Tiens, dans la série que sont-ils devenus, voyons un peu ou sont donc passé les «sauvageons» et autres «chances pour la France» dit aussi les «allogènes», appelés par les journalopes médiacrasseux aux ordres du New World Order ou du politiquement correct ou encore du marxisme culturel des membres du fameux «gang des barbares», en fait en très grande majorité des musulmans antisémites et afro-français (pour le néologisme Afro-français voir l'article : Les racistes noirs antisémites sont de retour),des hommes de race noire, tortionnaires et tueurs du jeune Ilan Halimi et représentant bien le nouvel antisémitisme. Ilan Halimi, 23 ans, avait été enlevé le 20 janvier 2006 à Sceaux, où il avait été attiré dans un guet-apens par une jeune fille servant «d'appât». Après de vaines négociations avec sa famille pour une rançon de 450.000 euros et une séquestration violente de trois semaines émaillée de tortures, il avait été retrouvé agonisant. Il est mort à l'hôpital.
En préambule il convient d’être clair, ce concept de
nouvel antisémitisme en est une nouvelle forme qui s'est développée au début du
XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de la droite molle marxiste
culturelle et de l'islam tendant à se manifester comme une opposition au
sionisme et à l'État d'Israël. Un exemple : Le 8 Janvier 2014 la cour d’Appel
de Colmar avait condamné Aline Parmentier, secrétaire départementale du PC-(F) section
Alsace, membre du Front de Gauche, activiste de la campagne illégale et
antisémite BDS et du «collectif»
Boycott68 se revendiquant de l’idéologie
marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a avec une
dizaine d’autres racistes antisémites Islamos marxistes du PIR ou d’EELV, Jean
Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, le professeur
d’histoire antisémite Henri
Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey,
Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali,
Assya Ben Lakbir, été condamnés pour
avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une
personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur
appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou
une religion… Et ce à l’instigation du BNVCA qui les ayant fait condamner, nous
cache soigneusement leur
sinistre appartenance politique de gauche, d’extrême et
d’ultra gauche. Bien que pour le BNVCA le
«palestiniste» (néologisme employé là
par le BNVCA pour marxisme culturel) exacerbé de la propagande palestinienne
constitue la source essentielle de
l’antisémitisme depuis 13 ans, et que les actions des commandos BDS participent
de cette propagande ciblée et nocive. On sent bien là l’éternel regret du BNVCA
que ce nouvel antisémitisme ne soit pas «d’extrême
droite», snif snif…
En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les
12 de Mulhouse) dont de nombreux «zélus» ardemment soutenu par la FSU
étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite
! Point barre ! Ces opérations racistes antisémites comme les profanations de
cimetières, étaient un des volets de cette propagande palestinienne qui incite
à la haine d’Israël et pousse à l’acte antijuif comme celui de Coulibaly, de
Youssouf Fofana, de Mohamed Merah qui avait dit avoir assassiné des enfants
juifs pour «venger les enfants Palestiniens» ou de Mehdi Nemmouche et autres «Jihadistes» ou terroristes musulmans
depuis.
Revenons au gang des barbares ; lors de
perquisitions, il avait été trouvé chez les ravisseurs des documents de soutien
au Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens, ainsi que du matériel
de propagande islamiste salafiste. Au téléphone, un ravisseur avait récité une
sourate du Coran à la famille d'Ilan Halimi.
Le gang islamomarxiste était composé d’une majorité
écrasante d’afro-français nous n’oublions pas que les leaders du
gang avaient des antécédents : ils étaient impliqués dans au moins 15 autres
cas de kidnapping ou de racket, certains étaient membres de la branche
française du mouvement communiste le FPLP.
Aujourd'hui, la plupart des accusés qui ont comparu en
2009 ont retrouvé la liberté, voyons le cas des autres principaux barbares ;
c’est le cas du Numéro six le petit «gars
bien» Yahia Touré Kaba qui mérite votre attention mais apparemment pas
celle du BNVCA. Pas plus d’ailleurs que le Numéro 7 sorti de prison et qui y
est immédiatement retourné.
Maître Michel Konitz avocat pénaliste défendait l'un
des 27 accusés du procès du «gang des
barbares» qui trouvait que les
peines prononcées à l'encontre des membres du gang d’afro-français
islamomarxistes étaient à la mesure de leurs actes il dira : «Je pense que c'est un verdict tout à fait
équilibré, même si c'est facile de dire ça pour un avocat de la défense. Le
«gang des barbares», c'est un amalgame de gens peu équilibrés menés par Youssouf
Fofana, qui n'est pas un cerveau mais un crétin sanguinolent. Ceux qui ont appâté
et enlevé Ilan Halimi, ainsi que ses geôliers, ne savaient pas qu'il serait
tué. Fofana était le seul à connaître toute l'histoire. Les autres personnes,
parmi lesquelles figurent des mineurs, sont complices de la séquestration, mais
pas du meurtre. C'est ce qui explique ces peines que certains jugent trop
clémentes». Quand on vous le dit : Des déséquilibrés et une bande de
cas isolés défavorisés ! Lorsqu’on lui demande : «Que pensez-vous des propos de Mme Halimi, la mère d'Ilan, qui a affirmé que la Shoah continuait en France en
2009 ?».Il répondra : «Les
victimes et leur famille ont le droit de tout dire. On doit le respecter. La
douleur excuse beaucoup de choses mais il faut raison garder. Il ne me semblait
pas nécessaire d'évoquer ici la mémoire de la Shoah. C'était un acte
antisémite, certes, mais ce n'était pas un système comme le fût le nazisme. Le
but de ce procès n'était pas d'éradiquer l'antisémitisme, ni de servir de
tribune, mais de juger les personnes responsables d'un acte antisémite».
