dimanche 13 mai 2018

La France anti-Semite (2).



                                                                                                                                                                                                           


La France antisémite partie deux.                                                                                                                
Pour en revenir à nos oligarques on trouve ensuite Xavier Niel, patron de l’opérateur de téléphonie Free et 11ème fortune de France, qui s’est associé avec Pierre Bergé, héritier du couturier Yves Saint-Laurent, et avec le banquier Matthieu Pigasse, pour devenir propriétaire du groupe Le Monde (L’Obs, La Vie, Télérama...). Matthieu Pigasse possède également Radio Nova et l’hebdomadaire Les Inrocks.                             
      
                                                                          Martin Bouygues, 30ème fortune de France, est propriétaire du groupe TF1. La famille Mohn, qui contrôle le groupe allemand Bertelsmann, est propriétaire de M6, RTL, Gala, Femme actuelle, VSD, Capital,… Viennent ensuite Arnaud Lagardère, propriétaire d’Europe 1, Paris Match, du JDD, de Virgin radio, RFM, Télé 7 jours, et Marie-Odile Amaury, qui possède L’Equipe (et dont le groupe est, par l’une de ses filiales, organisateur du Tour de France notamment). Tour ces gens-là sont des mondialistes, des marxistes culturels faisant partie de la nomenklatura mondiale qui se charge de la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes, noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels, création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée, substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société, promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années ce qui explique leur mainmise sur la merdiatocrassie.


Tenez, vous pensez peut-être que madame Polony née en 1975 à Paris, est une journaliste et essayiste française de «droite» par ce que comme le très regretté Jean d’Ormesson, elle écrit dans le Figaro ? Et bien non ; madame Polony est une femme de la gauche radicale tout à fait politiquement correcte et marxiste culturelle.
Après les classes préparatoires littéraires des lycées Jules-Ferry et Louis-le-Grand à Paris elle obtient après un DEA de poésie contemporaine, l'agrégation de lettres modernes en 1999. Puis après un court passage au sein de l’inéducation nationale comme professeur de lettres stagiaire elle reprend alors des études au sein de l'Institut d'études politiques de Paris, dont elle sort diplômée en 2002. Tous les diplômés des Instituts d’études politiques (IEP) en conviennent, cette institution est plus que très marquée à gauche, et s’y revendiquer de droite relève souvent du parcours du combattant ou d’un suicide politique affirmé.
Ces établissements publics ont pour mission : «de contribuer à la formation des cadres supérieurs des secteurs public, parapublic et privé de la nation, et notamment des fonctions publiques de l’État et des collectivités territoriales». Vaste programme, où la formation de consciences de gauche nettement marxiste culturelle et globaliste, ne relève pas d’un fantasme, mais d’une réalité concrète. Le guide des associations y est très clair. Seuls les mouvements de jeunes de gauche y figurent : «Union des Étudiants Communistes», «Union Nationale des Étudiants de France» ou encore «Mouvement des Jeunes Socialistes». Interrogé, un ancien diplômé confirme ce «terroriste intellectuel». Pour Pierre, «le décalage entre les opinions présentes et le reste de la population est flagrant». «Lors des discussions politiques qui avaient lieu, s’afficher pro-Bayrou était presque considéré comme réactionnaire. Vous pouvez imaginer les conséquences d’un choix affirmé pour Nicolas Sarkozy ou le Front national !» Dans leurs plaquettes de présentation tout à fait marxistes culturelles, les IEP se présentent volontiers comme «une école de la citoyenneté». La «diversité» y est un leitmotiv depuis plusieurs années. Mais toutes les diversités sont-elles acceptables dans ces temples de la bien-pensance et du politiquement correct ?
                                                                                    
