vendredi 29 septembre 2017

Les «barbares» que sont-ils devenus ?




Tiens, dans la série que sont-ils devenus, voyons un peu ou sont donc passé les «sauvageons» et autres «chances pour la France» dit aussi les «allogènes», appelés par les journalopes médiacrasseux aux ordres du New World Order ou du politiquement correct ou encore du marxisme culturel des membres du fameux «gang des barbares», en fait en très grande majorité des musulmans antisémites et afro-français (pour le néologisme Afro-français voir l'article : Les racistes noirs antisémites sont de retour),des hommes de race noire, tortionnaires et tueurs du jeune Ilan Halimi et représentant bien le nouvel antisémitisme. Ilan Halimi, 23 ans, avait été enlevé le 20 janvier 2006 à Sceaux, où il avait été attiré dans un guet-apens par une jeune fille servant «d'appât». Après de vaines négociations avec sa famille pour une rançon de 450.000 euros et une séquestration violente de trois semaines émaillée de tortures, il avait été retrouvé agonisant. Il est mort à l'hôpital.
En préambule il convient d’être clair, ce concept de nouvel antisémitisme en est une nouvelle forme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche et de la droite molle marxiste culturelle et de l'islam tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Un exemple : Le 8 Janvier 2014 la cour d’Appel de Colmar avait condamné Aline Parmentier, secrétaire départementale du PC-(F) section Alsace, membre du Front de Gauche, activiste de la campagne illégale et antisémite BDS et du «collectif» Boycott68  se revendiquant de l’idéologie marxiste aux cent cinquante millions de victimes innocentes. Elle a avec une dizaine d’autres racistes antisémites Islamos marxistes du PIR ou d’EELV, Jean Michel Baldassi, Maxime Roll, Christiane Topouzian épouse Mure, le professeur d’histoire  antisémite Henri Eichholzer, Mohammad Akbar, Farida Trichine, Jacques Ballouey, Leïla ou Laïla Assakali, Assakali Yahia, Habiba El Jarroudi épouse Assakali, Assya Ben Lakbir, été  condamnés pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion… Et ce à l’instigation du BNVCA qui les ayant fait condamner, nous cache soigneusement leur sinistre appartenance politique de gauche, d’extrême et d’ultra gauche. Bien que pour le BNVCA le «palestiniste» (néologisme employé là par le BNVCA pour marxisme culturel) exacerbé de la propagande palestinienne constitue  la source essentielle de l’antisémitisme depuis 13 ans, et que les actions des commandos BDS participent de cette propagande ciblée et nocive. On sent bien là l’éternel regret du BNVCA que ce nouvel antisémitisme ne soit pas «d’extrême droite», snif snif…
En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les 12 de Mulhouse) dont de  nombreux «zélus» ardemment soutenu par la FSU étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite ! Point barre ! Ces opérations racistes antisémites comme les profanations de cimetières, étaient un des volets de cette propagande palestinienne qui incite à la haine d’Israël et pousse à l’acte antijuif comme celui de Coulibaly, de Youssouf Fofana, de Mohamed Merah qui avait dit avoir assassiné des enfants juifs pour  «venger les enfants Palestiniens» ou de Mehdi Nemmouche et autres «Jihadistes» ou terroristes musulmans depuis.
Revenons au gang des barbares ; lors de perquisitions, il avait été trouvé chez les ravisseurs des documents de soutien au Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens, ainsi que du matériel de propagande islamiste salafiste. Au téléphone, un ravisseur avait récité une sourate du Coran à la famille d'Ilan Halimi.
Le gang islamomarxiste était composé d’une majorité écrasante d’afro-français nous n’oublions pas que les leaders du gang avaient des antécédents : ils étaient impliqués dans au moins 15 autres cas de kidnapping ou de racket, certains étaient membres de la branche française du mouvement communiste le FPLP.

Aujourd'hui, la plupart des accusés qui ont comparu en 2009 ont retrouvé la liberté, voyons le cas des autres principaux barbares ; c’est le cas du Numéro six le petit «gars bien» Yahia Touré Kaba qui mérite votre attention mais apparemment pas celle du BNVCA. Pas plus d’ailleurs que le Numéro 7 sorti de prison et qui y est immédiatement retourné.
Maître Michel Konitz avocat pénaliste défendait l'un des 27 accusés du procès du «gang des barbares» qui trouvait que les peines prononcées à l'encontre des membres du gang d’afro-français islamomarxistes étaient à la mesure de leurs actes il dira : «Je pense que c'est un verdict tout à fait équilibré, même si c'est facile de dire ça pour un avocat de la défense. Le «gang des barbares», c'est un amalgame de gens peu équilibrés menés par Youssouf Fofana, qui n'est pas un cerveau mais un crétin sanguinolent. Ceux qui ont appâté et enlevé Ilan Halimi, ainsi que ses geôliers, ne savaient pas qu'il serait tué. Fofana était le seul à connaître toute l'histoire. Les autres personnes, parmi lesquelles figurent des mineurs, sont complices de la séquestration, mais pas du meurtre. C'est ce qui explique ces peines que certains jugent trop clémentes». Quand on vous le dit : Des déséquilibrés et une bande de cas isolés défavorisés ! Lorsqu’on lui demande : «Que pensez-vous des propos de Mme Halimi, la mère d'Ilan, qui a  affirmé que la Shoah continuait en France en 2009 ?».Il répondra : «Les victimes et leur famille ont le droit de tout dire. On doit le respecter. La douleur excuse beaucoup de choses mais il faut raison garder. Il ne me semblait pas nécessaire d'évoquer ici la mémoire de la Shoah. C'était un acte antisémite, certes, mais ce n'était pas un système comme le fût le nazisme. Le but de ce procès n'était pas d'éradiquer l'antisémitisme, ni de servir de tribune, mais de juger les personnes responsables d'un acte antisémite».
Ce monsieur a raison, il n’était pas nécessaire d’évoquer ici la Shoa mais là où il a tort, c’est au sujet du «système» ou nouveau concept dit aussi new world order, qui produit ces actes de nouvel antisémite qui se sont développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la gauche marxiste culturelle, de la droite molle et de l'islam, et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Le système marxiste culturel aujourd’hui au pouvoir a pour objectif de détruire la civilisation occidentale judéo-chrétienne et il y réussi parfaitement. On aura beau dire que tout ça n'est qu’un triste fait divers, c'est quand même très inquiétant que 25 «jeunes», hommes et femmes en majorité afro-français et musulmans se soient associés pour former un gang ethnique aboutissant à une telle barbarie. Il faut encore une fois y voir le reflet de cette peste qu'on appelle marxisme culturel à l’origine de l’antiracisme qui instrumentalise les musulmans et l’immigration afro-française d’origine maghrébine et sub-saharienne (N’oublions jamais que le MRAP distille de la haine des juifs !) cet «antiracisme» est aussi à l’origine d’une contre-culture dite des «cités» qui cultive la haine du juif, du français de souche, de tout ce qui fait la culture occidentale, le mépris des femmes et l'amour de l'argent facile, à n'importe quel prix. Ces braves petits «sauvageons» incarnent une nouvelle forme de barbarie qui menace les valeurs essentielles de la démocratie européenne et de notre culture grecquo-latino-judéo-chrétienne.