Ce monsieur a raison, il n’était pas nécessaire
d’évoquer ici la Shoa mais là où il a tort, c’est au sujet du «système» ou nouveau concept dit aussi
new world order, qui produit ces actes de nouvel antisémite qui se sont
développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche marxiste
culturelle, de la droite molle et de l'islam, et tendant à se manifester comme
une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Le système marxiste culturel
aujourd’hui au pouvoir a pour objectif de détruire la civilisation occidentale
judéo-chrétienne et il y réussi parfaitement. On aura beau dire
que tout ça n'est qu’un triste fait divers, c'est quand même très inquiétant
que 25 «jeunes», hommes et femmes en
majorité afro-français et musulmans se soient associés pour former un gang
ethnique aboutissant à une telle barbarie. Il faut encore une fois y voir le
reflet de cette peste qu'on appelle marxisme culturel à l’origine de
l’antiracisme qui instrumentalise les musulmans et l’immigration afro-française
d’origine maghrébine et sub-saharienne (N’oublions jamais que le MRAP distille
de la haine des juifs !) cet «antiracisme»
est aussi à l’origine d’une contre-culture dite des «cités» qui cultive la haine du juif, du français de souche, de
tout ce qui fait la culture occidentale, le mépris des femmes et l'amour de
l'argent facile, à n'importe quel prix. Ces braves petits «sauvageons» incarnent une nouvelle forme de barbarie qui menace
les valeurs essentielles de la démocratie européenne et de notre culture
grecquo-latino-judéo-chrétienne.
N°01 : Jean-Christophe G mineur au moment des
faits, dit «JC», «Zigo» un «métis boutonneux». C’est lui qui a
torturé Ilan Halimi, lui aurait écrasé un joint sur le front et lui aurait
donné des gifles et des coups de manche à balai. Il a écopé de 15 ans de
prison. Jean-Christophe
s’appelle Gavarin. Ce brave petit gars a été exclu de 4e du collège Béranger à
Paris, et avait déjà été interpelé pour vol de Mp3 et possession de cannabis.
Il aurait acheté quelques provisions (protéines liquides, pailles et ciseaux).
Il avait témoigné: «La victime a sans
doute fait du bruit ou gémi, et comme je fumais un joint, j’ai appuyé un court
instant ma cigarette au milieu de son front. J’ai ensuite écrasé mon mégot au
sol».
N°02 :L’afro-français musulman Youssouf (Joseph en
arabe) Fofana c’est le chef de
gang. Personnage d'une extrême violence, et qui s'est enfermé, depuis l'affaire,
dans la provocation. Il est le cinquième d'une famille de six enfants. Il est
né en France, et totalement français. Lorsqu'il prendra la fuite en Côte
d'Ivoire, en 2006, il tentera en vain de se faire passer pour citoyen ivoirien,
ce pays n'extradant pas ses ressortissants. Mais les juges africains ont bien
vu qu'il n'avait qu'un passeport hexagonal et l'ont renvoyé en France. Une
extradition digne d'un thriller américain où l'homme a été transféré dans un
avion militaire spécial, menotté, ligoté et allongé, entouré d'une dizaine de
gendarmes. «Nous n'avons pas eu le choix.
Seul un avion militaire, non soumis aux mêmes règles et conditions de sécurité,
nous permettait de rapatrier un mis en cause aussi incontrôlable». Incontrôlable
et provocateur, Fofana l'a été tout au long du procès où il est arrivé avec un
grand sourire en lançant l’inévitable cri de haine musulman «Allah ou akbar», ou en se décrivant
comme «arabe africain islamiste
salafiste» (c’est lui qui le dit et il semble en être fier). Il est
condamné le 11 juillet 2009 à la peine maximale, soit la réclusion criminelle à
perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans. Il a aujourd’hui
36 ans et est actuellement emprisonné au Centre pénitentiaire
d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne), un des établissements le plus sécurisés de
France. Détenu difficile à gérer, Fofana a été condamné en 2014 à quatre ans de
prison supplémentaires pour deux agressions de surveillants de la prison
d’Alençon, avant d’être condamné encore à trois ans pour une autre agression. De
source pénitentiaire, il est toujours à l’isolement dans la prison. «Il est d’une dangerosité réelle et nous
insulte parfois. Le reste du temps, il est mutique. Il s’occupe en lisant, en
jouant aux jeux vidéo et en appelant sa famille. Il est toujours féru de
religion, mais n’en parle pas. Comme il ne parle pas non plus de l’affaire
Halimi. Une chose n’a pas changé : il se voue un culte de la personnalité
extrême» (Comme chez tous les islamo- marxistes ou les néo-nazis afro-français
le culte de la personnalité du Leader est fortement encouragé). Youssouf
Fofana, condamné en 2009 à la réclusion criminelle à perpétuité pour
l'enlèvement et l'assassinat du jeune juif Ilan Halimi, a été condamné en plus à
dix ans de prison pour des tentatives d'extorsion et des menaces de mort
antérieures à ce crime. Pour justifier cette peine, la présidente de la 16e
chambre du tribunal correctionnel de Paris, Isabelle Prévost-Desprez, a souligné
la «gravité extrême» des faits. À
l'audience, l'ex-chef du «gang des
barbares», âgé de 36 ans, s'est présenté mardi comme un «trader de la terreur», mais il a
rapidement demandé à retourner en détention, une requête qui lui a été
accordée. Fofana était accusé d'avoir envoyé, entre 2002 et 2004, des lettres
de menace et des demandes de rançons à une quarantaine de personnes, pour la
plupart dirigeantes d'entreprises, de Rolex à Whirlpool en passant par Toshiba.