Madame Polony devient alors, en juin 2001, secrétaire nationale du Mouvement des Citoyens (MDC, sorte de machin socialiste et marxiste culturel de la nomenklatura politique dans l’hexagone et ancien parti politique cofondé en 1993 par Jean-Pierre Chevènement et Max Gallo sur la base du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES), un des courants présents à la fondation du Parti socialiste lors du congrès d’Épinal en 1971. La Jeune gauche puis la Jeune gauche républicaine furent les mouvements de jeunesse successifs du MDC) aux questions de société, puis membre du bureau du Pôle républicain la suite de MDC, chargée du droit des femmes. En juin 2002, elle est candidate aux législatives pour le Pôle républicain ripoublicain de Jean-Pierre Chevènement, dans la 9e circonscription de Paris où elle obtient le score absolument sidérant de 2,24 % des suffrages exprimés, comme aux jeux olympiques l’important c’est de participer.
Nonobstant, j’aime bien la conclusion de l’article de madame Polony qui est devenue une «journaliste» de propagande marxiste culturelle et qui se gausse des «difficultés» des imams (d’Epinal,) à affronter les réformes du Coran et d’enseigner la différence entre l’ordre des croyances et celui des savoirs. L’école non plus quand le président lui-même y prône «la bienveillance et l’ouverture». Les intellectuels encore moins dont la grande angoisse est de passer pour islamophobe. Continuons donc de débattre de la réédition de Céline et de l’antisémitisme en Hongrie jusqu’au prochain drame.
Il y a pourtant un intellectuel un vrai, en Rance qui pue ou en Francarabia c’est monsieur Zemmour qui enchaîne les condamnations par des tribunaux marxistes culturels à la botte du saint Dicat (Priez pour nous) de l’amagistrature (Lire ici ce que je pense de ce syndicat, fondé par mon feu ami Oswald Baudot). En 2011, déjà, le tribunal correctionnel de Paris le jugeait coupable de provocation à la discrimination raciale. Un an plus tôt, le polémiste assurait, entre autres, que les employeurs «ont le droit de refuser des Arabes ou des Noirs» et que «la plupart des trafiquants sont noirs et arabes». Oh là, hé ben celui-là il n’a pas peur des vérités pas bonnes à dire ; Résultat : 2 000 euros d’amende et des frais de justice (plus de 10 500 euros au total) à verser aux associations antisémites d’extrême gauche qui l’avaient attaqué. Cela ne l’a pas empêché de poursuivre dans cette voie. En décembre 2015, suite à des propos tenus dans le journal italien Corriere della Sera, monsieur Zemmour a été condamné à 3 000 euros d’amende pour provocation à la haine envers les musulmans. Et là encore, ça ne lui a pas servi de leçon de marxisme culturel car monsieur Zemmour a des couilles. Le 6 septembre 2016, dans C à vous, le journaliste assurait que «tous les musulmans, qu'ils le disent ou qu'ils ne le disent pas», considéraient les djihadistes comme de «bons musulmans». Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel aurait reçu plus de 8 000 plaintes et souligné «la gravité des propos tenus» (Je me demande bien à quand un délit de catholico phobie va être instauré surtout quand j’écris : Putain de vieille vérole du Pape (oui bon, je sais, c’est permis de se moquer des cathos). C’est l'association d’ultra gauche antisémite CAPJPO-EuroPalestine qui a avait porté le pet devant les tribunaux marxistes culturels. Les journalopes merdiatocrasseux de France-info rapportent (Oh les vilains rapporteurs) que le tribunal politiquement correct et correctionnel de Paris a reconnu la «gravité incontestable» des propos d’Eric Zemmour, «stigmatisant à plusieurs reprises et en des termes particulièrement violents et péremptoires une communauté prise dans son ensemble». Il a, en conséquence, été condamné à une amende de 5000 euros pour provocation à la haine.

