Quand la gauche Française banalise la violence des Nazis et celle de Vichy.
Après les cinq en tricot de Pau, c’est le tour des quatre ou cinq ou six ou sept de Tours et d’ailleurs.
Bien me direz vous ; mais que vient faire ici un article sur les grotesques mouvements de gauche socialistes, communistes ou trotskistes et leurs sempiternels cortèges de sois disant « humanistes » souvent « Oummanistes » et autres « collectifs » nidoreux et associations tel la LDH, le MRAP National, SOS Racisme, RESF, GISTI, Europalestine, etc. etc.
C’est simple, amis sionistes et patriotes Français, ces gens là,la plupart des fonctionnaires de l’éducation nationale payés par nos impôts, sont impliqués à plus de 90% et pour certains à 150 % dans les groupes d’antisémites BDS, ces gens là vomissent dans leurs « manifestations » des slogans antisémites et les font éructer à des immigrés clandestins en situation irrégulière , des hors la loi, des voyous grossiers qui hurlent leur haine de la France qui les nourrit, les soigne gratuitement et élève tout aussi gratuitement leurs enfants au frais des contribuables, c’est inadmissible dans une démocratie. Nous possédons bien sur les vidéos probantes ! Cet article est la suite logique de celui-là : ras-le-front-de-gauche-antisemite. Et de celui-ci : les-cinq-antisemites-de-mulhousel
Rabbi Na'hman de Breslev, dans Liqouté Moharan I, 54 a dit : “L'aspect essentiel de la mémoire est celui qui consiste à se souvenir du Monde à venir.”
En juillet 2008, la famille Kuka, des immigrés clandestins en situation irrégulière, de nationalité Albanaise, avec deux enfants de 5 et 7 ans, a été mise en attente de retour dans leur pays d’origine, au Centre de Rétention Administrative d'Hendaye, sur décision du préfet des Pyrénées-Atlantiques, Monsieur P. Rey, qui venait tout juste d'être nommé à Pau.
La famille Kuka, comme tous les immigrés clandestins en situation irrégulière; n’avait pas vocation à encombrer le France de leur présence non souhaitée, ces « gens là » ont un pays à peu prêt civilisé, disposant d’écoles publiques ou règne la démocratie ( ?), au sortir d’une immonde dictature criminelle marxiste communiste Maoïste, ils ont aussi des papiers de ce beau pays, une république parlementaire, démocratique et représentative et on ne voit pas très bien pourquoi ces gens s’obstinent à vouloir rester en France un pays peuplé d’immondes racistes, alors que dans leur magnifique pays règne la paix, l’amour et la tolérance. J’oubliais de vous dire que les Albanais sont en majorité des sectateurs de Mahomet, qui comme chacun sait, sont tous remplis d’amour du prochain, de respect de la femme et de tolérance démocratique et républicaine.
Il faut dire toutefois que ces sectateurs sont pour le moins modérés, car en 1967, le gouvernement populaire communiste et démocrate stalinien et Maoïste de l’immonde saloperie rouge (et je suis poli) le dictateur communiste Enver Hoxha ferma démocratiquement tous les lieux de culte, interdit tout aussi démocratiquement la pratique de toute religion et déclara le pays officiellement et démocratiquement athée. Ce n’est qu’en 1990 à la libération que mosquées et très rares églises purent commencer à rouvrir leurs portes. Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont mortes sous la dictature communiste du musulman marxiste qui engagea des persécutions anti-religieuses criminelles jamais vues jusqu'alors.
Seulement voilà, le bon et juste retour aux frais de la république de cette famille Kuka (Cola ?) dans ce pays magnifique n’a fait pas que des heureux, il y a dans notre pays des droits de l’homme à nous, un « réseau », c'est-à-dire une organisation sans statuts juridique et existence légale chargée de détourner ou contourner les lois de la république, constituée d'un certain nombre d’énergumènes exaltés en relation directe ou indirecte les unes avec les autres proférant une idéologie marxiste et socialiste antirépublicaine nauséabonde et surannée. Cette organisation que nous pourrions qualifier d’association de malfaiteurs antisociaux est une véritable et nidoreuse toile d’araignée, une nauséeuse nébuleuse d’ultra gauche marxiste dite : « Réseau éducation sans frontières ou (RESF) », c’est une organisation d’ultra gauche moralement décadente et à l’éthique républicaine élastique composé de « collectifs », de « mouvements associatifs anti-racistes », de « mouvements syndicaux d’extrême gauche », de soutiens politiques socialos communistes, tel Le Parti Socialiste, le Parti Communiste Français, et les voyous antisémites du NPA.
L'affaire aurait causé une vive émotion dans toute la France marxiste léniniste et trotskyste : « l'information » ayant été relayée par le Réseau éducation sans frontières (RESF), dont un « responsable » (sic ; voir note3 ), Jean-Jacques Le Masson, avait lancé sur Internet une invitation à écrire au préfet Philippe Rey (1) Celui-ci, qui venait tout juste d'être nommé à Pau, avait alors reçu plus de deux cent cinquante mails, ce qui est fort peu pour une soit disant « émotion » qui secoua la France tout entière.
L'action que chez ces « gens » là monsieur, on nomme « action citoyenne » n'autorise pas à employer l'invective et le mépris envers un représentant de l'État c’est une « l'atteinte à la dignité du préfet » et un « abus du droit à la liberté d'expression ».
Pierre Favre, Gérard Chevrot , Yves Ribault, Valérie Martinez,Eric Soares et Daniel Candas étaient donc convoqués devant le tribunal correctionnel de Pau en Juin 2010
Les six de Pau! Le préfet leur reprochant d’avoir : « … proféré à son encontre des accusations (…) allant jusqu’à établir un parallèle entre sa décision et les méthodes utilisées par les nazis et le régime de Vichy » (Philippe Rey - août 2008)
Le tribunal correctionnel de Pau a donc condamné le jeudi 10 juin dernier cinq internautes sur les fameux "six de Pau" à 1000 Euros d'amende avec sursis et un Euro au préfet.