Mais aussi l'ancien président de Médecins sans frontières, Rony Brauman.
Pendant toute la durée de l'enquête, Youssouf Fofana, qui fut extradé de Côte
d'Ivoire vers la France en mars 2006 dans le cadre de l'instruction sur
l'assassinat d'Ilan Halimi, a refusé de répondre aux questions des juges. «Qu'est-ce que ça changera à ma vie?»
leur a-t-il lancé en décembre 2013 en référence à la peine qu'il purge. Il a
été condamné à perpétuité. En 2002, quatre ans avant l'assassinat d'Ilan
Halimi, ciblé car juif et donc nécessairement fortuné selon le chef de gang,
cinq personnes recevaient des menaces accompagnées de demandes de paiement d'un
impôt revendiqué par la branche française du Front Populaire de libération de
la Palestine (FPLP) organisation terroriste antisémite et communiste. En 2004,
d'autres victimes recevaient des lettres similaires de la part d'un groupe
appelé «MAFIA K1 FRY». La même année,
26 personnes recevaient des courriers signés «Armata Corsa» exigeant des sommes pour servir la cause
indépendantiste corse. À chaque fois, «les
modes opératoires», «le choix des
victimes», «les demandes financières», «le type de menaces», sont «sensiblement les mêmes», note
l'accusation. Il faudra attendre février 2006 pour que des rapprochements entre
ces trois affaires et l'assassinat d'Ilan Halimi mènent les enquêteurs jusqu'à
Youssouf Fofana qui, rappelle l'accusation, a reconnu son implication en 2007
et 2008. Condamné à onze reprises entre 2000 et 2013, notamment pour vols et
violences aggravées et apologie du terrorisme, Youssouf Fofana est détenu à la
prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), la plus sécurisée de France, où il est à
l'isolement. Devenu un très bon musulman soit un islamiste radical et
extrêmement violent, il y a agressé plusieurs surveillants qui sont désormais
obligés de se protéger pour lui servir les repas. En 2012, il s'était filmé
dans sa prison de Clairvaux en tenant des discours antisémites et islamistes.
N°3 : Samir Aït Abdelmalek, afro-Français musulman dit «Smiller» ou «Agent Smith», en
référence à Matrix, père de deux enfants, multirécidiviste pour
des affaires de drogue et de vol de voiture, qui avait fourni l’appartement de
la séquestration à Bagneux avant qu’Ilan Halimi soit séquestré dans la
chaufferie de l’immeuble, il est considéré comme le bras droit de Youssouf
Fofana qu'il connaissait depuis dix ans. Il avait fourni l’acide et donné des
coups de cutter sur le visage et le cou de la victime. Il aurait dû toucher
1500 euros pour ses prestations. Dans le procès-verbal du 18 février 2006 de
son interrogatoire par la Brigade criminelle de Paris, Samir Aït Abdelmalek,
déclare: «J’ai sorti la lame de cutter et
après qu’il a mangé et bu, j’ai cherché un endroit où lui mettre un coup de
cutter pour que ça saigne sans lui faire trop mal. Je ne voulais pas toucher à
l’adhésif qui l’empêchait de hurler. Sans prévenir Ilan pour qu’il ne stresse
pas, je lui ai mis un coup de cutter sur cinq ou six centimètres sur la joue
gauche. Malgré le sparadrap cela a saigné vite dans sa barbe qui n’avait pas
été rasée». Le policier qui interroge le jeune homme poursuit : «à ce moment, m’a-t-il expliqué, Ilan avait
réussi à relever son bandage sur les yeux. Du coup, Youssouf avec un couteau
lui a mis un coup dans la gorge vers la carotide puis un coup de l’autre côté
de la gorge. Ensuite il a essayé de lui couper le bas de la nuque puis il lui a
mis un coup de couteau dans le flanc. Il avait surement dû revenir avec un
bidon d’essence car il m’a dit qu’il avait utilisé un bidon pour asperger Ilan
avec ce combustible et l’a incendié sur place. À ce moment il m’a dit: «Cela a
fait une grande flamme et je suis parti». Agé de 37 ans
aujourd’hui, il purge une peine de 15 ans de réclusion à Fleury-Mérogis
(Essonne).
N° 5 :L’afro-français musulman Nabil Moustafa, alias «Bilna», livreur de pizza et de shit, footballeur
d’occasion avait été geôlier et avait amené Cédric dans le groupe. Il témoigne:
« Lorsque j’ai soulevé sa couverture,
j’ai vu des taches de sang sur son pyjama avec des trous, au niveau des jambes
et du ventre. Quand on l’a déshabillé, j’ai vu des plaques rouges sur son
ventre (…), ça ressemblait un peu à des brûlures». «On a dit qu’on en avait assez. Le boss a réfléchi et il a décidé qu’il
n’y avait plus que ce soir-là, que l’autre devait dégager». Il était
également impliqué dans une autre tentative d’enlèvement crapuleuse. Nabil Moustafa,
13 ans de prison : nous n’oublions pas.