Bon d’accord, alors pour notre belle justice de s’pays des doigts de l’homme dans le centre d’Union Libéral, les terroristes djihadistes musulmans ne seraient pas des vrais musulmans, vraiment ?
Avant de répondre à cette question, analysons d'abord ma réaction de protestant. Lors d'un déjeuner auquel j’étais invité, un des convives se moquait du protestantisme du Ku Klux Klan. Là évidemment je ressens comme un picotement dans mon égo de vieux parpaillot luthérien. On salit la réputation de ma belle religion à moi, qui se trouve ainsi amalgamée à des gens à côté desquels la bête immonde du Front National semble aussi innocente que le petit Jésus de la crèche soviétique, avec le risque de me retrouver associé à eux. «Ce ne sont pas des vrais protestants» m’exclamé-je. Pareil plus tard pour les calvinistes Afrikaners de l'apartheid. Puis un érudit m’a parlé de l’antisémitisme de Luther et de son pamphlet odieux : Des Juifs et de leurs mensonges paru en 1543 auprès duquel ceux de Céline sont des bluettes ; pour lui il y a d’abord l’orgueil juif et ceux-ci ne sont pas seulement les descendants d’Abraham mais aussi membres d’un peuple déicide, bouffi d’orgueil et désobéissant sans cesse à Yahvé, mais aussi des hommes impies se démarquant par leur avarice, leur animalité, leur saleté, leur puanteur, leur cruauté, etc. Traités d’«enfants du diable», de «truies» ou de «chiens juifs», ils sont constamment soumis à un processus de déshumanisation caractéristique du discours antisémite le plus haineux. Mais c’est pas fini, car notre bon maître et fondateur de ma religion ne s’est pas contenté d’en avoir après les Juifs, il n’a pas oublié les chrétiens «judaïsants», les Turcs (comprendre les musulmans, faisant de Luther le «pape de Wittenberg» un des premier à joindre à un antisémitisme de bon aloi une islamophobie débridée), sans oublier les papistes et autres «fanatiques». Ce bon monsieur maîtrisant sur le bout de ses doigts de l’homme l’histoire du protestantisme, ira jusqu’à insinuer que l’influence décisive que Luther acquit à partir de la moitié du XIXe siècle, dans la constitution d’un antisémitisme culturel allemand fut ensuite largement exploité par l’idéologie Sociale-Nationaliste du Troisième Reich. Pas encore totalement sénile je pris évidemment et immédiatement les positions de certains historiens huguenots, enclins à dédouaner Luther de toute responsabilité morale dans l’Holocauste, car il est bien évident que la position de ce dernier n’est que le reflet de l’esprit de son temps, et que l’«outillage mental» des hommes du XVIe siècle ne saurait être comparé à celui des hommes du XXe. Et puis alors sur le plan de l’érudition je peux prendre à ces petits jeux, tous les marxistes culturels gauchistes de Francarabia. L’ami «érudit» qui connait si bien Luther semble curieusement moins bien connaître le «Dictionnaire philosophique», de 1764 de Voltaire. Mais soit, les versions actuelles sont prudemment expurgées ! ( Comme Marcel Pagnol). Essayez donc de trouver dans nos librairies politiquement correctes les articles «Femme» ou «Juif» (le plus long de tous dans l'édition originale), ils ont disparu (Poil au nez). En allant les lire, on en apprend de belles.
On prend d'abord l'amant de Mme du Châtelet en flagrant délit de misogynie pure et dure. Que dit en effet de la femme l'édifiant article du «Dictionnaire philosophique» ? : «En général, elle est bien moins forte que l'homme, moins grande, moins capable de longs travaux ; son sang est aqueux, sa chair moins compacte, ses cheveux plus longs, ses membres plus arrondis, les bras moins musculeux, la bouche plus petite, les fesses plus relevées, les hanches plus écartées, le ventre plus large. Ces caractères distinguent les femmes dans toute la terre, chez toutes les espèces, depuis la Laponie jusqu'à la côte de Guinée, en Amérique comme à la Chine».     Sexiste ordinaire, Voltaire se révèle aussi un homophobe virulent. L'homosexualité masculine est pour lui un «sujet honteux et dégoûtant», un «attentat infâme contre la nature», une «abomination dégoûtante», une «turpitude» (article «Amour socratique» du Dictionnaire philosophique).                                                                           
                                                              
On ne s'attarde pas, généralement, à mettre l'accent sur la haine violente que Voltaire comme Luther attise envers les juifs. Il parle d'eux abondamment, et de manière récurrente, comme du «plus abominable peuple de la terre», et cela tout au long des mêmes années glorieuses où il défend Calas et la tolérance. C'est d'ailleurs à l'article «Tolérance» du Dictionnaire philosophique qu'il est sans doute le plus ouvertement ignoble : «C'est à regret que je parle des juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre».                                                                         Ces écrits ne sont certes pas inconnus. Malgré tout, ce sont des textes que le marxisme culturel esquive en omettant de les éditer ou bien, quand ils sont disponibles, en évitant de les lire. On y voit pourtant Voltaire accuser le peuple juif de tous les vices, lui faisant porter la responsabilité des persécutions qu'il endure, lui attribuant tour à tour lois absurdes, ignorance crasse, cupidité sans frein, misanthropie farouche. Du côté de l'islam, enfin, la situation est aussi catastrophique. Dans sa pièce «Le fanatisme ou Mahomet», rédigée en 1736, jouée à Lille puis à Paris en 1741 et 1742, Voltaire juge le «Prophète» auto proclamé en des termes bien plus virulents que ceux d’Eric Zemmour. Au fil des dialogues, Mahomet est appelé «monstre, imposteur, barbare, Arabe insolent, brigand, traître, fourbe, cruel» - avec pour finir le verdict sans appel de cet alexandrin : «Et de tous les tyrans c'est le plus criminel». Voilà qui suffit largement pour ranger notre icône des Lumières (attention à ne pas confondre avec une femme de gauche qui crée un blog et qui devient alors une e-conne) dans la catégorie des islamophobes au prix, là encore, d'un anachronisme, puisque le mot est de notre époque (créé par les marxistes culturels), non de la sienne. Il n'empêche que, si n'importe quel intellocrate d'aujourd'hui publiait le quart de ces injures, il aurait à ses basques non seulement des pétitions indignées, mais peut-être, quelque fatwa aidant, des assassins musulmans à ses trousses. Ce n'est pas un hasard si des représentations de cette pièce, en 2005, ont suscité protestations et menaces.
Dans une radicalité certes moins violente, on m’a parlé des évangéliques américains sans qui l'accession de Trump au pouvoir n'aurait pas été possible, il est évident que j’ai  refusé aussi de les considérer comme des membres de ma religion. «Tous ces courants sont une déviance du vrai protestantisme qui se fonde sur une relation directe du croyant au Dieu d'amour» ; CQFD !  