Valérie Martinez, 45 ans, mère de famille et bientôt grand-mère, installée disquaire en Val d'Oise qui était poursuivie, a été relaxée. On suppose que le président du tribunal, Marc Magnon, a estimé que les commentaires qu'elle avait faits sur Internet ne relevaient pas de l'outrage. Elle avait écrit : «Je demande que cesse le scandale des rafles ». Dominique Noguères du barreau de Paris, (2) était venue pour défendre Valérie Martinez. Dominique Noguères, (membre du Bureau national de la LDH, vice-présidente nationale) qui a défendu Valérie Martinez est connue pour être l'avocate de l'auteur de « Casse-toi pauv'con ! » En juin 2009, madame Martinez est convoquée au commissariat d'Herblay afin d'être entendue. Elle apprend par les policiers la raison de sa présence : le préfet des Pyrénées-Atlantiques a déposé une plainte contre elle pour outrage. Elle doit alors s'expliquer sur le terme de « rafle » employé. « Je me souviens avoir demandé au policier de pouvoir consulter un dictionnaire pour connaître l'exacte définition. D'après le Larousse, rafle veut dire : opération policière menée à l'improviste dans un endroit suspect, aurait raconté madame Martinez. Pour moi le terme était approprié et n'avait aucune connotation historique. » Dans sa plaidoirie maître Noguères avait rappelé cette définition du Larousse : Rafle : Opération policière exécutée à l'improviste dans un lieu suspect. Mais bon sang ; mais c’est bien sur, les juges de Pau n’y ont vu que du feu et passez muscade. Toujours ces fameux « mensonges » par omission chers aux socialistes et autres marxistes ; amnésie, négationnisme, falsification, occultation, diversion: tout est bon pour cacher la réalité des propos socialistes en effet si au mot rafle on trouve dans le Larousse : Rafle : la fameuse « opération policière exécutée à l'improviste dans un lieu suspect » la présumée outrageante V. Martinez ,oublie ( sciemment ?) la suite qui est : en vue d'appréhender les personnes qui s'y trouvent et de vérifier leur identité :Exemple. « Être pris dans une rafle » et surtout la beaucoup plus gênante : « Arrestation massive de personnes »: Exemple donné par le Larousse : Les rafles du Vel'd'Hiv. (Voir Note 2 alinéa b). A qui Madame Martinez voulait faire croire qu’en écrivant le mot « Rafle » elle ne faisait pas référence à celle du Vélodrome d’hiver de sinistre mémoire ? D’autant que le mail reçu de Jean-Jacques Le Masson, porte-parole de RESF 64 y faisait explicitement référence dans sa conclusion (Voir en note 1 l’intégralité du « message » de Monsieur Le Masson) : « RESF64 demande à chaque citoyen de protester contre l'enfermement des enfants, acte indigne de la République Française, alors que les cérémonies de commémoration de la rafle du Vel d'Hiv ont lieu aujourd'hui et que l'honneur des Justes y a été rappelé. ».
Voyons maintenant d’un peu plus prêt qui sont ces fameux voyous condamnés de droit commun (*) au même titre que des voyous de banlieue voleurs de voitures ou arracheurs de sacs de vieille dame, qui avaient comparé la politique de retour au pays d’immigrés clandestins en situation irrégulière du préfet à celle de Vichy.
(*) Il n'y aura pas de second procès des « six de Pau », ces internautes que leurs supporters marxistes avaient ainsi surnommés lorsqu’ils ont comparu en juin dernier devant le tribunal pour outrage au préfet des Pyrénées-Atlantiques. D'abord parce que, à l'issue d'une mûre réflexion, le président du tribunal, Marc Magnon, avait décidé de n'en condamner que cinq, à 1 000 euros d'amende avec sursis, ensuite parce qu'ils ont tous décidé de ne pas faire appel de la décision. Ce qui m’autorise à les qualifier d’antisociaux (un comble !) dévoyés, inadaptés sociaux et autres noms qualifiant en Français les délinquants de droit communs sans qu’il y ait diffamation, leur condamnation étant DEFINITIVE ! Tout comme le MRAP National s’autorise à déclarer en première page de son site : « Un ministre condamné à l’instigation du MRAP pour injures raciale », bien qu’ayant fait appel !
La merveilleuse avocate paloise, Me Maripierre Massou qui se fait appeler Maître Labaquère présidente à Pau de la Ligue des droits de l’homme représentait les quatre coupable et définitivement coupables ci dessous.
Pierre Favre, professeur d’histoire géographie à la retraite, ex-officier de réserve, et depuis fondateur d’une compagnie de théâtre amateur “ Fun en bulle ” venu de Massongy (74)
Monsieur Favre, prend prétexte de son « humanisme » en disant : « Les gamins enlevés de l'école, cela m'a fait bondir ! » Comme si en Albanie il n’y avait pas d’écoles ? Il oublie avoir comparé le préfet à un Gestapiste en écrivant : « Voilà qui ressemble aux méthodes de la Gestapo ».
Yves Ribault, ancien conseiller pédagogique auprès de l’éducation nationale, ancien fonctionnaire de la république retraité à Granier en Savoie.
Lorsque c’est exclamé très justement le président Marc Magnon. « Ce n'est pas une déportation d'enfants. On ne les envoie pas dans des camps de concentration tout de même ! » Monsieur l’ancien conseiller pédagogique Ribault a rétorqué « Ce que je compare, ce sont les méthodes, les attitudes, je fais mon devoir de citoyen en interpellant le préfet. A quoi sert l'histoire si on ne peut plus y faire référence ? ». Oui peut-être Monsieur Ribaud, mais écrire à un préfet de la république : « Cela me rappelle une triste époque où on enfermait des enfants dans des wagons pour les envoyer en Allemagne » n’est pas bien digne d’un « citoyen » de la république Française ; D’autant que si l’Albanie est musulmane à 95% ; c’est faire un bien étrange amalgame avec l’Allemagne Nationale Socialiste ! Sans oublier son scandaleux : « Faudra-t-il restaurer bientôt le port de l’étoile jaune au pays des Droits de l’Homme ? En d’autres temps, d’autres fonctionnaires zélés ont obéi ainsi aveuglément, sans état d’âme... C’était à Vichy ! »
Daniel Candas, informaticien dans le Rhône
Daniel Candas, informaticien dans le Rhône, se souvient qu'il avait reçu plusieurs « cas » (sic) de familles expulsées et qu'il a adressé le même message à plusieurs responsables. « Les mots sont venus tout seuls, c'était l'excès, la colère », reconnaît celui qui a écrit : « Cessez de vous comporter comme des bourreaux nazis ! »
Éric Soares, médecin généraliste à Tonnay-Charente, avait adressé un mail insultant au préfet des Pyrénées-Atlantiques: « Je tombe des nues, j’apprends que l’on autorise l’enfermement d’enfants, cela me rappelle une triste époque où l’on mettait les enfants dans des wagons ». Et de conclure par « Bonne journée ».