N°6 :
Yahia Touré Kaba (quel joli nom bien de chez nous) alias «Yaks», un guinéen analphabète,
qui avait coupé les cheveux de la victime sur ordre de Fofana, pour faire
disparaître toute trace d’ADN et avait fourni deux autres amis pour sa relève, «Fabrice» et «Baba». Il a témoigné en expliquant à propos de l’otage : «Il pissait dans une bouteille et faisait
caca dans un sac en plastique». Il serait impliqué dans une précédente
tentative d’enlèvement. Yahia Touré Kaba, 19 ans, aurait assuré la garde
pendant deux semaines et demi. Il a expliqué aux policiers qu’Ilan Halimi avait
été amené le premier soir par Youssouf Fofana et quatre hommes cagoulés. Nabil
Moustafa, 18 ans, aurait tenu le pistolet dirigé vers Ilan Halimi sur la
première photo envoyée. Il aurait aussi demandé à Cédric Birot Saint-Yves, 28
ans, de participer à la surveillance du captif. Poursuivi pour
association de malfaiteurs, séquestration d’Ilan Halimi et actes de tortures et
de barbarie, condamné définitivement en appel à onze ans de réclusion
criminelle, le bourreau Guinéen a été transféré en 2013 au centre de détention
de Villenauxe-la-Grande, avant d’intégrer une cellule de la maison d’arrêt de
Troyes. C’est de là qu’il a été extrait en 12 2014 pour être remis en liberté
(Oui vous avez bien lu en LIBERTE !). Là, des fonctionnaires l’ont conduit
à l’aéroport pour l’expulser du territoire français. Direction la Guinée, son
pays natal. «Il n’était plus souhaité sur
le territoire national», a confirmé l’administration. En 2014, monsieur
Bernard Cazeneuve étant ministre de
l'Intérieur au sein du gouvernement Valls I. (Monsieur Valls ancien Premier Ministre se disant «éternellement attaché à Israël, quand même
!», bizarre ça ce «quand même»,
ce bon monsieur Valls a pourtant fait une
intervention remarquée en 2008 à Evry, parc des Coquibus, lors d’une cérémonie «symbolique pour la paix» au
Moyen-Orient, «un olivier pour la paix»,
et ceci dans le cadre de la Journée de la Terre, organisée conjointement par "Evry
Palestine" association marxiste faisant partie du
mouvement communiste AFPS
instigateur de la campagne antisémite BDS ,
et la Municipalité d’Evry (Essonne) où le maire socialiste Valls
fait une intervention. C’est à voir et à écouter !
Une preuve supplémentaire, si tant est qu’il y
en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à accéder au
pouvoir sont capables de toutes les duplicités. A la suite, vous trouverez des extraits la version écrite d’un
discours de Manuel Valls encore plus savoureux prononcé en 2006 en tant que
maire d’Evry et député PS, lors de la réception de Leïla Shahid. Manuel Valls a
été vice-président du groupe d’études sur les territoires palestiniens à
l’Assemblée Nationale. Il a travaillé avec l’association antisémite «Evry Palestine» et jumelé sa ville avec
le soi-disant «camp martyrisé» de
Khan Younis à Gaza. Voici des
extraits de son discours en 2006 : «Chers Amis, je suis heureux d’être parmi
vous, (…) avec Leïla Shahid : comme
député socialiste, (…) d’une
formation trop souvent absente d’un combat qui est le nôtre; comme maire d’Evry
ensuite qui est engagé pleinement, notamment grâce à l’action des citoyens de
l’association Evry Palestine, dans un jumelage, dans une démarche (…) de coopération, de solidarité avec le camp
martyrisé de Khan Younis à Gaza. Il y a quelques semaines, avec une délégation
de la ville et de l’association, nous nous sommes rendus en Israël et en
Palestine (…). J’ai constaté une
nouvelle fois la dégradation de la situation (…). Le parti travailliste a fait une erreur terrible qui lui a fait
perdre son âme en participant à la coalition présidée par Sharon (…). Nous devons être aux côtés de ceux qui, en
Israël, luttent pour la paix et le dialogue avec les Palestiniens (…). J’ai rencontré de nombreux Israéliens qui
continuent à dialoguer avec des élus et avec les maires palestiniens et ce
dialogue est indispensable. Nous devons le soutenir ici mais nous devons
d’abord le soutenir là-bas. Alors si les Palestiniens vivent cette situation
qui est révoltante par, notamment, la destruction volontaire de l’Autorité
Palestinienne, la répression terrible et son cortège de morts, l’occupation et
la destruction des villes, des villages, des maisons, la poursuite de la
colonisation qui viole le droit international et qui effectivement ne s’est
jamais arrêtée, le chômage, la misère sociale et sanitaire que vivent les
Palestiniens. On veut détruire les infrastructures, la mémoire, le futur de ce
peuple. (…). La France, l’Europe,
doivent pleinement prendre leurs responsabilités pour évidemment empêcher la
guerre contre l’Irak, et je ne voterai jamais – et je m’engage clairement et
solennellement – l’engagement de la France dans une guerre contre l’Irak. Il
faut qu’Israël respecte les résolutions de l’ONU. Pour cela le rapport des
forces est indispensable et donc oui il faut amener les parlements et les
gouvernements à suspendre l’accord d’association Union européenne-Israël, ce
qui aurait effectivement un écho énorme en Israël et en Palestine. Oui, chers
amis, oui Leïla, nous devons faire la démonstration de notre volonté
inébranlable pour que le peuple palestinien, à travers notre mobilisation, retrouve
le chemin de l’histoire. Merci ». Une preuve supplémentaire, si tant est
qu’il y en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à
accéder au pouvoir sont capables de toutes les duplicités.