Passons maintenant à Bouchra, une soi-disant musulmane. A l'annonce de l'action terroriste perpétrée par Adel Kermiche (ne pas confondre avec madame Adèle Belle-miche de Loche) dans l'église Saint-Étienne-du-Rouvray, elle aurait déclaré à un journaliste: «Ces gens ne sont pas des musulmans, qui ne tueraient pas un chat. Ce sont des drogués, une secte». Ouf, ce sont les moutons de l’aïd qui respirent ! Pourtant notre très cher évêque de Meaux Bossuet, précepteur de Louis XIV dont madame Bouchra, musulmane ferait bien de s’inspirer disait : «L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers». Comme moi, Bouchra se protège ainsi de tout sentiment de culpabilité, qui pourrait naître de son appartenance à la même religion que des personnes incriminées dans des actes immondes et terroristes. Pourtant Bouchra semble bien être Française, mais avec une bien piètre culture,  sait-elle ce que monsieur de Chateaubriand disait de sa «religion» : «Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet» et le grand philosophe et historien français Joseph Ernest Renan : «Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c'est l'état théocratique, comme l'islamisme et l'ancien Etat pontifical, où le dogme règne directement d'une manière absolue. (…) L'islam est contraire à l'esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu'il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l'esprit». Et puis «Bouchra» pourquoi ne pas lire (quoique votre prophète pédophile ait été illettré, une musulmane sachant lire ça doit être rare non ?) les œuvres de l’écrivain visionnaire Maurice-Georges Dantec qui disait : «L'islam est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l'Islam ? (…) Il n'y a pas d'Islam militant et d'Islam modéré. Il n'y a que des variations d'intensité. Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement». Passons, car il est bien certain que pour rester musulman ou mane après ça il faut un QI de poule, alors ne lisez pas la suite lorsque Michel Houellebecq s’exclame : «L'islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à faire - pardonnez-moi - que d'enculer leurs chameaux». Et alors pour les Frères musulmans de la RATP, le fait même de dire que leur religion peut engendrer des terroristes, est une dérive islamophobe. Pourtant, il arrive très fréquemment que leur version radicale de l'islam favorise l'émergence de djihadistes. Il est vrai qu’au 17ème siècle Montesquieu l’avais déjà remarqué lorsqu’il disait : «C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée».
Mais alors est-ce que Ben Laden était un musulman? Les talibans sont-ils des musulmans? Les wahhabites saoudiens, qui condamnent à mort d'autres musulmans, qui assassinent, amputent et flagellent d'autres musulmans (homosexuels, esprits critiques, apostats et femmes violées accusées d'infidélité), ou qui bombardent d'autres musulmans au Yémen, sont-ils des vrais croyants? Quant aux innombrables courants de l'islam, ne s'accusent-ils pas mutuellement d'être des sectes? Qui croire? Et que valent alors les propos d'hommes politiques français ou de «juges», qui définissent haut et fort ce qu'est ou n'est pas l'islam véritable?                                                            Mettons maintenant qu’un principe d'excommunication soit appliqué à une autre «religion». Les hommes qui ont commis des crimes pendant l'Inquisition, les croisades, l'occupation sociale nationaliste, la lutte contre les afro-américains et la colonisation, ne sont pas des vrais chrétiens. Dire qu'ils le sont, c'est faire l'amalgame et jeter l'opprobre sur l'ensemble de la communauté du Christ, car Jésus professe de tendre l'autre joue à celui qui a frappé la première. Celui qui tiendrait ce discours aurait à faire face à un grand défi: prouver qu'il est lui-même un chrétien pur et dur. Le problème se répète avec des communistes qui déclarent, à propos des centaines de millions de personnes massacrées en URSS ou lors de la Révolution Culturelle en Chine: «Les hommes qui ont commis ces crimes ne sont pas de vrais communistes. Affirmer l'inverse, c'est vouloir dénigrer le communisme». Mais dans ce cas, qu'est-ce qu'un réel communiste? Doit-il refuser d'utiliser un produit de l'industrie capitaliste, comme le téléphone portable ou la voiture pour rester dans la pureté de sa ligne politique?                                                  Il est tentant de s'arroger le pouvoir de labelliser une croyance ou une idéologie pour marquer son innocence ou pour des raisons stratégiques et électorales.
                                                                          On n’en a pas encore fini Nini avec Eric monsieur Zemmour qui devra également verser un euro de dommages et intérêts à l'association de gauchiste antisémites CAPJPO-EuroPalestine et s’acquitter de 2 000 euros de frais de justice.                                  Qu’on se le dise, monsieur Zemmour a beau être écrivain, il est désormais plus connu pour ses soi-disant «dérapages islamophobes» comme disent les journalopes merdiatocrasseux marxistes culturels. Jugé pour l’un d’entre eux, le malheureux journaliste vient d’être condamné par la Cour d’appel de Paris.                                                              Rares sont les fois où les apparitions télévisées de monsieur Zemmour ne font pas de vagues auprès des spectateurs gauchiottes et lobotomisés. Il faut dire qu’on ne compte plus vraiment les sorties de route dans les lignes droites du marxisme culturel du journaliste sur les plateaux télé. Mais à trop tirer sur la corde et taper sur les nerfs du public gauchiste Allah con et des associations antiracistes mais antisémites Zemmour a fini par obtenir ce qui lui pendait au nez. La Cour d’appel de Paris toute marxiste culturelle a rendu son verdict concernant l’une de ses apparitions dans l’émission C à vous le 6 septembre 2016. Le journaliste de 59 ans a été condamné à payer la somme de 5 000 euros pour «provocation à la haine religieuse après des propos islamophobes».