Venons-en au sinistre gang d’afro-français.
N°01 : Jean-Christophe G mineur au moment des faits, dit «JC», «Zigo» un «métis boutonneux». C’est lui qui a torturé Ilan Halimi, lui aurait écrasé un joint sur le front et lui aurait donné des gifles et des coups de manche à balai. Il a écopé de 15 ans de prison. Jean-Christophe s’appelle Gavarin. Ce brave petit gars a été exclu de 4e du collège Béranger à Paris, et avait déjà été interpelé pour vol de Mp3 et possession de cannabis. Il aurait acheté quelques provisions (protéines liquides, pailles et ciseaux). Il avait témoigné: «La victime a sans doute fait du bruit ou gémi, et comme je fumais un joint, j’ai appuyé un court instant ma cigarette au milieu de son front. J’ai ensuite écrasé mon mégot au sol».
N°02 :L’afro-français musulman Youssouf (Joseph en arabe) Fofana  c’est le chef de gang. Personnage d'une extrême violence, et qui s'est enfermé, depuis l'affaire, dans la provocation. Il est le cinquième d'une famille de six enfants. Il est né en France, et totalement français. Lorsqu'il prendra la fuite en Côte d'Ivoire, en 2006, il tentera en vain de se faire passer pour citoyen ivoirien, ce pays n'extradant pas ses ressortissants. Mais les juges africains ont bien vu qu'il n'avait qu'un passeport hexagonal et l'ont renvoyé en France. Une extradition digne d'un thriller américain où l'homme a été transféré dans un avion militaire spécial, menotté, ligoté et allongé, entouré d'une dizaine de gendarmes. «Nous n'avons pas eu le choix. Seul un avion militaire, non soumis aux mêmes règles et conditions de sécurité, nous permettait de rapatrier un mis en cause aussi incontrôlable». Incontrôlable et provocateur, Fofana l'a été tout au long du procès où il est arrivé avec un grand sourire en lançant l’inévitable cri de haine musulman «Allah ou akbar», ou en se décrivant comme «arabe africain islamiste salafiste» (c’est lui qui le dit et il semble en être fier). Il est condamné le 11 juillet 2009 à la peine maximale, soit la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de vingt-deux ans. Il a aujourd’hui 36 ans et est actuellement emprisonné au Centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne), un des établissements le plus sécurisés de France. Détenu difficile à gérer, Fofana a été condamné en 2014 à quatre ans de prison supplémentaires pour deux agressions de surveillants de la prison d’Alençon, avant d’être condamné encore à trois ans pour une autre agression. De source pénitentiaire, il est toujours à l’isolement dans la prison. «Il est d’une dangerosité réelle et nous insulte parfois. Le reste du temps, il est mutique. Il s’occupe en lisant, en jouant aux jeux vidéo et en appelant sa famille. Il est toujours féru de religion, mais n’en parle pas. Comme il ne parle pas non plus de l’affaire Halimi. Une chose n’a pas changé : il se voue un culte de la personnalité extrême» (Comme chez tous les islamo- marxistes ou les néo-nazis afro-français le culte de la personnalité du Leader est fortement encouragé).                                                                                              Youssouf Fofana, condamné en 2009 à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'enlèvement et l'assassinat du jeune juif Ilan Halimi, a été condamné en plus à dix ans de prison pour des tentatives d'extorsion et des menaces de mort antérieures à ce crime. Pour justifier cette peine, la présidente de la 16e chambre du tribunal correctionnel de Paris, Isabelle Prévost-Desprez, a souligné la «gravité extrême» des faits. À l'audience, l'ex-chef du «gang des barbares», âgé de 36 ans, s'est présenté mardi comme un «trader de la terreur», mais il a rapidement demandé à retourner en détention, une requête qui lui a été accordée. Fofana était accusé d'avoir envoyé, entre 2002 et 2004, des lettres de menace et des demandes de rançons à une quarantaine de personnes, pour la plupart dirigeantes d'entreprises, de Rolex à Whirlpool en passant par Toshiba. Mais aussi l'ancien président de Médecins sans frontières, Rony Brauman. Pendant toute la durée de l'enquête, Youssouf Fofana, qui fut extradé de Côte d'Ivoire vers la France en mars 2006 dans le cadre de l'instruction sur l'assassinat d'Ilan Halimi, a refusé de répondre aux questions des juges. «Qu'est-ce que ça changera à ma vie?» leur a-t-il lancé en décembre 2013 en référence à la peine qu'il purge. Il a été condamné à perpétuité. En 2002, quatre ans avant l'assassinat d'Ilan Halimi, ciblé car juif et donc nécessairement fortuné selon le chef de gang, cinq personnes recevaient des menaces accompagnées de demandes de paiement d'un impôt revendiqué par la branche française du Front Populaire de libération de la Palestine (FPLP) organisation terroriste antisémite et communiste. En 2004, d'autres victimes recevaient des lettres similaires de la part d'un groupe appelé «MAFIA K1 FRY». La même année, 26 personnes recevaient des courriers signés «Armata Corsa» exigeant des sommes pour servir la cause indépendantiste corse. À chaque fois, «les modes opératoires», «le choix des victimes», «les demandes financières», «le type de menaces», sont «sensiblement les mêmes», note l'accusation. Il faudra attendre février 2006 pour que des rapprochements entre ces trois affaires et l'assassinat d'Ilan Halimi mènent les enquêteurs jusqu'à Youssouf Fofana qui, rappelle l'accusation, a reconnu son implication en 2007 et 2008. Condamné à onze reprises entre 2000 et 2013, notamment pour vols et violences aggravées et apologie du terrorisme, Youssouf Fofana est détenu à la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne), la plus sécurisée de France, où il est à l'isolement. Devenu un très bon musulman soit un islamiste radical et extrêmement violent, il y a agressé plusieurs surveillants qui sont désormais obligés de se protéger pour lui servir les repas. En 2012, il s'était filmé dans sa prison de Clairvaux en tenant des discours antisémites et islamistes.