Outre messieurs Bernard Cazeneuve ministre de l'Intérieur et monsieur le premier ministre Valls, monsieur le président de la république était monsieur François Hollande. Tous les trois marxistes culturels se disant «socialistes». Nous sommes toujours dans l’attente d’un communiqué indigné du BNVCA.
Décrit comme «sans papier», l’étranger rentré illégalement en France et qui de ce fait était déjà un délinquant et ainsi présenté par son avocate marxiste culturelle d’ultra gauche au moment du procès pour faire pleurer dans les chaumières sur ces «pôvres» noirs immigrés clandestins contraints de se livrer à une délinquance abominable par des Français forcément d’extrême droite et blancs racistes ! Et voilà que se profile le scandale absolu, lui que les autres membres du Gang des Barbares surnommaient «Yaks» a été «éloigné» de la France dans la plus grande discrétion fin décembre 2014 pour trois ans. Vous avez bien lu : Seulement 3 ans ! Après en 2017, notre membre du gang antisémite des Barbares pourra revenir en France dealer de la drogue sans entraves ! Le gouvernement socialiste avait affrété un avion spécialement pour cette pourriture ce qui avait coûté 200 000 euros aux contribuables. Un avion de transport de la sécurité civile. C’est un drôle de portrait que dresse Solène Chalvon dans le Charlie Hebdo du 22 02 2015, deuxième numéro à paraître depuis les massacres de début janvier. Geôlier durant 18 jours d’Ilan Halimi, Yahia Touré Kaba, a fait l’objet d’une magnifique procédure d’éloignement fin décembre dernier, après avoir purgé seulement 9 années de prison en France. Depuis fin décembre, explique la journaliste, Kaba «est de retour dans le chaos de Conakry sans savoir occuper ses journées». Elle ferait pleurer un crocodile !
«Ici, les gens ne me comprennent pas quand je parle. Je fais trop Français» explique notre criminel Guinéen à la journaliste qui semble l’avoir rencontré sur place, malgré l’épidémie d’Ebola qui frappe le pays. Sa situation sur place paraît surréaliste : soumis à une «surveillance policière légère, il est en réalité suivi par son oncle : «mon tonton est constamment sur mon dos» dit-il. Surréaliste aussi est l’opinion qu’il a de lui-même. A-t-il des remords sur son rôle dans les tortures ayant entrainé la mort d’Ilan Halimi ? «Ça va vous paraître bizarre, mais je sais que je suis un mec bien». Quand madame le reporter de Charlie évoque les frères Kouachi, ou Coulibaly il dit «replonger dans le truc de fou qui (lui) est arrivé il y a neuf ans. Ça me fait repenser à lui». Lui c’est Ilan Halimi Le «truc de fou», ce sont les tortures, la privation de nourriture, le froid…Un cas à verser à la faveur de la théorie de la «banalité du mal» chère à Hannah Arendt ? Non ! La banalité d’un système marxiste culturel qui prend les Français pour des crétins ; voilà un criminel étranger condamné en France qui se pavane dans son pays en n’ayant pas fini de purger sa peine, cherchez l’erreur.
Outre messieurs Bernard Cazeneuve ministre de l'Intérieur et monsieur le premier ministre Valls, monsieur le président de la république était monsieur François Hollande. Tous les trois marxistes culturels se disant «socialistes». Nous sommes toujours dans l’attente d’un communiqué indigné du BNVCA.
Décrit comme «sans papier», l’étranger rentré illégalement en France et qui de ce fait était déjà un délinquant et ainsi présenté par son avocate marxiste culturelle d’ultra gauche au moment du procès pour faire pleurer dans les chaumières sur ces «pôvres» noirs immigrés clandestins contraints de se livrer à une délinquance abominable par des Français forcément d’extrême droite et blancs racistes ! Et voilà que se profile le scandale absolu, lui que les autres membres du Gang des Barbares surnommaient «Yaks» a été «éloigné» de la France dans la plus grande discrétion fin décembre 2014 pour trois ans. Vous avez bien lu : Seulement 3 ans ! Après en 2017, notre membre du gang antisémite des Barbares pourra revenir en France dealer de la drogue sans entraves ! Le gouvernement socialiste avait affrété un avion spécialement pour cette pourriture ce qui avait coûté 200 000 euros aux contribuables. Un avion de transport de la sécurité civile. C’est un drôle de portrait que dresse Solène Chalvon dans le Charlie Hebdo du 22 02 2015, deuxième numéro à paraître depuis les massacres de début janvier. Geôlier durant 18 jours d’Ilan Halimi, Yahia Touré Kaba, a fait l’objet d’une magnifique procédure d’éloignement fin décembre dernier, après avoir purgé seulement 9 années de prison en France. Depuis fin décembre, explique la journaliste, Kaba «est de retour dans le chaos de Conakry sans savoir occuper ses journées». Elle ferait pleurer un crocodile !
«Ici, les gens ne me comprennent pas quand je parle. Je fais trop Français» explique notre criminel Guinéen à la journaliste qui semble l’avoir rencontré sur place, malgré l’épidémie d’Ebola qui frappe le pays. Sa situation sur place paraît surréaliste : soumis à une «surveillance policière légère, il est en réalité suivi par son oncle : «mon tonton est constamment sur mon dos» dit-il. Surréaliste aussi est l’opinion qu’il a de lui-même. A-t-il des remords sur son rôle dans les tortures ayant entrainé la mort d’Ilan Halimi ? «Ça va vous paraître bizarre, mais je sais que je suis un mec bien». Quand madame le reporter de Charlie évoque les frères Kouachi, ou Coulibaly il dit «replonger dans le truc de fou qui (lui) est arrivé il y a neuf ans. Ça me fait repenser à lui». Lui c’est Ilan Halimi Le «truc de fou», ce sont les tortures, la privation de nourriture, le froid…Un cas à verser à la faveur de la théorie de la «banalité du mal» chère à Hannah Arendt ? Non ! La banalité d’un système marxiste culturel qui prend les Français pour des crétins ; voilà un criminel étranger condamné en France qui se pavane dans son pays en n’ayant pas fini de purger sa peine, cherchez l’erreur.