Islamophobie ? : Manipulation sémantique visant à empêcher toute critique de l'islam créé par des marxistes culturels pour les marxistes culturels. Je rappelle toutefois que le Haut Conseil à l'intégration fondé par Michel Rocard s'est prononcé à ce sujet en 2003 lorsqu'il a rappelé unanimement que :
En République, la critique de la religion, comme de toutes les convictions, est libre.
Elle est constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d'opinion et d'expression.
Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la xénophobie.

Pour rappel, Eric Zemmour proposait de laisser le choix aux musulmans entre «l’islam et la France» et expliquait que si «les jeunes filles sont voilées» dans «les innombrables banlieues françaises», c’était uniquement dans le cadre d’une «lutte pour islamiser un territoire». Après avoir lu les propos du journaliste à haute voix, madame le président de l’audience très marxiste culturelle comme toute la magistrature a expliqué que ceux-ci «visaient les musulmans dans leur globalité et constituaient une exhortation implicite à la discrimination». Drôle de justice ! Avec ce mot «implicite», le jugement est gravement disqualifié car pour qu’il y ait condition implicite, il est impératif qu’on suppose obligatoirement la conclusion à partir du contexte. Hors une supposition n’est qu’une proposition que l'on considère comme vraie afin d'en tirer quelque déduction, ce n’est qu’une hypothèse, une fiction servant de base à un raisonnement ou à une argumentation et n’est pas digne de la justice d’un état de droit. Le pauvre monsieur Zemmour a également été condamné à verser un euro symbolique de dommages et intérêts aux antisémites de CAPJPO Euro Palestine à l’origine de l’action en justice  ainsi qu’à rembourser les 3 000 euros de frais qu’elle a engagés dans cette pseudo bataille judiciaire. 
Pour finir sur ce délicat sujet parlons un peu de ces «batailles» entre Zemmour et Zemor sans U et avec un seul M juste pour l’équilibre.

