, etc. etc.

Les sept suspects interpellés lors du coup de filet antiterroriste musulman dans le Finistère, parmi lesquels figure un de ces fameux «réfugiés» ont été mis en examen et placés en détention provisoire, a-t-on appris samedi de source judiciaire. Selon des sources concordantes, ils sont soupçonnés d’avoir préparé un projet d'«action violente» en France.

Ces sept hommes, âgés de 16 à 38 ans, ont été mis en examen vendredi par un juge antiterroriste parisien pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle ».
On en sait un peu plus aujourd’hui sur la prétendue opération terroriste musulmane que préparaient soi-disant les sept hommes interpellés, lundi 20 janvier 2020 dans le quartier de Pontanezen, le Bab el oued de Brest (Finistère), et dans les communes de Guissény et Loc-Eguiner. Une source proche de l’enquête a confirmé des informations de la radio Europe 1 que les sept suspects comptaient s’en prendre à l’arsenal de Brest et aux festivités prévues aux Capucins le Nouvel an chinois. La radio France Bleu évoque d’autres cibles : le carnaval de Brest, les « gilets jaunes » ou encore des policiers en contrôle.
Monsieur Patrick Le Fur, délégué départemental du Rassemblement National, estime lui que «la menace se précise» et qu’à Brest,  le communautarisme règne en maître». Il constate que «les agressions, les vols et les différents trafics se multiplient jusque sous les fenêtres de la mairie» et dénonce «un laxisme suicidaire de la part des autorités en place». L’occasion pour lui de réclamer «une politique de fermeté contre les personnes hors République».

Affaire à suivre…

Maurice.



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vendredi 23 novembre 2018

AIRBNB ANTISEMITE.



C’est sous la menace d’associations gauchistes et marxistes culturelles antisémites comme par exemple en France l'association marxiste et antisémite  BDS, qu’Airbnb ne proposera plus de location en eretz Israël dit aussi Cisjordanie, car ses associations d’antisémites notoires condamnés comme tels, notamment le PC dit F dont le dernier congrès s’est tenu dans une cabine téléphonique, pour incitation à la haine raciale, arguent qu’un prétendu  «droit international» considèrerait la présence israélienne sur ces terres comme illégale.
Il est bon de savoir qu’aucun «droit international» n’existe pour ce cas, en effet la résolution UNSC 2334, comme la plupart des autres déclarations ou résolutions de l’ONU ou d’autres instances internationales prétendant mettre fin à «l’occupation israélienne» en Cisjordanie et à «Jérusalem-Est» et défendre les prétendus «droits du peuple palestinien», affirme de manière axiomatique qu’Israël n’est en l’occurrence que l’occupant militaire de territoires qui lui sont étrangers et sur lesquels il ne détient aucun autre droit. Or cette affirmation est fausse. En effet, aux termes du droit international, la Cisjordanie et «Jérusalem-Est» appartiennent toujours, depuis le 23 décembre 2016 à la Palestine, telle qu’elle a été créée par une déclaration des Grandes Puissances adoptée lors de la Conférence de San Remo, le 25 avril 1920, et par un mandat de la Société des Nations (SDN) adopté le 24 juillet 1922. Cette Palestine est explicitement décrite dans ces deux documents comme le Foyer National du peuple juif. Et l’état d’Israël en est depuis 1948 le seul successeur légal. Quelles qu’aient été alors les arrière-pensées stratégiques ou politiques des Britanniques, des autres Grandes Puissances et des membres de la Société des Nations (SDN), quels qu’ait été par la suite leur attitude, la création sous leur égide d’une Palestine/Foyer national juif, et donc, à terme, d’un Etat d’Israël, est pleinement valide selon le droit international public. Et donc irréversible. CQFD.
En France l'action d’Airbnb est illégale, maître Pascal Markowicz, avocat à la Cour, membre du Comité Directeur du Crif dira : «En menant ces actions commanditées par la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions (BDS), les boycotteurs pensent défendre les Palestiniens mais, en réalité, ils combattent la Liberté et la cause qu’ils pensent être juste par des moyens illégaux qui, en outre, conduisent à des dérives antisémites telles que :«Vite ramenez les étoiles jaunes et les pyjamas rayés, après les produits on va boycotter les Juifs» (commentaire d’un internaute après le Manifeste des 2000 personnalités pour le boycott sur le site BDS France)».

Nonobstant 200 logements vont disparaitre du site d’Airbnb qui cède aux mouvements de boycott d’ultra gauche marxistes culturels. Tsofiya Jacob est propriétaire d'un appartement Airbnb à Kfar Adumim et déplore cette décision. «Je sais qu'on est sur un territoire sensible, mais je retiens la beauté des lieux et le fait que l'on accueille tous les touristes, y compris les Palestiniens. Pour moi, cette décision c'est vraiment de la discrimination», regrette-t-elle. Discrimination ? Le mot est faible, c’est tout simplement de l’Antisémitisme !
Moria Shapira, elle, est propriétaire d'un appartement Airbnb à Adei-Ad. Elle aussi regrette cette décision : «Nous sommes sous le choc, car lorsque nous nous sommes inscrits sur Airbnb, nous avons dû signer une déclaration indiquant qu'Airbnb est une communauté mondiale qui accueille tout le monde». Accueillir tout le monde mais pas les juifs vous appelez ça comment vous ? Depuis plusieurs années, dans le cadre du conflit israélo-palestinien l'ONG d’ultra gauche Human Rights Watch (HRW) a été accusée de reportages déséquilibrés en défaveur d’Israël selon notamment Jonathan Cook. Ainsi, quand Human Rights Watch traite des opérations militaires israéliennes contre le Hezbollah au sud du Liban en 2006, le directeur national de l’Anti-Defamation League, Abraham Foxman, critique l'«immoralité» d’Human Rights Watch. Alan Dershowitz, professeur de droit, écrit dans The Jérusalem Post : «Quand il s’agit d’Israël et de ses ennemis, HRW manipule les faits, triche sur les interviews et met en avant des conclusions prédéterminées qui sont dictées plus par l’idéologie que par les faits». Pour moi cette ONG d’ultra gauche marxiste culturelle Human Rights Watch est tout simplement antisémite. Qui va en profiter ?
 
Les antisémites gauchiottes d’Human Rights Watch espèrent désormais que cet exemple quasiment nazi sera suivi. Cette décision d'Airbnb intervient alors qu'Israël connait un record de fréquentation touristique. Nous appelons Airbnb à revenir immédiatement sur sa décision. Il serait éminemment ennuyeux qu’Airbnb soit accusé de vouloir exterminer la fille de Sion !

Pour le secrétariat international du CTECNA. Michel Alain Labet de Bornay



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