N°3 : Samir Aït Abdelmalek, afro-Français musulman dit «Smiller» ou «Agent Smith», en référence à Matrix, père de deux enfants, multirécidiviste pour des affaires de drogue et de vol de voiture, qui avait fourni l’appartement de la séquestration à Bagneux avant qu’Ilan Halimi soit séquestré dans la chaufferie de l’immeuble, il est considéré comme le bras droit de Youssouf Fofana qu'il connaissait depuis dix ans. Il avait fourni l’acide et donné des coups de cutter sur le visage et le cou de la victime. Il aurait dû toucher 1500 euros pour ses prestations. Dans le procès-verbal du 18 février 2006 de son interrogatoire par la Brigade criminelle de Paris, Samir Aït Abdelmalek, déclare: «J’ai sorti la lame de cutter et après qu’il a mangé et bu, j’ai cherché un endroit où lui mettre un coup de cutter pour que ça saigne sans lui faire trop mal. Je ne voulais pas toucher à l’adhésif qui l’empêchait de hurler. Sans prévenir Ilan pour qu’il ne stresse pas, je lui ai mis un coup de cutter sur cinq ou six centimètres sur la joue gauche. Malgré le sparadrap cela a saigné vite dans sa barbe qui n’avait pas été rasée». Le policier qui interroge le jeune homme poursuit : «à ce moment, m’a-t-il expliqué, Ilan avait réussi à relever son bandage sur les yeux. Du coup, Youssouf avec un couteau lui a mis un coup dans la gorge vers la carotide puis un coup de l’autre côté de la gorge. Ensuite il a essayé de lui couper le bas de la nuque puis il lui a mis un coup de couteau dans le flanc. Il avait surement dû revenir avec un bidon d’essence car il m’a dit qu’il avait utilisé un bidon pour asperger Ilan avec ce combustible et l’a incendié sur place. À ce moment il m’a dit: «Cela a fait une grande flamme et je suis parti». Agé de 37 ans aujourd’hui, il purge une peine de 15 ans de réclusion à Fleury-Mérogis (Essonne).


N°4 : Jérôme Ribeiro, métis d'origine portugaise, alias «coup de tête» (Pas bien fini le «jeune» néo nazi Ribeiro se tapait la tête contre les murs en faisant du Roller), issu d’une famille d’origine incontrôlée de six frères et sœurs, il n’avait jamais travaillé plus de quelques jours d’affilé, il était manutentionnaire intérimaire. Soupçonné d’avoir participé à l’élaboration du projet d’enlèvement et «Il était plus qu’un geôlier» selon une source judiciaire. Son témoignage aurait permis aux forces de l’ordre de remonter à d’autres membres du gang. Il a quitté le groupe à la fin du mois de janvier 2006. Des autocollants antisémites et des documents à la gloire des nazis ont été découverts dans l’appartement où il avait vécu. Il déclare: «Il m’a demandé si je voulais me faire beaucoup d’argent, j’ai répondu oui. Il m’a indiqué qu’il suffirait de garder trois jours un homme». Son père Alcino Ribeiro, maçon de 52 ans, et sa belle-mère, sont accusés par Leila (sa copine), de les avoir dissuadés de parler, en leur conseillant de faire profil bas. Condamné à 10 ans de prison notre «jeune» barbare néo nazi devrait être dehors.

N° 5 :L’afro-français musulman Nabil Moustafa, alias «Bilna», livreur de pizza et de shit, footballeur d’occasion avait été geôlier et avait amené Cédric dans le groupe. Il témoigne: « Lorsque j’ai soulevé sa couverture, j’ai vu des taches de sang sur son pyjama avec des trous, au niveau des jambes et du ventre. Quand on l’a déshabillé, j’ai vu des plaques rouges sur son ventre (…), ça ressemblait un peu à des brûlures». «On a dit qu’on en avait assez. Le boss a réfléchi et il a décidé qu’il n’y avait plus que ce soir-là, que l’autre devait dégager». Il était également impliqué dans une autre tentative d’enlèvement crapuleuse. Nabil Moustafa, 13 ans de prison : nous n’oublions pas.