Un an plus tard, il précisait : « Pour moi, il n'y avait rien d'insultant, Ce n’est pas comme si j’étais allé jeter des tomates sur sa porte», se souvient le médecin de Tonnay-Charente, Éric Soares, poursuivi pour avoir écrit : « Cela me rappelle une triste époque où l'on mettait des enfants dans des wagons pour les envoyer en Allemagne. » Et ça, Monsieur le condamné de droit commun Soares c’est ; INSULTANT !
Gérard Chevrot 62 ans, Après une carrière d’ingénieur, puis d’ingénieur-conseil, Gérard Chevrot s’adonne à l’apiculture, la botanique et aux échecs – tout en poursuivant son implication au sein du conseil municipal de Saint-Sixt (Haute-Savoie).
« Nous ne visions pas l'homme, nous visions la politique d'immigration mise en place par le gouvernement », justifie Gérard Chevrot, qui riait de cette « farce » dont il se serait bien passé. Il oublie qu’il a comparé le Préfet à Papon de sinistre mémoire ! En écrivant « Faut-il faire du chiffre quand on a de l'ambition comme Papon et ses chefs en d'autres temps ? » et ça le fait rire ? Le droit de l’hommiste à sens unique !
Au tribunal de Pau, un rassemblement de sympathisants avec les délinquants antisociaux avait eu lieu à l'appel de leurs complices d’RESF mais aussi d'Emmaüs, la Ligue des droits de l'homme, le Mrap, le Codeco (Comité pour la dépénalisation du délit d'outrage), le NPA, la FCPE, Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, conseiller délégué à la jeunesse à Pau. Madame le député maire socialiste de Pau, Martine Lignières-Cassou, était là aussi.
Des élus de gauche étaient aussi présents devant le tribunal avec notamment les maires Christian Laine (Lescar) et Jean-Yves Lalanne (Billère) et les conseillers généraux Georges Labazée (Thèze) et Margot Triep-Capdeville (Billère). « Le préfet Philippe Rey ressemble de plus en plus à Raymond Domenech : ses décisions sont aussi incompréhensibles que celles du sélectionneur de l'équipe de France de football », a lâché David Habib, député maire de Mourenx à l'issue de l'audience.
Les outrances de ces véritables antisociaux ne passent décidemment plus. Quel besoin avait ces marxistes et autres gauchos de ramener Vichy, voire la Shoah, dans l’affaire des justes expulsions d’immigrés clandestins en situation irrégulière ? De proclamer, urbi et orbi : “RESF64 demande à chaque citoyen de protester contre l'enfermement des enfants, acte indigne de la République Française, alors que les cérémonies de commémoration de la rafle du Vel d'Hiv ont lieu aujourd'hui et que l'honneur des Justes y a été rappelé. ”
Le procureur dans sa plaidoirie avait très injustement reproché aux inculpés d'être des « lettrés et des intellectuels », ce qui aurait dû leur interdire la pratique de la comparaison historique. Certes mais je ne suis pas d’accord, ce sont des délinquants en blouse grise bien sur mais des lettrés ? Que nenni monsieur le procureur, tout juste des endoctrinés marxistes et des intellocrates socialistes !
C’est confondre Roissy et Drancy, la déportation et l’aide au retour. Un peu forcé, le retour, mais quand même…
Pareil amalgame relève de la basse injure. Du coup, l’indignation change de camp. Ceux qui condamnaient - non sans arguments - la politique de “sécurité spectacle”, du président Sarkozy soutiennent désormais un Sarkozy calomnié. À l’attaquer trop grossièrement, ses ennemis lui rendent un fier service. Parce qu’en politique aussi, l’excessif devient vite “insignifiant”.
Jean-Jacques Le Masson, porte-parole de RESF 64 ; lui était entendu en qualité de témoin au même titre qu'Isabelle Larrouy du même « réseau » (RESF). (3)
Le sexagénaire et excellent Jean-Jacques Le Masson ancien conseiller principal d'éducation au lycée professionnel du bâtiment de Gelos près de Pau, ex secrétaire départemental de la FSU, (La fédération syndicale unitaire est la première organisation d’ultra gauche de la fonction publique d’Etat) aurait soit disant montré que la plupart des « gens » faisaient spontanément le rapprochement avec cette époque douloureuse (Vichy) quand ils apprenaient les « arrestations » de familles et d’enfants. Hors, dans sa « circulaire » véritable incitation à la haine, (Note (1) ) l’invitation à écrire au préfet adressée à ces « gens ») il écrit : « RESF64 demande à chaque citoyen de protester contre l'enfermement des enfants, acte indigne de la République Française, alors que les cérémonies de commémoration de la rafle du Vel d'Hiv ont lieu aujourd'hui et que l'honneur des Justes y a été rappelé. » Véritable instigateur de cette affaire, il aurait dû se retrouver sur les bancs de la correctionnelle de Pau.
L’énorme imposture, des quatre condamnés, cette véritable bande de voyous, de petites frappes intellocrates et autres abrutiles peu recommandables, au comportement exalté et inquiétant est de situer leur activisme sous la lumière pure et intouchable de leur sois disant humanisme !