Olivia Zemor soutient de BDS
Jocelyne Olivia Zemor Shahshahani dit pour simplifier Olivia Zemor, est la dirigeante du groupuscule antisémite d’ultra gauche CAPJPO (le marxiste Alain Soral, avait soutenu en son temps  la liste Euro Palestine), ex «journaliste» à l'AFP, et la directrice de publication du site internet europalestine.com, qui a été renvoyée devant le Tribunal Correctionnel de Versailles, pour provocation à la haine raciale ou religieuse, et provocation à la discrimination raciale ou religieuse. Le 15 janvier 2011, les activistes du mouvement antisémite illégal BDS, dont notamment des membres de l’association CAPJPO EUROPALESTINE ont manifesté devant la salle de concert de Conflans Sainte Honorine pour faire pression sur mademoiselle Vanessa Paradis afin qu’elle ne se rende pas en Israël pour y chanter à Tel Aviv le 10 février 2011.                                                              Maître Marc Bensimhon, avocat de l’Union des Conseils des Communautés Juives d’Ile de France (UCCCJ,) a déposé une plainte pénale entre les mains du Doyen des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Versailles contre cette action illégale d’appel au Boycott, délit prévu et réprimé par nos lois. Selon le communiqué de l’UCCCJ, les activistes de BDS  portaient des pancartes sur lesquelles étaient écrits : «Vanessa n’encourage pas les ghettos ; Israël = Colonisation n’y vas pas !; Stop à la colonisation avec le terrorisme israélien”; Vanessa Paradis Israël c’est l’enfer pour les palestiniens ; Vanessa tu vas chanter pour l’occupant ; Je boycotte Israël Inculpez moi ; Vanessa que vas-tu chanter aux enfants de Gaza ; Israël = Massacres de Gaza n’y va pas»                                                                                                                                                A la suite de cette manifestation de haine antisémite mademoiselle Vanessa Paradis a annulé son concert prévu en Israël. L’association de gauche ultra et antisémite CAPJO a publié des vidéos et des photos de cette manifestation d’appel au boycott sur son site internet. Le leader du groupuscule antisémite CAPJPO, Olivia Zemor, a déjà été condamnée par la Cour d’Appel de Paris le 24 Mai 2012.
Vous trouverez ci-dessous un article de  © Christian Larnet pour Dreuz.info :
«Vile et perverse, Zemor avait déclaré que « acheter un produit en provenance d’Israël équivaut à acheter une balle qui va tuer un enfant palestinien ». La cour d’appel a vu au travers de sa perverse dialectique et l’a condamnée pour «incitation à la haine ou à la violence» contre les Juifs israéliens. En première instance, la justice militante avait pris ses distances avec le droit afin de relaxer l’extrémiste anti-israélienne (non, Zemor n’est pas pro-palestinienne : elle est restée indifférente au massacre des Palestiniens de Yarmouk en janvier 2015 tout comme aux assassinats de centaines de Palestiniens du Fatah lorsque le Hamas a gagné les élections à Gaza en 2007). Mais la cour d’appel de Paris, prenant une certaine hauteur, a infirmé aujourd’hui la relaxe et l’a condamnée à 1 000 euros d’amende avec sursis, un euro de dommages et intérêts que réclamaient le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et la Chambre de commerce France-Israël, ainsi que 1 500 euros de frais de justice, pour avoir mis en ligne, en juillet 2009, une vidéo tournée dans un supermarché d’Évry appelant au boycott des produits israéliens. Le président du tribunal, considérant les propos de Zemor d’ «outranciers», l’a jugée «coupable d’avoir provoqué à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes, les producteurs israéliens, à raison de leur appartenance à une nation déterminée, l’État d’Israël ». C’est une décision importante, même s’il est recommandé de ne pas rêver qu’un changement judiciaire s’est enclenché, car elle relie enfin l’antisionisme radical aux agressions et meurtres de juifs, qui ont hissé la France au triste rang des pays occidentaux qui ont agressé et tué le plus grand nombre de juifs au 21e siècle. Rappelons que le boycott est interdit par la loi français et par la Cour européenne des Droits de l’homme. Rappelons également qu’en 2004, le rapport Rufin sur le racisme et l’antisémitisme commandé par le Premier ministre concluait que l’antisionisme radical est une forme d’antisémitisme. «Parmi toutes les formes, subtiles, d’antisémitisme par procuration, il en est une qui doit être particulièrement distinguée car elle émerge depuis quelques années comme forme de discours dominant : c’est l’antisionisme radical». Ceci concerne bien évidemment Olivia Zemor, antisioniste radicale et antisémite par procuration». Merci à Christian Larnet pour Dreuz.info.