N°6 : Yahia Touré Kaba (quel joli nom bien de chez nous) alias «Yaks», un guinéen analphabète, qui avait coupé les cheveux de la victime sur ordre de Fofana, pour faire disparaître toute trace d’ADN et avait fourni deux autres amis pour sa relève, «Fabrice» et «Baba». Il a témoigné en expliquant à propos de l’otage : «Il pissait dans une bouteille et faisait caca dans un sac en plastique». Il serait impliqué dans une précédente tentative d’enlèvement. Yahia Touré Kaba, 19 ans, aurait assuré la garde pendant deux semaines et demi. Il a expliqué aux policiers qu’Ilan Halimi avait été amené le premier soir par Youssouf Fofana et quatre hommes cagoulés. Nabil Moustafa, 18 ans, aurait tenu le pistolet dirigé vers Ilan Halimi sur la première photo envoyée. Il aurait aussi demandé à Cédric Birot Saint-Yves, 28 ans, de participer à la surveillance du captif. Poursuivi pour association de malfaiteurs, séquestration d’Ilan Halimi et actes de tortures et de barbarie, condamné définitivement en appel à onze ans de réclusion criminelle, le bourreau Guinéen a été transféré en 2013 au centre de détention de Villenauxe-la-Grande, avant d’intégrer une cellule de la maison d’arrêt de Troyes. C’est de là qu’il a été extrait en 12 2014 pour être remis en liberté (Oui vous avez bien lu en LIBERTE !). Là, des fonctionnaires l’ont conduit à l’aéroport pour l’expulser du territoire français. Direction la Guinée, son pays natal. «Il n’était plus souhaité sur le territoire national», a confirmé l’administration. En 2014, monsieur Bernard Cazeneuve étant  ministre de l'Intérieur au sein du gouvernement Valls I. (Monsieur Valls  ancien Premier Ministre se disant «éternellement attaché à Israël, quand même !», bizarre ça ce «quand même», ce bon monsieur Valls a pourtant fait une intervention remarquée en 2008 à Evry, parc des Coquibus, lors d’une cérémonie «symbolique pour la paix» au Moyen-Orient, «un olivier pour la paix», et ceci dans le cadre de la Journée de la Terre, organisée conjointement par "Evry Palestine" association marxiste faisant partie du mouvement communiste AFPS instigateur de la campagne antisémite BDS , et la Municipalité d’Evry (Essonne) où le maire socialiste Valls fait une intervention. C’est à voir et à écouter !  Une preuve supplémentaire, si tant est qu’il y en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à accéder au pouvoir sont capables de toutes les duplicités. A la suite, vous trouverez des extraits la version écrite d’un discours de Manuel Valls encore plus savoureux prononcé en 2006 en tant que maire d’Evry et député PS, lors de la réception de Leïla Shahid. Manuel Valls a été vice-président du groupe d’études sur les territoires palestiniens à l’Assemblée Nationale. Il a travaillé avec l’association antisémite «Evry Palestine» et jumelé sa ville avec le soi-disant «camp martyrisé» de Khan Younis à Gaza. Voici des extraits de son discours  en 2006 : «Chers Amis, je suis heureux d’être parmi vous, (…) avec Leïla Shahid : comme député socialiste, (…) d’une formation trop souvent absente d’un combat qui est le nôtre; comme maire d’Evry ensuite qui est engagé pleinement, notamment grâce à l’action des citoyens de l’association Evry Palestine, dans un jumelage, dans une démarche (…) de coopération, de solidarité avec le camp martyrisé de Khan Younis à Gaza. Il y a quelques semaines, avec une délégation de la ville et de l’association, nous nous sommes rendus en Israël et en Palestine (…). J’ai constaté une nouvelle fois la dégradation de la situation (…). Le parti travailliste a fait une erreur terrible qui lui a fait perdre son âme en participant à la coalition présidée par Sharon (…). Nous devons être aux côtés de ceux qui, en Israël, luttent pour la paix et le dialogue avec les Palestiniens (…). J’ai rencontré de nombreux Israéliens qui continuent à dialoguer avec des élus et avec les maires palestiniens et ce dialogue est indispensable. Nous devons le soutenir ici mais nous devons d’abord le soutenir là-bas. Alors si les Palestiniens vivent cette situation qui est révoltante par, notamment, la destruction volontaire de l’Autorité Palestinienne, la répression terrible et son cortège de morts, l’occupation et la destruction des villes, des villages, des maisons, la poursuite de la colonisation qui viole le droit international et qui effectivement ne s’est jamais arrêtée, le chômage, la misère sociale et sanitaire que vivent les Palestiniens. On veut détruire les infrastructures, la mémoire, le futur de ce peuple. (…). La France, l’Europe, doivent pleinement prendre leurs responsabilités pour évidemment empêcher la guerre contre l’Irak, et je ne voterai jamais – et je m’engage clairement et solennellement – l’engagement de la France dans une guerre contre l’Irak. Il faut qu’Israël respecte les résolutions de l’ONU. Pour cela le rapport des forces est indispensable et donc oui il faut amener les parlements et les gouvernements à suspendre l’accord d’association Union européenne-Israël, ce qui aurait effectivement un écho énorme en Israël et en Palestine. Oui, chers amis, oui Leïla, nous devons faire la démonstration de notre volonté inébranlable pour que le peuple palestinien, à travers notre mobilisation, retrouve le chemin de l’histoire. Merci ». Une preuve supplémentaire, si tant est qu’il y en ait encore besoin, tendant à prouver que les personnes visant à accéder au pouvoir sont capables de toutes les duplicités.   
                                                 