La revue "nègre" c'est aujourd'hui à Bagneux. |
N° 8 : Fabrice Polygone, dit «Fab» un afro-Français soi-disant étudiant en BTS, a été geôlier
pendant toute la séquestration, et a aussi aidé à couper les cheveux de la
victime. Il explique ce qu’il s’est passé un jour avant la mort d’Ilan Halimi :
«Dos contre le mur, jambes un peu
repliées vers le torse. Il était en peignoir. J’ai vu nettement des traces
d’éraflure ou de frottement sur le côté gauche de son torse, un peu partout,
vers les côtes, le cou, la poitrine. Ça ne saignait pas». Condamné à 11 ans
de prison, on ne va pas tarder à reparler de lui car il doit peut-être être
dehors aujourd’hui.
N°9 : Giri Oussivo N’Gazi dit Francis N’Gazi, un
autre afro-français un ami de Jérôme, qui avait été lui aussi geôlier et
tortionnaire et avait fourni son appartement pour les réunions du groupe de
gangsters ethniques. Il était voisin de l’appartement des Fofana. Il avait
également fourni des «filles-appâts» à
Youssouf Fofana dans une autre affaire.
N° 10 : Christophe Martin-Vallet martiniquais.
L’afro-français Christophe Martin-Vallet, dit «Moko», (est passé par Toulon ?) féru d’informatique, aurait
suggéré l’idée des rapts et aurait organisé les opérations de séduction des
rabatteuses. Il aurait également amené Emma à son rendez-vous avec la victime
et l’aurait reconduite une fois la victime capturée. Il est également accusé de
viol avec Fofana, par un des «appâts». Il
aurait participé à six tentatives d’enlèvement. Condamné à 10 ans
de prison.
N° 11 : Jean-Christophe Soumbou, dit d’origine
africaine est-ce un afro-français ou un étranger ? Condamné à 18 ans de
prison il est incarcéré à la prison de Réau (Seine-et-Marne). Il a aujourd’hui
26 ans. D’après les propos de son avocat, Romain Boulet, au Parisien, il a suivi
une formation et «s’est lancé dans la
boulangerie». «Marc», alias «Crim» ou «Craps», un des derniers membres
du gang ethnique raciste et
antisémite dit des barbares qui était toujours en cavale, s'était livré à la
police, lundi 10 avril 2006. Après avoir confirmé cette information, la police
a annoncé la reddition d'un deuxième suspect. Cet homme d'origine africaine est
né en 1986 et s'appelle Jean-Christophe Soumbou. Il s'est présenté hier
après-midi au commissariat de police de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avant
d'être transféré dans les locaux de la brigade criminelle, à Paris, où il a été
placé en garde à vue et entendu dans le cadre de l'affaire du kidnapping et du
meurtre d'Ilan Halimi. Son audition se poursuivait mardi 11 avril. Mardi, en
fin d'après-midi, des sources policières ont également annoncé la reddition
d'un deuxième membre du gang, dont l'identité n'a pas été révélée, mais qui
pourrait faire partie du groupe de «Craps».
«Craps» apparaît à plusieurs reprises
dans les dépositions des membres du gang, surtout dans celles de Youssouf
Fofana, son chef. Il est soupçonné d'avoir agi, en compagnie de deux complices,
comme «gros bras» lors de
l'enlèvement du jeune homme. Il aurait aussi participé aux autres tentatives
d'enlèvement organisées par la bande de Bagneux (Hauts-de-Seine). Athlétique, «incroyablement baraqué», ainsi que le
décrivent les policiers, c'est lui qui aurait été chargé, selon la hiérarchie
fixée par Fofana, d'appréhender et de maîtriser l'otage, avant son transfert
vers son lieu de détention. Il était activement recherché par la police, de
même que ses deux «copains maghrébins» qui
l'assistaient dans ses fonctions, au dire des autres membres du gang. Après des
semaines de traque, les policiers de la brigade criminelle pensaient l'avoir
localisé de «manière précise» dans la
banlieue où il a toujours vécu : la cité de l'Etoile, à Bagneux. Plutôt que de
l'arrêter, ils ont préféré faire pression sur ses amis et membres de sa famille
pour qu'il se rende de lui-même. Les policiers faisaient valoir l'intérêt qu'il
avait à s'expliquer au plus vite sur les accusations formulées contre lui par Youssouf
Fofana dans sa première déposition à la police judiciaire ivoirienne, le 23
février à Abidjan, peu après son arrestation, lors d'une audition à laquelle
assistaient deux enquêteurs parisiens. Lors de cette déposition, non exempte de
contradictions, Youssouf Fofana racontait qu'il avait fait la connaissance de
Jean-Christophe Soumbou lors de son séjour à la prison de Nanterre, où il était
incarcéré pour vol avec violence. C'est là que l'idée de ces kidnappings aurait
germé. Par la suite, Fofana «charge»
copieusement celui qu'il appelle son «copain
Crim» de plusieurs agissements dont il est lui-même accusé par les autres
membres de la bande. C'est Jean-Christophe Soumbou qui aurait choisi la victime
et l'aurait brûlée vive, la nuit du 12 au 13 février, avant que le corps
agonisant d'Ilan soit retrouvé près de la gare de Sainte-Geneviève-des-Bois,
dans l'Essonne. «C'est Crim qui a jeté
son dévolu sur lui, comme les autres. J'ignore pourquoi il a été choisi», avait
expliqué Fofana à propos d'Ilan. Plus loin, il affirme que, la nuit du 13
février, il a remis l'otage toujours vivant «derrière
le magasin Cora de Bagneux» à «Crim»
et à l'un de ses comparses, qui l'auraient embarqué à bord d'une voiture volée.