Vous pensez en avoir fini  avec le «nouvel antisémitisme» ? Eh bien non ! Il reste cet antisémitisme de gauche des socialistes et de la droite molle des ripoublicains en passant par les cocos et assimilés. La gauche Française responsable des actes antisémites de Mehra et aussi responsable de la quasi-totalité des actes terroristes antisémites. Depuis des années je le dénonce, en 2011, je me suis fendu d'un article sur le "livre" du marxiste trotskiste Besancenot le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste antisémite (NPA), adorateur thuriféraire de Che Guevara le communiste raciste antisémite et homophobe assassin, responsable de milliers de morts en Afrique et Amérique latine. Dans son «livre» (voir ici, livre qui est de monsieur  Michael Löwy, un juif érev rav, un assafsouf marxiste culturel né en 1938 à São Paulo au Brésil, «sociologue», intellocrate marxiste et écosocialiste franco-brésilien (sic). Il a été nommé en 2003 directeur de recherche émérite au CNRS et enseigne à l’École marxiste culturelle des hautes études en sciences sociales (EHESS) sorte d’école de Francfort marxiste culturelle. Auteur d’ouvrages sur Marx, György Lukács, né György Löwinger (un autre juif érev rav marxiste, grand criminel contre l’humanité, créateur avec Lénine et Münzenberg des thèses marxistes culturelle et de l’école de Francfort), Walter Benjamin et Franz Kafka, il a reçu en 1994 la médaille d'argent du CNRS, sorte de prix Staline) qui fait l’apologie de l’assassin homophobe et antisémite Ernesto Guevara dit le bou «Che» (Eh oui le petit facteur est aussi un homme de lettre par procuration bien sûr), il nous soutient que le communiste raciste et antisémite Guevara avait cette qualité rare chez les acteurs de la scène politique : la cohérence entre les paroles et les actes. En bon panégyriste Besancenot nous affirme que de ce point de vue, Guevara était exceptionnel, et cette singularité serait pour beaucoup dans l'attraction morbide qu'il exercerait aujourd'hui encore à travers le monde des gauchistes et autres antisémites primaires et marxistes. Le livre de Besancenot s'apparente à un acte de foi, marxiste trotskiste léniniste, à un cierge qu'on pose devant une icône religieuse. De rigueur dans la confrontation des sources, d'honnêteté intellectuelle, il n'en est pas question comme chez tout bon collectiviste et marxiste culturel. Gageons qu'un militant du NPA, Le Nouveau Parti Antijuif (?), lisant le texte aimera le livre qui confortera ses nauséabondes idées reçues, d’autant plus si il est de confession musulmane (Si, si ; il y en a au NPA !). Mais pour toute personne disposant d'un minimum d'esprit critique, ce copier-coller de propagande communiste collectiviste sera bien vite lassant et insupportable de bêtise crasse.
Il faut dire qu’au niveau Guevara je ne m’étais pas arrêté là cliquez ici ou  . J’ai aussi récemment écrit à ce propos : Gardez à l'esprit en lisant les citations qui suivent que l’assassin et gangster communiste raciste homophobe et antisémite dégénérescent Ernesto Guevara dit Le Che ou le Boucher qui les a proférées était un médecin (sic) qui parlait sans cesse de l'ignorance et des préjugés mesquins des gens de toutes classes sociales.
Citations de The Motorcycle Diaries (Le livre):
«Les noirs, ces magnifiques exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté raciale grâce à leur manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont vu leur territoire envahi par un nouveau type d'esclaves: les Portugais».
«Le noir est indolent, nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté et en boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et d'économie qui l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se promouvoir lui-même, indépendamment de ses propres aspirations».

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 Qu'est-ce que le marxisme culturel ?
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Rappelons aussi également que selon Pierre Clostermann, le raciste et assassin communiste Che, disait que les noirs étaient «d’une sauvagerie atavique».
Pour le marxiste Guevara les personnes de couleur qu’il nomme «noirs de la Race Africaine» sont sales et ne se lavent pas, ils sont indolents paresseux nonchalants rêveurs et dépensent leur salaire dans les boissons alcooliques. Il ne manque plus au tableau du bon communiste marxiste raciste, que l’antisémitisme, le racket du gangstérisme mafieux marxiste et l’homophobie communiste ; patience on y vient : avec cette autre citation de The Motorcycle Diaries:
«La première personne sur qui nous frappons était le maire, quelqu'un appelé Cohen; nous avions beaucoup entendu parler de lui, qu'il était juif et qu’il n’était  intéressé que par l’argent, ce qui régla son sort (…) L'épisode nous vexe un peu, parce que l’homme, était en plus homosexuel et un ennemi de la classe ouvrière de premier ordre et il avait pourtant été très agréable pour nous, nous donnant 10  Dollars chacun, apportant notre total à 479 pour moi et 163 1/2 à Alberto».