Outre messieurs Bernard Cazeneuve ministre de l'Intérieur et monsieur le premier ministre Valls, monsieur le président de la république était monsieur François Hollande. Tous les trois marxistes culturels se disant «socialistes». Nous sommes toujours dans l’attente d’un communiqué indigné du BNVCA.  
                                                              Décrit comme «sans papier», l’étranger rentré illégalement en France et qui de ce fait était déjà un délinquant et ainsi présenté par son avocate marxiste culturelle d’ultra gauche au moment du procès pour faire pleurer dans les chaumières sur ces «pôvres» noirs immigrés clandestins contraints de se livrer à une délinquance abominable par des Français forcément d’extrême droite et blancs racistes ! Et voilà que se profile le scandale absolu, lui que les autres membres du Gang des Barbares surnommaient «Yaks» a été «éloigné» de la France dans la plus grande discrétion fin décembre 2014 pour trois ans. Vous avez bien lu : Seulement 3 ans ! Après en 2017, notre membre du gang antisémite des Barbares pourra revenir en France dealer de la drogue sans entraves ! Le gouvernement socialiste avait affrété un avion spécialement pour cette pourriture ce qui avait coûté 200 000 euros aux contribuables. Un avion de transport de la sécurité civile.                                                                                     C’est un drôle de portrait que dresse Solène Chalvon dans le Charlie Hebdo du 22 02 2015, deuxième numéro à paraître depuis les massacres de début janvier. Geôlier durant 18 jours d’Ilan Halimi, Yahia Touré Kaba, a fait l’objet d’une magnifique procédure d’éloignement fin décembre dernier, après avoir purgé seulement 9 années de prison en France. Depuis fin décembre, explique la journaliste, Kaba «est de retour dans le chaos de Conakry sans savoir occuper ses journées». Elle ferait pleurer un crocodile ! 
                                                                                  «Ici, les gens ne me comprennent pas quand je parle. Je fais trop Français» explique notre criminel Guinéen à la journaliste qui semble l’avoir rencontré sur place, malgré l’épidémie d’Ebola qui frappe le pays. Sa situation sur place paraît surréaliste : soumis à une «surveillance policière légère, il est en réalité suivi par son oncle : «mon tonton est constamment sur mon dos» dit-il. Surréaliste aussi est l’opinion qu’il a de lui-même. A-t-il des remords sur son rôle dans les tortures ayant entrainé la mort d’Ilan Halimi ? «Ça va vous paraître bizarre, mais je sais que je suis un mec bien». Quand madame le reporter de Charlie évoque les frères Kouachi, ou Coulibaly il dit «replonger dans le truc de fou qui (lui) est arrivé il y a neuf ans. Ça me fait repenser à lui». Lui c’est Ilan Halimi Le «truc de fou», ce sont les tortures, la privation de nourriture, le froid…Un cas à verser à la faveur de la théorie de la «banalité du mal» chère à Hannah Arendt ? Non ! La banalité d’un système marxiste culturel qui prend les Français pour des crétins ; voilà un criminel étranger condamné en France qui se pavane dans son pays en n’ayant pas fini de purger sa peine, cherchez l’erreur.         

La revue "nègre" c'est aujourd'hui à Bagneux.
N° 7:dric Birot Saint-Yves un afro-Français alias «Babas», ami du musulman antisémite Nabil et de  Yahia Touré Kaba qui avait été geôlier est mis en examen pour séquestration, actes de torture et de barbarie. Il déclarera : «Dès le premier jour, j’ai pu constater que l’otage présentait des traces de brûlures par mégots au niveau des côtes et du dos». Les coups auraient débuté après un premier échec de remise de rançon. «Tous les quatre, Nabil, Yahia, Jérôme et moi, nous lui avons mis des tartes quand il gémissait pour avoir des cigarettes (…) Il m’est arrivé aussi de lui mettre de petits coups de balai sur les jambes, cuisses ou mollets». Il est mis en examen pour séquestration, actes de torture et de barbarie. Le 5 janvier 2009, il est condamné par le tribunal de Créteil à cinq mois de détention ferme pour avoir utilisé un téléphone portable dans l’enceinte de la prison de Fresnes (Val de Marne) où il était incarcéré. Sa sœur cadette a écopé de deux mois avec sursis pour lui avoir transmis la puce électronique.                                                                                             Septembre 2017, l’afro-Français Cédric Birot Saint-Yves sorti de prison le 8 mai 2017, et qui était domicilié depuis chez une amie de sa sœur à Lognes s’est soustrait à un contrôle et a blessé un policier dans sa fuite en voiture le 19 juin dernier. Jugé par le tribunal correctionnel de Melun, il a écopé de trois ans et demi de prison dont deux fermes. «J’ai pas trop envie d’en parler», lance l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves, 29 ans, au sujet de sa participation au calvaire d’Ilan Halimi, le jeune juif séquestré et torturé à mort par un gang ethnique raciste le gang des barbares en janvier 2006. Tête penchée, regard sombre, cheveux teints en blondasse tirés en arrière, il était poursuivi ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Meaux pour «conduite sans permis», «violence aggravée» et «refus d’obtempérer aggravé» en récidive. Le 19 juin 2017, un peu plus d’un mois après sa sortie de prison, il a blessé un policier en prenant la fuite en voiture suite à un contrôle de police avenue de Claye, près du commissariat de Chelles. Condamné à trois ans et demi de prison, dont deux ans ferme, il est maintenu en détention. A bord d’une Citroën C4, il avait refusé de s’arrêter. Mis en joue par le gardien de la paix, il avait alors accéléré et touché son flanc avec le rétroviseur droit. Il avait abandonné la voiture et était parti en courant. La victime, projetée au sol, souffrait d’une entorse au genou et avait bénéficié d’une ITT de dix jours. Âgé de 18 ans et 4 jours au moment de l’atroce affaire Halimi, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves avait été condamné en appel en 2010 par la Cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne à douze ans de réclusion criminelle pour avoir rempli le rôle immonde de geôlier et de tortionnaire. Confondu par son ADN sur une paire de lunettes dans la Citroën, Cédric Birot Saint-Yves est resté en cavale jusqu’à son arrestation le 11 août. Le 25 juin, un mineur s’était même présenté au commissariat pour porter le chapeau à sa demande. Il avait été rémunéré 1000 euros par l’ancien geôlier (on se demande bien où il avait trouvé les sous). L’enquête a aussi permis de trouver une vidéo tournée au volant le 30 juillet 2017 où le prévenu insultait la police, se vantait d’être recherché et de «faire de la GTA», un jeu vidéo dont le héros «commet des délits et peut aller jusqu’à écraser des policiers». «Franchement, c’est cadeau pour les poursuites », commente la présidente. «Il a foncé délibérément sur le policier. Son casier judiciaire est édifiant. Il y a eu de multiples incidents en prison. Il faut prendre en compte la dangerosité de l’homme que vous allez juger», avertit Eric de Valroger, le procureur-adjoint, qui a requis 6 ans d’emprisonnement. «Ce n’est pas juste le barbare qu’on a voulu décrire. Sa détention a été compliquée. Il s’est retrouvé chez une inconnue sans boulot, cela ne pouvait pas se passer autrement», plaide Maître Daphné Pugliesi, son avocate. Et comment cela doit-il se passer ? A sa sortie, l’afro-français Cédric Birot Saint-Yves était soumis à une surveillance judiciaire qui impliquait l’obligation de ne pas se présenter à Bagneux (Hauts-de-Seine) où Halimi avait été séquestré. Les investigations ont permis de démontrer qu’il s’y était rendu plusieurs fois. En conséquence, il devra purger deux ans et deux mois en plus de sa nouvelle condamnation. Cédric Birot Saint-Yves était l’un des plus jeunes du Gang antisémite des barbares, mené par l’afro-français musulman et antisémite Youssouf Fofana. Après le départ d’un premier geôlier, il avait rempli ce rôle durant cinq jours. «Il surveillait de 11 heures à 20 heures et avait constaté les conditions inhumaines de détention et les traces de coups», indique le procureur. Maître Daphné Pugliesi, l’avocate qui avait eu le triste privilège de défendre l’indéfendable (elle le défendait déjà à l’époque), a assuré que «le procès a permis de démontrer qu’il n’avait pas donné l’idée de blesser Halimi au cutter et qu’il n’avait pas pris la photo envoyée à la famille» Ah bon; un petit gars bien non ? En tous cas une rente pour madame Pugliesi. «Cédric a arrêté spontanément quand il a découvert qu’il ne s’agissait pas de trafic de stupéfiants. Il a eu le sentiment que cet arrêt avait précipité la mort d’Halimi», ajoute-t-elle. Une fois incarcéré, le bon petit «jeune» Birot Saint-Yves avait commis trois autres délits : menace de mort sur un agent pénitentiaire en 2007, intrusion d’un téléphone portable en 2008 et outrage en 2009. Il a écumé les prisons d’Île-de-France suite à ces nouvelles condamnations et pour «des raisons sécuritaires». Un rapport avait souligné la «faiblesse de son sens moral» et son «absence de culpabilité».