Le lendemain, il affirme avoir reparlé à «Crim»
: «J'ai appris que Crim et son copain
s'étaient rendus à Sainte-Geneviève-des-Bois, qu'ils avaient déposé le corps
dans un petit bois et qu'ils avaient versé de [l'essence] sur l'ensemble du
corps, qu'ils y avaient mis le feu et qu'une boule de feu s'était formée».
Au moins deux témoignages concordants, celui de Fabrice Polygone (dit Fab) et
surtout celui de Samir Aït Abdelmalek (Smiley), attribuent à Youssouf Fofana
les événements de cette nuit qui auraient conduit à la mort d'Ilan. Selon Aït
Abdelmalek, c'est bien lui qui, seul avec l'otage, aurait tenté à plusieurs
reprises de lui donner la mort avec un couteau, puis fini par l'asperger d'un
liquide inflammable avant d'y mettre le feu. Des faits que Fofana nie jusqu'à
présent, se présentant même, selon son avocat, Me Alexandre Martin, comme le «sous-traitant» d'une autre bande auprès
de laquelle il prenait ses ordres. Cette ligne de défense, qui tend à le
montrer, toujours selon son avocat, comme «dépassé»
par une affaire qui a dégénéré, risque d'être mise à l'épreuve par le
témoignage du dénommé «Crim» et de
ses comparses magrébins. Jean-Christophe Soumbou, sera condamné à 18 ans de
prison. Il a été impliqué dans une autre tentative d’enlèvement: chargé de
bruler un véhicule pour faire diversion, il se brulera au cou et au visage.
N° 12 : Gilles Serrurier. Blanc de chez blanc, Serrurier
avait 39 ans au moment des faits et était le gardien de l’immeuble où était
séquestré Ilan Halimi. Il aurait prêté à ses bourreaux l’appartement, ou du
moins la chaufferie où ils l’ont torturé et tué. Ancien enfant de la DDASS,
endetté par un divorce, père de deux enfants, il aurait notamment remis les
clefs de la chaufferie à Samir. Il était incarcéré pour «complicité de séquestration en bande organisée».
N° 13 : Diossin Mendy (aucuns renseignements)
N° 14 : Franco Louise alias «Pak-Pak», ancien champion de France de boxe thaïlandaise à 23 ans
impliqué dans trois tentatives d’enlèvement. Il aurait rendu service à Fofana
après que ce dernier l’a aidé à mener une expédition punitive suite à une
agression dont il aurait été victime. Il sera interpellé lors d’une tentative
d’enlèvement qui échoua en octobre 2005, alors que Fofana parvient à s’enfuir.
N°15 : Almane Dialo, prêteur sur gages, soupçonné
d’avoir pu servir d’intermédiaire dans le cas où une remise d’argent aurait été
organisée. Il a été un des premiers arrêté et mis en détention provisoire dans
l’affaire.
N° 16 : Jérémy Pastisson né en 1985 il aurait
participé à plusieurs tentatives d’enlèvement – dont une échouera grâce à
l’intervention des voisins: le 5 janvier 2006 Mickael Douïeb est menotté et
attaqué à coup de barres de fer, et insulté parce que juif. Son véhicule aurait
servi à transporter Ilan Halimi.
N° 17 : Yassin N, qui aurait été un homme de main
recruté par Jean-Christophe Soumbou. Il s’est rendu à la police le 11 avril 2006,
mais a été remis en liberté: il n’aurait pas participé au meurtre, ni au rapt
d’Ilan Halimi.
N° 18 : Tiffenn Gouret, qui aurait fourni des
appâts à Fofana, qu’elle admire, c’est aussi l’ex petite amie de
Jean-Christophe Girardin, et une amie de Sorour Arbabzadeh dit «Emma», qu’elle mettra en contact avec
Fofana, et qu’elle coachera pour son rôle d’appât. Elle recueille les
confessions de Sorour Arbabzadeh allias (Yalda) ou (Emma) après que cette
dernière ait attiré Ilan Halimi dans le guet-apens. Elle déclare : «J’ai fait ça pour rendre service» [à
Youssouf Fofana ?]. Lors d’une autre tentative d’enlèvement, elle fournira
directement les coordonnées et les habitudes d’un de ses camarades. Après
l’enlèvement, elle conseillera à Sorour dit Emma de se teindre les cheveux.
Elle lui répète que «ce n’est pas grave».