C’est cet «homme» là, un grand pacifiste et progressiste qui a dit aussi : «Les Mexicains sont une bande d'analphabètes Indiens».
Dans son testament il loue «la haine efficace, violente, sélective et froide machine à tuer».
Il dit aussi comme tous les marxistes et autres socialistes qu'il ne peut pas être «ami» avec quelqu'un qui a des idées contraires aux siennes. Quelle chance j’ai alors de ne pas être comme par exemple messieurs Besancenot, Poutou ou Mélenchon et de ne pas partager comme eux avec le Che ses idées racistes, homophobes antisémites et maffieuses de gangster marxiste! 
                                                                        Même l’ancien compagnon du Bou «Che» en Bolivie, Régis Debray, déclarait à son sujet : «La haine brute fait de cet homme une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer». Fidel Castro le leader maximo, lui conseillait alors de tuer tant que cela sera nécessaire: «Notre lutte est une lutte à mort». Pour l’idéologie socialiste nauséabonde des marxistes culturels et autres militants d’En Marche qui a déjà fait la bagatelle de cent cinquante millions de morts… Le «Che» antisémite raciste et homophobe, serait un grand humaniste de gauche communiste ? Mais de qui se moque le NPA ? Vous n’avez même pas un soupçon de «rouge» au front de honte camarades ?
Encore un «détail de l’histoire» pour cette fois en finir. On notera qu’à l’instar de Staline, les marxistes culturels utilisent peu le terme de «nazi» qui serait pourtant plus approprié que le mot «fascisme» qu’ils ont en permanence Allah bouche, créé par l’Italie mussolinienne toutefois elle aussi socialiste.

C’est que «nazi» vient de la contraction allemande de «national-socialisme», convenablement traduit on devrait même dire social-nationalisme, par exemple la voiture du peuple en allemand, la Volkswagen ne se traduit pas par peuple-voiture ! La Volkswagen une création du troisième Reich était la voiture du peuple. Il est peu connu qu’avant la guerre, le désir du chancelier Hitler qui était ne l’oublions pas socialiste est que chaque allemand puisse s’offrir une voiture, car l’Allemagne venait de se doter d’un large réseau d’autoroutes qui restaient désertes (L’homme politique allemand Adolph Hitler (1889-1945), né autrichien, était socialiste un homme de gauche comme Mélenchon. Il était le chef du NSDAP, parti socialiste-national des ouvriers allemands (National-sozialistische Deutsche Arbeiterpartei). Il faut traduire national-sozialistische par «socialiste-national» et non par «national-socialiste» comme on le fait presque toujours à tort, puisque l’ordre des mots n’est pas le même en français qu’en allemand. Ainsi, Hitler et son parti étaient socialistes avant d’être «nationaux» ou nationalistes. «Nazi» est une abréviation péjorative (elle-même dérivée de l’argot Berlinois) forgée par les adversaires d’Hitler et rejetée par ses partisans pour National-Sozialistische. (On a eu l’astuce de prendre la deuxième syllabe du second mot, «zi», et non la première, «so», comme il eût été normal, parce que «naso» aurait été trop transparent et que l’on aurait deviné sozialistische ou socialiste dans cette abréviation argotique…). L’usage quasi exclusif du mot «nazi» sert à dissimuler la nature socialiste du régime hitlérien ; il relève de la désinformation et de la propagande. Le chancelier du troisième Reich Hitler déclara en 1934: «Le socialisme-national emprunte le socialisme vital et créateur aux enseignements du marxisme». Socialiste, Hitler n’était évidemment pas de droite, encore moins d’extrême droite ! Hitler était un homme de gauche). L’ingénieur Ferdinand Porsche, voyant dans le projet de la Volkswagen l’occasion de réaliser son plus vieux rêve : fabriquer un modèle de voiture populaire, lui fit une proposition en ce sens,. Les prototypes de ce véhicule appelé provisoirement KdF-Wagen, (Kraft durch Freude également nom d’une des principales organisations du parti Social Nationaliste des Travailleurs Allemands) apparaissent en 1936. Le projet tel que le voulait le Socialiste Hitler s’accompagnait d’une formule de financement révolutionnaire basée sur la constitution d’une épargne par achat de timbres dans les bureaux de l'organisation KdF), la Staline tout autant Socialiste qu'Hitler, régnant sur une nation autoproclamée «socialiste», ne pouvait donc l’utiliser dans sa propagande qu’avec parcimonie. Alors, que «fascisme», ne renvoyant pas directement au «socialisme», était plus aisément utilisable. Les marxistes culturels d’aujourd’hui dont les petits merdeux du black bloc en 2018 ont suivi cette tradition soviétique (à la télé, j’ai suivi très récemment  l’interview d’une gamine des Blake blocs qui disais «lutter contre le fascisme» en cassant des vitrines). Comme quoi !

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Michel Alain Labet de Bornay pour le CTECNA


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