N° 8 : Fabrice Polygone, dit «Fab» un afro-Français soi-disant étudiant en BTS, a été geôlier pendant toute la séquestration, et a aussi aidé à couper les cheveux de la victime. Il explique ce qu’il s’est passé un jour avant la mort d’Ilan Halimi : «Dos contre le mur, jambes un peu repliées vers le torse. Il était en peignoir. J’ai vu nettement des traces d’éraflure ou de frottement sur le côté gauche de son torse, un peu partout, vers les côtes, le cou, la poitrine. Ça ne saignait pas». Condamné à 11 ans de prison, on ne va pas tarder à reparler de lui car il doit peut-être être dehors aujourd’hui.


N°9 : Giri Oussivo N’Gazi dit Francis N’Gazi, un autre afro-français un ami de Jérôme, qui avait été lui aussi geôlier et tortionnaire et avait fourni son appartement pour les réunions du groupe de gangsters ethniques. Il était voisin de l’appartement des Fofana. Il avait également fourni des «filles-appâts» à Youssouf Fofana dans une autre affaire.
N° 10 : Christophe Martin-Vallet martiniquais. L’afro-français Christophe Martin-Vallet, dit «Moko», (est passé par Toulon ?) féru d’informatique, aurait suggéré l’idée des rapts et aurait organisé les opérations de séduction des rabatteuses. Il aurait également amené Emma à son rendez-vous avec la victime et l’aurait reconduite une fois la victime capturée. Il est également accusé de viol avec Fofana, par un des «appâts». Il aurait participé à six tentatives d’enlèvement. Condamné à 10 ans de prison.  