Érick Maurel le procureur de Pau leur a dit : « La loi dans son application comporte une forme de violence. Que vous soyez humaniste, c'est votre droit le plus absolu, mais de là à faire la comparaison entre les faits actuels et l'histoire ! Ce que vous faites, c'est que vous banalisez la violence nazie et celle de Vichy. »
Des humanistes ces gens là ? Ce procureur a dû faire l’école du rire ! Ces « gens » là, monsieur le procureur, ces quatre voyous, sont de fieffés gredins marxistes et socialistes faisant partie de groupuscules d’ultra gauche dont le but est la prise de pouvoir par la révolution de façon à se maintenir au pouvoir sans légitimité, pour censurer démocratiquement la presse, éliminer démocratiquement les opposants, restreindre de manière démocratique ou supprimer démocratiquement les libertés individuelles les plus élémentaires, en fait établir la dictature, qui, même si elle est du « prolétariat » n’en reste pas moins une immonde dictature criminelle
En fait en opposant certaines classes sociales ou masses humaines à d’autres groupes, ils trahissent l’amour fraternel, cette fameuse FRATERNITE dont ces ostrogoths patibulaires se gargarisent continuellement, comme ils trahissent le liberté au nom de la dictature d’une classe sois disant opprimée, de même qu’ils ont trahis partout la notion d’égalité en droit des hommes, en voulant en faire une égalité entre chaque être humain contraire au droit naturel.
Certains hommes sont-ils naturellement excité ou est-ce le travail, ce pain qu'il faut gagner à la sueur de son front, qui les rend fous furieux et violents ? Sont-ils des énergumènes marxistes et des possédés communistes? Des exaltés socialistes? Des tristes? Des laids ?
Robespierre disait : « Songeons qu'il ne peut jamais être politique, quoi qu'on puisse dire, de condamner à l'avilissement & à l'oppression une multitude d'hommes qui vivent au milieu de nous. »
Avec ces quatre fripouilles véritables phénomènes socialos Marxistes exaltés, on a un exemple de ce que ces « réseaux » socialistes nidoreux et islamos marxistes possédés, avec leurs faillites humaines, l'océan des drames humains, tissent comme toujours un rideau de propagande mensongère d'où surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme.
Comme il n'est pas possible de critiquer votre point de vue, juste et historiquement fondé par la réalité des faits, il faut à tout prix le diaboliser afin que, quoique vous puissiez dire, les idiots utiles ne puissent l'entendre et encore moins le comprendre! Cette action réussit à neutraliser votre point de vue afin que les crapules et les escrocs socialos communistes puissent continuer à infecter la société!
La méthode commune et perverse des militants agités du bulbe du MRAP National, les forcenés du PCF, des canailles du NPA et des extravagants chenapans de RESF vise à faire croire que le communisme et l’antiracisme, seraient l'antithèse du nazisme, à un point tel que le monde se résumerait aux antiracistes mrapistofurieux et/ou communismes de RESF et du NPA et au nazisme. Avec mauvaise foi et terrorisme intellectuel (parfois même physique), l'avantage de ce stratagème permet de dénoncer comme nazi, tout opposant au socialo communisme. Ces sociopathes, par intérêt ou par bêtise, n'arrivent pas à imaginer qu'on peut être un libertarien sioniste anti-communiste, tout en étant anti-nazi. Ils piégent ainsi des millions d'idiots utiles! Qu'ils agissent par bêtise ou par intérêt, les communistes sont toujours des truands malsains et dangereux. Voir ici les liens évidents entre le NPA, RESF et la LDH (Note6)
Et ce n’est pas fini mon zami : Le vendredi 3 décembre 2010 à 9 h 30 par devant le tribunal correctionnel de Tours aura lieu le procès de Abd-El-Kader Aït Mohamed, Chantal Beauchamp, Jean-Christophe Berrier et Muriel El Kolli. Dit : Les quatre de Tours
En effet, à l’initiative du ministre de l’intérieur, monsieur Hortefeux, deux mirlitons du réseau RESF d’Indre-et-Loire, et deux du « collectif » Soif d’Utopies sont poursuivis devant le Tribunal correctionnel de Tours pour « diffamation publique » contre l’administration préfectorale : ils avaient aux aussi dénoncé dans des termes très outranciers les méthodes sois disant utilisées dans la lutte contre l’immigration clandestines dans le communiqué de presse de février 2010 signé du Collectif Soif d’Utopies et du RESF37 intitulé « Les Baleiniers » : « Cette technique de chasse aux enfants a eu son heure de "gloire" pendant une des périodes les plus sombres de notre histoire contemporaine. Les nervis de Vichy ont en effet utilisé les enfants pour pouvoir aider à la déportation de ces derniers et de leurs parents. II semblerait que certains fonctionnaires préfectoraux, particulièrement zélés, s’inspirent de nouveau de la chasse à la baleine. Actuellement, les fichiers, comprenant la liste des élèves et leur adresse (par exemple Base élèves), sont constitués dans chaque établissement. Certains fonctionnaires préfectoraux interviennent auprès des directeurs d’établissement pour que ceux-ci leur transmettent la nationalité des parents C’est illégal ! Il y a de réels soupçons en Guyane, en Ille et Vilaine et en Indre-et-Loire. » Les outrances de ces véritables antisociaux ne passent décidemment plus. Quel besoin ont ces marxistes et autres gauchos de ramener Vichy, voire la Shoah, dans l’affaire des justes expulsions d’immigrés clandestins en situation irrégulière ? L’utilisation par l’administration publique des fichiers publics de la « base élèves » n’a rien d’anormale, mais ses professionnels marxistes du mensonge et de la dissimulation nomment « action citoyenne », des actes de délinquance et ne les autorisent pas à employer l'invective et le mépris envers les représentants de l'État Français.