N°19 : Sorour Arbabzadeh dit «Emma» alias «Yalda»
a servit d’appât pour piéger Ilan Halimi le 20 janvier. Mineure au moment des
faits, arrivée en France à 11 ans, dont la mère (infirmière) est réfugiée
politique (Iranienne) et le père décédé, et dont la sœur est handicapée mentale
(handicap causé par la maltraitance du père violent). En 2001, elle a été
violée par trois garçons, elle aurait fait une tentative de suicide. Élève de
seconde, elle résidait à l’internat de Thiais, en Val de Marne. Elle aurait
servi d’«appât» pour amener Halimi
dans leur repaire. Elle a reconnu s’être rendue dans la boutique de téléphonie
où travaillait Ilan Halimi, et lui avoir laissé son numéro de téléphone, avant de
lui fixer un rendez-vous dans le sud de Paris. Elle l’aurait ensuite dirigé à
Sceaux où «deux ou trois gros bras», dont
Fofana, ont maîtrisé Ilan Halimi avant de l’emmener à Bagneux. Elle a rapporté
aux enquêteurs ce témoignage à propos de Y. Fofana: «D’après lui, les juifs étaient les rois, car ils bouffaient l’argent
de l’Etat et lui, comme il était noir, était considéré comme un esclave par
l’État». Elle déclare aussi : «Youssouf,
il explique tellement bien les choses qu’on dirait qu’il n’y a rien de grave».
Lorsque la juge d’instruction lui demande: «Avez-vous
conscience que c’est vous et bien vous seule qui avez choisi la victime?» Elle
répond: «Oui». La jeune fille, qui
dément avoir été l’ex-petite amie de Y. Fofana (comme il l’affirme), nie avoir
touché de l’argent (malgré la promesse de 3000 à 5000 euros) pour avoir
participé à la séquestration d’Ilan Halimi. En revanche, elle a bénéficié d’une
nuit d’hôtel 3 étoiles (106 euros), payée par Fofana en remerciement, pour elle
et son ami, le soir de l’enlèvement. En prison elle aurait effectué trois
tentatives de suicide. En octobre 2007, elle a été hospitalisée pour une
tentative de suicide dans sa cellule de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis
(Essonne). Elle avait été mise en examen pour «complicité» et «association
de malfaiteurs. Une peine de 10 à 12 ans de réclusion criminelle est requise
contre elle en juillet 2009».
N° 20 : Audrey Lorleach dite «Léa» ou «Natacha», jeune
fille qui aurait servi auparavant d’«appât».
Jeune étudiante en assistance médicale, elle est la petite amie «clandestine» de Jérôme Ribeiro. A la
recherche d’un plan pour gagner de l’argent, ce dernier la présente à Fofana,
qui la recrute pour servir d’appât. Ses deux tentatives d’aguicher des jeunes
hommes n’aboutissent pas et Fofana non sans avoir insisté, abandonnera l’idée
de recourir à ses services. Mise au courant de l’enlèvement d’Ilan Halimi par
son ami Jérome, elle ne se signalera à la police que deux jours après l’annonce
de la mort, à la diffusion de son portrait-robot. Elle est très amie de
Murielle, qui l’a poussée à se dénoncer. Elle a retrouvé la liberté après huit
mois de détention provisoire.
N° 21 : Sabrina F: amie de Franco Louise, elle
serait impliquée dans une tentative d’enlèvement en octobre 2005. Elle sera
interpellée peu après le passage d’un véhicule de police qui met la tentative
d’enlèvement en échec.
N°22 : Murielle Izouard, amie d’Audrey, ne semble
pas faire partie des opérations mais a été inculpée de «non-dénonciation de crime». Elle s’est indignée des aveux de son
amie, mais lorsqu’elle a reconnu le portrait-robot d’Audrey dans les journaux,
elle n’a pas immédiatement alerté la police. «Je n’ai rien dit, car j’avais peur que ça me retombe dessus car j’en
savais trop» ; En revanche, elle a poussé Audrey à se dénoncer. Admissible
à l’écrit au concours de gardien de la paix, elle n’a pas pu passer l’oral de
l’examen, mise en examen pendant cette période. Incarcérée provisoirement, le
JLD a ordonné sa libération et le placement sous contrôle judiciaire. Avec de
futur «gardiens de la paix» comme
celle-là on, est totalement rassuré sur l’avenir de la police !
N° 23 : Leila Appolinaire, petite amie régulière
celle-là de Jérôme Ribeiro, a été mise au courant des faits mais les parents de
Jérôme l’auraient dissuadée de les dénoncer pour ne pas faire porter le chapeau
qu’à Jérôme.
N° 24 : Alexandra Sisilia, elle aurait servi
d’appât précédemment, et a déclaré avoir été violée par Y. Fofana, C. Martin et
J. Ribeiro – une instruction sur cette agression a été ouverte par le parquet
de Paris en mai 2006. Elle aurait été impliquée dans une autre tentative
d’enlèvement sur Michael D., qui aurait échoué grâce à des passants dans la
rue, le 6 janvier 2006. Elle n’aurait plus agi pour le groupe à partir de cette
date. Elle a également été mise en détention provisoire.
N° 25 : Isabelle Mensah, confidente de Yalda, 18
ans au moment des faits, et dans le même lycée que Tiffen, qui était au courant
des faits mais ne les a pas dénoncés. Elle témoigne: «Pour moi, c’est un truc de malade. J’y ai cru, mais je ne réalisais
pas».
N° 26 : Ruth: présentée par Tiffen à Fofana, 15
ans au moment des faits supposés, elle aurait aussi servi d’appât; avec
l’argent versé par Fofana (80 euros), après avoir obtenu un numéro de
téléphone, elle se serait acheté des bottes.
N° 27 : Sarah : elle aurait aussi servi d’appât,
et aurait tenté (en vain) de séduire une proie rencontrée par Alexandra au
Queen.
Michel Alain Labet de Bornay adhérent du CTECNA.
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