N° 11 : Jean-Christophe Soumbou, dit d’origine africaine est-ce un afro-français ou un étranger ? Condamné à 18 ans de prison il est incarcéré à la prison de Réau (Seine-et-Marne). Il a aujourd’hui 26 ans. D’après les propos de son avocat, Romain Boulet, au Parisien, il a suivi une formation et «s’est lancé dans la boulangerie». «Marc», alias «Crim» ou «Craps», un des derniers membres du gang ethnique raciste et antisémite dit des barbares qui était toujours en cavale, s'était livré à la police, lundi 10 avril 2006. Après avoir confirmé cette information, la police a annoncé la reddition d'un deuxième suspect. Cet homme d'origine africaine est né en 1986 et s'appelle Jean-Christophe Soumbou. Il s'est présenté hier après-midi au commissariat de police de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avant d'être transféré dans les locaux de la brigade criminelle, à Paris, où il a été placé en garde à vue et entendu dans le cadre de l'affaire du kidnapping et du meurtre d'Ilan Halimi. Son audition se poursuivait mardi 11 avril. Mardi, en fin d'après-midi, des sources policières ont également annoncé la reddition d'un deuxième membre du gang, dont l'identité n'a pas été révélée, mais qui pourrait faire partie du groupe de «Craps». «Craps» apparaît à plusieurs reprises dans les dépositions des membres du gang, surtout dans celles de Youssouf Fofana, son chef. Il est soupçonné d'avoir agi, en compagnie de deux complices, comme «gros bras» lors de l'enlèvement du jeune homme. Il aurait aussi participé aux autres tentatives d'enlèvement organisées par la bande de Bagneux (Hauts-de-Seine). Athlétique, «incroyablement baraqué», ainsi que le décrivent les policiers, c'est lui qui aurait été chargé, selon la hiérarchie fixée par Fofana, d'appréhender et de maîtriser l'otage, avant son transfert vers son lieu de détention. Il était activement recherché par la police, de même que ses deux «copains maghrébins» qui l'assistaient dans ses fonctions, au dire des autres membres du gang. Après des semaines de traque, les policiers de la brigade criminelle pensaient l'avoir localisé de «manière précise» dans la banlieue où il a toujours vécu : la cité de l'Etoile, à Bagneux. Plutôt que de l'arrêter, ils ont préféré faire pression sur ses amis et membres de sa famille pour qu'il se rende de lui-même. Les policiers faisaient valoir l'intérêt qu'il avait à s'expliquer au plus vite sur les accusations formulées contre lui par Youssouf Fofana dans sa première déposition à la police judiciaire ivoirienne, le 23 février à Abidjan, peu après son arrestation, lors d'une audition à laquelle assistaient deux enquêteurs parisiens. Lors de cette déposition, non exempte de contradictions, Youssouf Fofana racontait qu'il avait fait la connaissance de Jean-Christophe Soumbou lors de son séjour à la prison de Nanterre, où il était incarcéré pour vol avec violence. C'est là que l'idée de ces kidnappings aurait germé. Par la suite, Fofana «charge» copieusement celui qu'il appelle son «copain Crim» de plusieurs agissements dont il est lui-même accusé par les autres membres de la bande. C'est Jean-Christophe Soumbou qui aurait choisi la victime et l'aurait brûlée vive, la nuit du 12 au 13 février, avant que le corps agonisant d'Ilan soit retrouvé près de la gare de Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l'Essonne. «C'est Crim qui a jeté son dévolu sur lui, comme les autres. J'ignore pourquoi il a été choisi», avait expliqué Fofana à propos d'Ilan. Plus loin, il affirme que, la nuit du 13 février, il a remis l'otage toujours vivant «derrière le magasin Cora de Bagneux» à «Crim» et à l'un de ses comparses, qui l'auraient embarqué à bord d'une voiture volée. Le lendemain, il affirme avoir reparlé à «Crim» : «J'ai appris que Crim et son copain s'étaient rendus à Sainte-Geneviève-des-Bois, qu'ils avaient déposé le corps dans un petit bois et qu'ils avaient versé de [l'essence] sur l'ensemble du corps, qu'ils y avaient mis le feu et qu'une boule de feu s'était formée». Au moins deux témoignages concordants, celui de Fabrice Polygone (dit Fab) et surtout celui de Samir Aït Abdelmalek (Smiley), attribuent à Youssouf Fofana les événements de cette nuit qui auraient conduit à la mort d'Ilan. Selon Aït Abdelmalek, c'est bien lui qui, seul avec l'otage, aurait tenté à plusieurs reprises de lui donner la mort avec un couteau, puis fini par l'asperger d'un liquide inflammable avant d'y mettre le feu. Des faits que Fofana nie jusqu'à présent, se présentant même, selon son avocat, Me Alexandre Martin, comme le «sous-traitant» d'une autre bande auprès de laquelle il prenait ses ordres. Cette ligne de défense, qui tend à le montrer, toujours selon son avocat, comme «dépassé» par une affaire qui a dégénéré, risque d'être mise à l'épreuve par le témoignage du dénommé «Crim» et de ses comparses magrébins. Jean-Christophe Soumbou, sera condamné à 18 ans de prison. Il a été impliqué dans une autre tentative d’enlèvement: chargé de bruler un véhicule pour faire diversion, il se brulera au cou et au visage.

N° 12 : Gilles Serrurier. Blanc de chez blanc, Serrurier avait 39 ans au moment des faits et était le gardien de l’immeuble où était séquestré Ilan Halimi. Il aurait prêté à ses bourreaux l’appartement, ou du moins la chaufferie où ils l’ont torturé et tué. Ancien enfant de la DDASS, endetté par un divorce, père de deux enfants, il aurait notamment remis les clefs de la chaufferie à Samir. Il était incarcéré pour «complicité de séquestration en bande organisée».
N° 13 : Diossin Mendy (aucuns renseignements)

N° 14 : Franco Louise alias «Pak-Pak», ancien champion de France de boxe thaïlandaise à 23 ans impliqué dans trois tentatives d’enlèvement. Il aurait rendu service à Fofana après que ce dernier l’a aidé à mener une expédition punitive suite à une agression dont il aurait été victime. Il sera interpellé lors d’une tentative d’enlèvement qui échoua en octobre 2005, alors que Fofana parvient à s’enfuir.
N°15 : Almane Dialo, prêteur sur gages, soupçonné d’avoir pu servir d’intermédiaire dans le cas où une remise d’argent aurait été organisée. Il a été un des premiers arrêté et mis en détention provisoire dans l’affaire.

N° 16 : Jérémy Pastisson né en 1985 il aurait participé à plusieurs tentatives d’enlèvement – dont une échouera grâce à l’intervention des voisins: le 5 janvier 2006 Mickael Douïeb est menotté et attaqué à coup de barres de fer, et insulté parce que juif. Son véhicule aurait servi à transporter Ilan Halimi.
N° 17 : Yassin N, qui aurait été un homme de main recruté par Jean-Christophe Soumbou. Il s’est rendu à la police le 11 avril 2006, mais a été remis en liberté: il n’aurait pas participé au meurtre, ni au rapt d’Ilan Halimi.