Abd-El-Kader Aït Mohamed (49 ans) Militant associatif, sans mandat, serait membre du secrétariat national de la gauche alternative, ce donne pour « profession » : « candidat malheureux aux législatives de Juin 2007 "Gauche Alternative 2007" associés à l'association SEGA (Solidarité, Ecologie, Gauche Alternative) » Avait essayé de s’inscrire sur Wikipédia (Suppression ICI) mais avait lamentablement échoué, notamment par ce que, se dire « Personnalité politique française » semblait très abusif et que la notoriété de ce militant associatif et politique semblait très limitée. Sa candidature aux législatives et le faible score obtenu, (0.87%)
par exemple, n'accréditaient pas la thèse d'une personnalité politique de premier plan et ne semblaient même pas en faire un « second couteau » de la politique. Il semblerait maintenant que ce présumé complice d’actes présumés délictueux demandeur d’emploi, qui se serait présenté comme chef de projet DSU ( ?) Indigène de la République de Tours qui ce dit militant et formateur de la Fase 37(Fédération pour une Alternative Sociale et écologique) ( ICI ) ancien de la CNCU (Voir ici le lamentable échec de la CNCU ) a perdu toute crédibilité politique. Chantal Beauchamp professeur d'histoire au lycée Grandmont de Tours
Jean-Christophe Berrier dit JiCé du « Collectif » dit « Soif d’utopie ». Nous ne doutons pas un seul instant que ce jeune fera valoir lors de son procès qu’il est un humaniste….. Hors ! Sur la profession de foi de son « collectif » on apprend tout le contraire… ils disent : « Nous sommes des êtres humains composant la classe des exploités et des dominés. Le collectif SOIF D'UTOPIES agit pour construire des convergences concrètes de luttes. Notre but est de favoriser la conscience et la lutte de classe des dominés et des exploités. » Source
Muriel El Kolli, du « Collectif » dit « Soif d’utopie » et « militante » du comité de défense des demandeurs d'asile de Tours, partage bien sur les mêmes « valeurs » que son co-inculpé.
Ces personnes là ; sous un autre nom reprennent à leur compte la nauséabonde idéologie marxiste de la lutte des classes, source de 150 millions de morts innocents sur la planète en opposant comme je l’ai déjà dit, mais comme ça sa sera dit Rose, certaines classes sociales ou masses humaines à d’autres groupes, ils trahissent l’amour fraternel, cette fameuse FRATERNITE dont ces individus se gargarisent continuellement, comme ils trahissent la LIBERTE au nom de la dictature d’une classe sois disant opprimée, de même qu’ils ont trahis partout la notion d’ EGALITE en droit des hommes, en voulant en faire une égalité entre chaque être humain contraire au droit naturel. Leurs prétendues « valeurs » puent la mort.
Lors de l'audience du 16 septembre 2010, la Présidente du tribunal correctionnel de Tours a pris la décision de reporter au 3 décembre 2010 à 9 h 30 l’audience correctionnelle, nous espérons cette fois que la justice se montrera implacable avec ces individus proférant des paroles de haine. L’éducation Nationale est maintenant perçue par le public Français, comme un lieu de militance gauchiste et marxiste, je crois bien que ces individus ont une mission de service public et apprendre la haine de la république aux enfants doit être sanctionné, tant par le justice que par le ministère de tutelle de ces antisociaux !
Après l’affaire des 6 de Pau, donc cinq nervis condamnés pour outrage, pour avoir établi les mêmes odieuses comparaisons, un pas était enfin franchi dans la juste répression de la délinquance antisociale.
A l'heure où les écrits racistes se multiplient sur Internet et où les populations de blancs Français de souche et la population juive font l'objet d'un déferlement de haine, ce jugement permet de rappeler aux éditeurs de contenus haineux que l’outrage aux représentants de la république n'est pas une opinion, mais un délit, et que le Collectif Tous ensemble contre le nouvel antisémitisme (CTECNA) EMail : ctecna@gmail.com veillera
tout particulièrement à poursuivre ceux qui depuis plusieurs semaines multiplient les messages de haine antirépublicaine et pour certains et ce sont souvent les mêmes, de haine antisémite sur la toile.
Le CTECNA en appelle à la vigilance des internautes qui sont invités à signaler à la Force de Défense d’Israël sur Internet Pour signaler un contenu illicite cliquez ICI les contenus portant atteinte à la dignité de la république Française ainsi que les écrits antisémites. Il attend des pouvoirs publics un renforcement des sanctions, afin de préserver de toute dérive haineuse cet indispensable outil de communication et d'information qu'est Internet.
David Cohen
PS : Si vous aussi vous pensez :
1. Que si l’on aide les immigrés chez eux, on ne peut pas en plus en accepter ici
2. Que l’immigration a un coût réel pour la France
3. Que pour cette raison l’immigration illégale doit être combattue
4. Que ceux qui, dans ce contexte, encouragent l’immigration, sont irresponsables
5. Que les élus qui parrainent ou soutiennent officiellement des clandestins exploitent la misère et la détresse des individus (souvent à des fins électorales)
6. Que ces élus doivent être condamnés financièrement pour aide au séjour irrégulier, abus de pouvoir, entrave à l’exécution de la Loi
7. Que ces élus doivent être suspendus de leurs fonctions ou révoqués
8. Que leur absence de condamnation prouverait une éventuelle complicité du Gouvernement
9. Que le Gouvernement Sarkozy ne combat l’immigration qu’en parole alors que dans les faits les Préfectures régularisent massivement les clandestins
10. Que 26 000 expulsions par an, ce n’est pas assez !
Alors, signez la pétition ! Cliquez ici !
(1) l’invitation à écrire au préfet : Non à l'enfermement des enfants !
La famille Kuka a été arrêtée mercredi 16 juillet à 7 heures 7 et placée au centre de rétention administrative d'Hendaye.
Les deux jeunes enfants, Arselio, 5 ans, et Anisa, 7 ans, ne supportent pas l'enfermement : ils paniquent, ils ne dorment pas, ils pleurent souvent. Les parents sont terrorisés à l'idée d'être expulsés en Albanie où ils risquent de subir les conséquences du Kanoun, loi de vengeance qui réclame le sang des hommes de la famille. Aleksander, le père et Arselio, le petit garçon risquent leur vie là-bas.
Toutes les associations qui, de près ou de loin, ont été en relation avec la famille Kuka, de nombreux élus, de nombreux citoyens ont aussitôt rejoint les appels de RESF 64.
Des citoyens de Pau et de la Côte Basque, même ceux qui ne connaissent pas forcément la famille, sont allés la visiter au centre de rétention d'Hendaye. En tout premier, le directeur de l'école des enfants, un de ses collègues, deux parents d'élève. Ils n'ont pas hésité à faire 300 kilomètres pour cela. Puis, sœur Marie-Antoinette et l'abbé Jo Gatelier, une des figures emblématiques de la résistance militante à Pau, puis des camarades de la Côte, puis le frère, la belle-sœur, un cousin germain et un petit neveu. Thérèse pour la Maison des Femmes,.etc…
Tous ont conclu qu'il est inacceptable d'enfermer ces jeunes parents et de très jeunes enfants. Le CRA ne désemplit pas : jamais autant de Français n'ont franchi le portail du centre de rétention administrative. Même les policiers pensent (et disent) qu'avec un tel soutien, la famille n'a pas sa place dans ce lieu d'enfermement.
Pour ses cinq ans, vendredi, Arselio n'a pas eu son gâteau d'anniversaire, ni ses copains de vacances, mais il a eu beaucoup de cadeaux. Sa sœur Anisa n'a pas été oubliée. Seule la juge a refusé froidement, alors qu'elle en avait la possibilité, le plus beau cadeau qui pouvait lui être fait : arrêter les souffrances de l'angoisse et de l'humiliation que subissent ses parents et dont il est le premier témoin et la première victime.
RESF64 demande que toute la famille sorte du centre de rétention administrative d'Hendaye où elle n'a pas sa place. RESF 64 demande qu'Aleksander Kuka soit régularisé : le patron d'une importante entreprise de carrelage de la région veut réellement l'embaucher pour toutes ses qualités, la première qu'il a mise en avant étant ses qualités humaines. Il a déposé à la préfecture de Pau vendredi dernier un dossier où il confirme cette intention.
RESF64 demande à chaque citoyen de protester contre l'enfermement des enfants, acte indigne de la République Française, alors que les cérémonies de commémoration de la rafle du Vel d'Hiv ont lieu aujourd'hui et que l'honneur des Justes y a été rappelé.
Contacts : (Note aux baigneurs : les XXXX sont de l’auteur de ce message qui ne souhaite pas être confondu avec les délinquants nommés ci-dessous.)
Téléphone de la préfecture Pyrénées Atlantiques: XXXXXX
Fax secrétariat du préfet :XXXXXXXX
du bureau des étrangers :
XXXXX@XXXXXXX.cxom
Jean-Jacques Le Masson
(2) L’avocate Dominique Noguères vice-présidente de la fameuse Ligue des droits de l’homme est la fille de Louis Noguères, député SFIO des Pyrénées-Orientales, qui fut en juillet 1940 l’un des 80 députés de Front Populaire sur les 846 membres du parlement qui refusent les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, le sauveur de la France). Sur 649 suffrages exprimés 80 parlementaires seulement (57 députés et 23 sénateurs) votent « non » ; 569 approuvent (357 députés et 212 sénateurs) (soit 87,67 % des suffrages exprimés). La République a été bradée, sabordée par la chambre du Front populaire, les amis politiques socialos communistes de Louis Noguères. Vincent Auriol aura ce commentaire :
« Voici Léon Blum. Quelques rares et fidèles amis autour de lui. Où sont les 175 parlementaires socialistes ? Quelques-uns sans doute n'ont pu venir... mais les autres ? [...] Sur 150 députés et 17 sénateurs socialistes nous ne sommes que trente-six fidèles à la glorieuse et pure mémoire de Vaillant, de Guesde, de Jaurès ».
Redevenu député à la Libération, Louis Noguères devient président de la Haute Cour de justice, chargée des procès d'épuration contre les ministres et hauts fonctionnaires du Régime de Vichy.
Aujourd'hui, on croise sa fille au comportement légèrement exalté et inquiétant dans les prétoires aux côtés des immigrés clandestins en situation irrégulière dit faussement « sans-papiers ». Présidente de la fédération parisienne de la très marxiste LDH, dont la devise est :(on s’habitue à puer de la gueule le plus difficile est d’y habituer les autres !) Elle s'est plantée un matin de mars 1996 devant l'église Saint Ambroise à Paris, occupée par des immigrés clandestins Africains: «J'ai tout de suite compris que c'était une grosse affaire.» Elle n'a plus quitté les clandos. Avec eux, elle est embarquée par la police lors de l'évacuation du gymnase Japy, quelques jours plus tard. A une manifestation devant la préfecture de police de Paris, elle prend à partie des CRS, et est pressée contre les grilles du métro. A la Ligue, elle se « bagarre » pour ses idées nauséabondes: «Pas l'ouverture des frontières sans condition, mais la liberté de circulation. Les gens ont le droit d'aller et de venir comme ils veulent, c'est différent du droit au séjour.» Parfois, ses positions la rapprochent plus de Ras l'Front que de sa chère LDH. Mais la ligue est une affaire de famille. Quand, en 1980, un attentat attribué à l'extrême droite visant sois disant son père se trompe de cible, c'est son appartement qui brûle. Devant l'immeuble dévasté, elle décide de rentrer à la Ligue, «pour qu'ils n'aient pas le dernier mot». Aujourd'hui, l'avocate s'exaspère de la loi Chevènement, «qui a bricolé les lois Pasqua, avec des effets désastreux». Se dit «révulsée» par le cas «des célibataires qui ont dix ans de séjour ici, haut comme ça de feuilles de paye et qui sont rejetés de la régularisation». Mais revenons un instant sur le bon papa Noguères :
Louis Noguères est l’homme qui fit acquitter René Bousquet, un scandale longtemps ignoré. (*a)
Il y avait indiscutablement, dans l’entourage du maréchal Pétain, des idéologues de l’antisémitisme souvent communistes comme Doriot, auxquels on doit les ordonnances honteuses de novembre 1940 et de Juin 1941.