N° 18 : Tiffenn Gouret, qui aurait fourni des appâts à Fofana, qu’elle admire, c’est aussi l’ex petite amie de Jean-Christophe Girardin, et une amie de Sorour Arbabzadeh dit «Emma», qu’elle mettra en contact avec Fofana, et qu’elle coachera pour son rôle d’appât. Elle recueille les confessions de Sorour Arbabzadeh allias (Yalda) ou (Emma) après que cette dernière ait attiré Ilan Halimi dans le guet-apens. Elle déclare : «J’ai fait ça pour rendre service» [à Youssouf Fofana ?]. Lors d’une autre tentative d’enlèvement, elle fournira directement les coordonnées et les habitudes d’un de ses camarades. Après l’enlèvement, elle conseillera à Sorour dit Emma de se teindre les cheveux. Elle lui répète que «ce n’est pas grave».
N°19 : Sorour Arbabzadeh dit «Emma» alias «Yalda» a servit d’appât pour piéger Ilan Halimi le 20 janvier. Mineure au moment des faits, arrivée en France à 11 ans, dont la mère (infirmière) est réfugiée politique (Iranienne) et le père décédé, et dont la sœur est handicapée mentale (handicap causé par la maltraitance du père violent). En 2001, elle a été violée par trois garçons, elle aurait fait une tentative de suicide. Élève de seconde, elle résidait à l’internat de Thiais, en Val de Marne. Elle aurait servi d’«appât» pour amener Halimi dans leur repaire. Elle a reconnu s’être rendue dans la boutique de téléphonie où travaillait Ilan Halimi, et lui avoir laissé son numéro de téléphone, avant de lui fixer un rendez-vous dans le sud de Paris. Elle l’aurait ensuite dirigé à Sceaux où «deux ou trois gros bras», dont Fofana, ont maîtrisé Ilan Halimi avant de l’emmener à Bagneux. Elle a rapporté aux enquêteurs ce témoignage à propos de Y. Fofana: «D’après lui, les juifs étaient les rois, car ils bouffaient l’argent de l’Etat et lui, comme il était noir, était considéré comme un esclave par l’État». Elle déclare aussi : «Youssouf, il explique tellement bien les choses qu’on dirait qu’il n’y a rien de grave». Lorsque la juge d’instruction lui demande: «Avez-vous conscience que c’est vous et bien vous seule qui avez choisi la victime?» Elle répond: «Oui». La jeune fille, qui dément avoir été l’ex-petite amie de Y. Fofana (comme il l’affirme), nie avoir touché de l’argent (malgré la promesse de 3000 à 5000 euros) pour avoir participé à la séquestration d’Ilan Halimi. En revanche, elle a bénéficié d’une nuit d’hôtel 3 étoiles (106 euros), payée par Fofana en remerciement, pour elle et son ami, le soir de l’enlèvement. En prison elle aurait effectué trois tentatives de suicide. En octobre 2007, elle a été hospitalisée pour une tentative de suicide dans sa cellule de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). Elle avait été mise en examen pour «complicité» et «association de malfaiteurs. Une peine de 10 à 12 ans de réclusion criminelle est requise contre elle en juillet 2009».

N° 20 : Audrey Lorleach dite «Léa» ou «Natacha», jeune fille qui aurait servi auparavant d’«appât». Jeune étudiante en assistance médicale, elle est la petite amie «clandestine» de Jérôme Ribeiro. A la recherche d’un plan pour gagner de l’argent, ce dernier la présente à Fofana, qui la recrute pour servir d’appât. Ses deux tentatives d’aguicher des jeunes hommes n’aboutissent pas et Fofana non sans avoir insisté, abandonnera l’idée de recourir à ses services. Mise au courant de l’enlèvement d’Ilan Halimi par son ami Jérome, elle ne se signalera à la police que deux jours après l’annonce de la mort, à la diffusion de son portrait-robot. Elle est très amie de Murielle, qui l’a poussée à se dénoncer. Elle a retrouvé la liberté après huit mois de détention provisoire.
N° 21 : Sabrina F: amie de Franco Louise, elle serait impliquée dans une tentative d’enlèvement en octobre 2005. Elle sera interpellée peu après le passage d’un véhicule de police qui met la tentative d’enlèvement en échec.
N°22 : Murielle Izouard, amie d’Audrey, ne semble pas faire partie des opérations mais a été inculpée de «non-dénonciation de crime». Elle s’est indignée des aveux de son amie, mais lorsqu’elle a reconnu le portrait-robot d’Audrey dans les journaux, elle n’a pas immédiatement alerté la police. «Je n’ai rien dit, car j’avais peur que ça me retombe dessus car j’en savais trop» ; En revanche, elle a poussé Audrey à se dénoncer. Admissible à l’écrit au concours de gardien de la paix, elle n’a pas pu passer l’oral de l’examen, mise en examen pendant cette période. Incarcérée provisoirement, le JLD a ordonné sa libération et le placement sous contrôle judiciaire. Avec de futur «gardiens de la paix» comme celle-là on, est totalement rassuré sur l’avenir de la police !
N° 23 : Leila Appolinaire, petite amie régulière celle-là de Jérôme Ribeiro, a été mise au courant des faits mais les parents de Jérôme l’auraient dissuadée de les dénoncer pour ne pas faire porter le chapeau qu’à Jérôme.
N° 24 : Alexandra Sisilia, elle aurait servi d’appât précédemment, et a déclaré avoir été violée par Y. Fofana, C. Martin et J. Ribeiro – une instruction sur cette agression a été ouverte par le parquet de Paris en mai 2006. Elle aurait été impliquée dans une autre tentative d’enlèvement sur Michael D., qui aurait échoué grâce à des passants dans la rue, le 6 janvier 2006. Elle n’aurait plus agi pour le groupe à partir de cette date. Elle a également été mise en détention provisoire.
N° 25 : Isabelle Mensah, confidente de Yalda, 18 ans au moment des faits, et dans le même lycée que Tiffen, qui était au courant des faits mais ne les a pas dénoncés. Elle témoigne: «Pour moi, c’est un truc de malade. J’y ai cru, mais je ne réalisais pas».
N° 26 : Ruth: présentée par Tiffen à Fofana, 15 ans au moment des faits supposés, elle aurait aussi servi d’appât; avec l’argent versé par Fofana (80 euros), après avoir obtenu un numéro de téléphone, elle se serait acheté des bottes.
N° 27 : Sarah : elle aurait aussi servi d’appât, et aurait tenté (en vain) de séduire une proie rencontrée par Alexandra au Queen.

Michel Alain Labet de Bornay adhérent du CTECNA.

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