C’est tout naturellement que l’administration obéit au gouvernement en place et appliqua les règles qu’il avait édictées. Les gens de bureau, habitués de longue date, car c’est leur culture, à exécuter consciencieusement, et dans le cadre étroit qui leur est prescrit, les consignes de la hiérarchie, ne s’interrogent pas sur leurs bien-fondés. Les servitudes de ces fonctions expliquent bien des comportements. En revanche, aux niveaux les plus élevés de cette hiérarchie, la responsabilité personnelle prend une toute autre dimension.
Le socialiste René Bousquet en fut l’illustration. A trente trois ans, le 18 avril 1942, il devient Secrétaire Général à la Police de Vichy, dont il sera évincé le 31 décembre 1943. Vingt mois par conséquent de responsabilité entière au service de l’Etat, où, sans en avoir le titre, il exerçait les fonctions de Ministre de l’intérieur. Intelligent, courageux, ambitieux, de tradition et de culture radical-socialiste, il fit dans l’administration préfectorale une carrière étincelante, qu’il est inutile de relater ici car elle a fait l’objet de livres et de publications abondantes. En effet, c’est à son nom qu’a été associée officiellement et historiquement la grande rafle (*b) des juifs de juillet 1942 en zone occupée et en août de la même année en zone libre.
Dans son cas, réside un des plus profonds mystères de l’âme humaine, entrevu par Jean Kahn, Président du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (le CRIF) ; « Comment ce pur produit du radicalisme socialiste du Sud-Ouest est-il devenu le chef suprême de toutes les polices du régime de Vichy ? Comment et pourquoi s’est-il impliqué à ce degré dans la chasse aux Juifs, vieillards, hommes, femmes et enfants ? Savait-il le sort tragique réservé à tous ceux qu’il essayait de traquer, de rafler et de déposer avec tant d’acharnement froid et méthodique. ? De quelles complicités va-t-il bénéficier pour être jugé si tardivement le 25 juin 1949 et immédiatement relevé de ses cinq années de dégradation nationale ?
Le premier crime de masse a été commis le 18 juillet 1942 par Bousquet, douze mille juifs, dont 4051 enfants, raflés et internés au Vel d’Hiv. Il a pu croire qu’il avait procédé à un regroupement de personnes destinées à des camps de travail en Silésie ou en Pologne. Mais le seul fait de concentrer, au cours d’un été ardent, dans une cuvette surchauffée, dépourvue de tout moyen sanitaire, plus de dix mille personnes de tous âges, est déjà criminel.
Bousquet, remplacé par Darnand, connut alors la disgrâce des allemands, en 1944, il fut « déporté » dans la voiture personnelle du général Oberg et emmené en Allemagne dans une belle villa près du lac Stanberger. « Après la guerre, il fut détenu pendant quatre années par la justice française, puis, au cours de son procès devant la Haute Cour de Justice, en 1949, acquitté et relevé de l’indignité nationale pour services rendus à la Résistance. » Comment le comportement d’un homme qui a symbolisé à ce point la dérive de la politique de collaboration a-t-il pu être ignoré à la fois de la justice de son pays et de son opinion publique ?
(*a) Le 21 juin 1949, BOUSQUET fut enfin traduit devant la Haute Cour de Justice dont la composition reflétait bien les changements intervenus depuis la libération
Elle était présidée par le socialiste Louis NOGUÈRES, assisté d'un membre du Parti républicain de la liberté, nouvelle appellation de la droite classique parlementaire, et d'un membre de l'Union démocratique et socialiste de la résistance ( UDSR ).
Le jury était composé exclusivement de représentants des partis soutenant les gouvernements de Troisième force qui tentaient depuis 1947 de gouverner au centre en rejetant dans l'opposition communistes et gaullistes : quatre MRP ( Mouvement républicain populaire ), quatre socialistes, un UDSR, un républicain indépendant, un membre du Centre Républicain d'Action Paysanne et Sociale, et un radical-socialiste Jean BAYLET, un ami de BOUSQUET qui appartenait à la mouvance de La Dépêche de Toulouse devenue La Dépêche du Midi dont BOUSQUET lui-même était issu.( Voir : Cliquez ici !) Décidément dans la famille Noguères c’est une habitude de faire son beurre avec Vichy ! Et même… ! En défendant des immigrés d’Afrique du Nord on pourrait dire que Madame Noguères de la LDH veut le beurre et l’argent du beur !
(*b) Peut avoir le sens d’arrestation massive opérée par la police à l'improviste. Notez bien le mot « massive » comme les fameuses armes de destruction, que comme l’Arlésienne personne n’a jamais vues en Irak.
(3) RESF n’est pas une association au sens administratif du terme et ce fameux « réseau » composé de certains agitateurs marxistes agités du bulbe, d’arsouilles trotskistes possédés, de basses fripouilles communistes et d’idiots utiles, de certaines canailles intellocrates et vulgaires; n’a pas de « responsable », toujours au sens administratif et légal du terme.
(4) En Albanie en 1943 des musulmans sauvent des juifs ?
En 1943 l’Allemagne occupe l’Albanie. Les Albanais en majorité musulmans refusent de donner les listes des seulement 200 Juifs albanais et des juifs étrangers environ 600. Ils les cachent, les intègrent à la population. Une seule famille juive a été arrêtée par la Gestapo. Sous prétexte qu’il existerait dans ce pays un code moral appelé BESA qui est à l’origine d’une éthique propre aux Albanais.
Seulement voilà avant l’islamisation forcée et massive des Albanais la BESA était un code qui dérivait du "Kanuni i Lek Dukagjini" et cela ne vient surtout pas de l’Islam, c’est tout simplement une valeur chrétienne, une norme de comportement, un code moral que les Albanais à l’origine chrétiens et devenus musulmans par le meurtre, la torture et la force ont conservé pendant des siècles.
De plus cet article semblerait suggérer que les Albanais dans leur ensemble adoptèrent un comportement différent de celui des autres peuples d'Europe durant la 2ème guerre mondiale. Cette assertion n'est pas juste, et voici pourquoi : dans la présentation de la situation des Juifs en Albanie occupée, on ne tient généralement pas compte de deux faits majeurs : d'une part la création, avec l'aide des Allemands, d'une grande Albanie incluant le Kosovo, la Macédoine occidentale et le Monténégro méridional et, d'autre part, l'engagement de milliers d'Albanais aux côtés des nazis non seulement dans le parti collaborationniste Bali Kombetar, mais aussi dans la division SS albanaise Skanderberg et la division "Handschar" qui regroupait des musulmans de Bosnie-Herzégovine. On ne mentionne pas plus le rôle joué par le fasciste albanais du Kosovo Xhafer Deva dans l'organisation militaire de la Grande Albanie et l'arrestation, puis la déportation des Juifs qui s'y trouvaient. Source
La proclamation de la République populaire en 1946 sous la houlette du sinistre dictateur communiste Enver Hoxha introduit naturellement un communisme haineux pur et dur dans le pays.
Un « judaïsme de l’ombre » se dessine. Bien qu’il n’y ait jamais eu de synagogues ni de communauté organisée dans le pays, les Juifs commencent à pratiquer une forme de marranisme qui se combine avec la multiplication des mariages mixtes. On jeûne symboliquement le shabbat et les jours de fêtes, les quelques ouvrages en hébreu et les mézouzot sont cachés. À Kippour, on maintient la tradition de manger des amandes en fin de journée, ce qui ne risque pas d’attirer l’attention. Les plus courageux font pratiquer des circoncisions sur les nouveaux-nés par des médecins musulmans. Ceux qui peuvent immigrer illégalement le font. Jusqu’en 1967 la pratique religieuse sera interdite et la terrifiante et criminelle milice communiste des « Sigurimi » veillera au respect de cette mesure, traquant sévèrement, à la période de Pessah, les possesseurs de matzot.
La communauté juive apeurée vit alors sous la triple menace de l’antisémitisme musulman, de l’antisémitisme chrétien et de l’antisionisme marxiste et communiste. Les Juifs sont désignés sous le vocable turc infamant de « Chifuts » et les militants palestiniens marxistes les plus extrémistes et criminels, ceux de Georges Habache et de Nayef Hawatmeh sont accueillis à bras ouverts dans le pays.
En 1985, Ramiz Alia succède à Enver Hoxha. Le pays, peu à peu, sort du sous-développement communiste et se démocratise. Les Juifs commencent à espérer d’autant plus, que sous le Premier ministre Fetos Nano, une association d’amitié avec Israël est créée. En 1990, l’interdiction de la pratique religieuse est levée. Mais les Juifs, 40 familles, soit 200 personnes, n’ont désormais qu’un objectif : rejoindre Israël. L’opération « Tapis Volant » est lancée par l’Agence Juive. Entre décembre 1990 et mai 1991, 400 personnes, Juifs, demi Juifs, Marannes, rejoignent l’Etat juif, mais ils ont l’obligation « démocratique » d’abandonner tous leurs biens aux « justes » Albanais !.
En 1992, Sali Bérisha a succédé à Ramiz Alia avant de céder la place, en 1997 à Rexhep Meidani remplacé, en 2002 par Alfred Moisiu. Depuis peu, l’Albanie a un nouveau président, Bamir Topi.
Des relations diplomatiques ont été établies depuis le début des années 1990 entre Israël et l’Albanie mais, à notre connaissance, il n’y a plus aucun Juif en Albanie. Le judaïsme albanais se retrouve, pour l’essentiel, à Beer Sheva, dans le Néguev et à Carmiel, en Galilée.
(6) La ex LCR (Aujourd’hui NPA) sur Aulnay sous bois a participé avec d'autres organisations politiques et syndicales à la création d'une antenne locale de RESF.
Voici le communiqué
Réseau Education Sans Frontières
RESF 93 c/o LDH Bourse du travail de Saint-Denis 9-11 rue Genin
93100 Saint-Denis
Qui sommes- nous ?
Le 26 juin 2004 s’est tenue à la Bourse du Travail de Paris une réunion rassemblant des enseignants, des collectifs, des syndicats et des organisations attachées à la défense des droits de l’homme préoccupés de la situation des scolarisés sans papiers. Ils ont décidé la création d’un réseau de soutien nommé Education sans frontières.
Depuis cette date le réseau s’est développé dans toute la France. Des collectifs d’établissement et des collectifs de ville se sont créés pour apporter leur soutien aux jeunes majeurs scolarisés et aux familles d’enfants scolarisés.
Ce collectif à l’origine était essentiellement implanté dans les lycées où les enseignants étaient confrontés au drame des jeunes qui le jour de leurs dix-huit ans étaient menacés d’expulsion parce qu’ils devenaient des sans-papiers. Un nouveau pas a été franchi avec la circulaire Sarkozy de juin 2006 qui promettait la régularisation aux familles d’enfants scolarisés remplissant certains critères.
Des collectifs se sont alors créés pour aider les familles à constituer des dossiers et surtout pour les protéger lorsqu’elles ont reçu des refus et des arrêtés de reconduite à la frontière alors qu’elles remplissaient tous les critères.
RESF dans le département 93
Dès la création de RESF des collectifs se sont constitués dans les établissements scolaires du département qui comptent beaucoup de jeunes majeurs sans papiers ainsi que dans nombre de localités.
Ces collectifs par la mobilisation et les initiatives prises (parrainages citoyens,…) obtiennent des régularisations et s’opposent aux expulsions.
Pourquoi un collectif sur Aulnay ?
Depuis un certain temps des actions ont été menées sur la ville.
Dès l’automne 2005 une solidarité s’est créé au lycée Jean Zay autour d’un élève sans papiers. A la rentrée 2006 des professeurs des collèges Gérard Philipe et Christine de Pisan se sont mobilisés pour soutenir des familles déboutées de la circulaire et empêcher que la police vienne cueillir les enfants à la sortie des classes.(...)
A suivre...................................................................................................................................................