La France antisémite partie deux.
Pour en revenir à nos oligarques on trouve ensuite Xavier Niel, patron de l’opérateur de téléphonie Free et 11ème fortune de France, qui s’est associé avec Pierre Bergé, héritier du couturier Yves Saint-Laurent, et avec le banquier Matthieu Pigasse, pour devenir propriétaire du groupe Le Monde (L’Obs, La Vie, Télérama...). Matthieu Pigasse possède également Radio Nova et l’hebdomadaire Les Inrocks.
Martin Bouygues, 30ème fortune de France, est propriétaire du groupe TF1. La famille Mohn, qui contrôle le groupe allemand Bertelsmann, est propriétaire de M6, RTL, Gala, Femme actuelle, VSD, Capital,… Viennent ensuite Arnaud Lagardère, propriétaire d’Europe 1, Paris Match, du JDD, de Virgin radio, RFM, Télé 7 jours, et Marie-Odile Amaury, qui possède L’Equipe (et dont le groupe est, par l’une de ses filiales, organisateur du Tour de France notamment). Tour ces gens-là sont des mondialistes, des marxistes culturels faisant partie de la nomenklatura mondiale qui se charge de la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes, noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels, création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée, substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société, promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années ce qui explique leur mainmise sur la merdiatocrassie.
Pour en revenir à nos oligarques on trouve ensuite Xavier Niel, patron de l’opérateur de téléphonie Free et 11ème fortune de France, qui s’est associé avec Pierre Bergé, héritier du couturier Yves Saint-Laurent, et avec le banquier Matthieu Pigasse, pour devenir propriétaire du groupe Le Monde (L’Obs, La Vie, Télérama...). Matthieu Pigasse possède également Radio Nova et l’hebdomadaire Les Inrocks.
Martin Bouygues, 30ème fortune de France, est propriétaire du groupe TF1. La famille Mohn, qui contrôle le groupe allemand Bertelsmann, est propriétaire de M6, RTL, Gala, Femme actuelle, VSD, Capital,… Viennent ensuite Arnaud Lagardère, propriétaire d’Europe 1, Paris Match, du JDD, de Virgin radio, RFM, Télé 7 jours, et Marie-Odile Amaury, qui possède L’Equipe (et dont le groupe est, par l’une de ses filiales, organisateur du Tour de France notamment). Tour ces gens-là sont des mondialistes, des marxistes culturels faisant partie de la nomenklatura mondiale qui se charge de la destruction des valeurs de solidarité telles la famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans l’enseignement du sexe et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes, noyautage de la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels, création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de créer une population asservie et assistée, substitution progressive de la famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle de société, promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, propagation des grandes peurs écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années ce qui explique leur mainmise sur la merdiatocrassie.
Tenez, vous pensez peut-être que madame Polony née en
1975 à Paris, est une journaliste et essayiste française de «droite» par ce que comme le très
regretté Jean d’Ormesson, elle écrit dans le
Figaro ? Et bien non ; madame Polony est une femme de la gauche
radicale tout à fait politiquement correcte et marxiste culturelle.
Après les classes préparatoires littéraires des lycées
Jules-Ferry et Louis-le-Grand à Paris elle obtient après un DEA de poésie
contemporaine, l'agrégation de lettres modernes en 1999. Puis après un court
passage au sein de l’inéducation nationale comme professeur de lettres
stagiaire elle reprend alors des études au sein de l'Institut d'études
politiques de Paris, dont elle sort diplômée en 2002. Tous les diplômés des
Instituts d’études politiques (IEP) en conviennent, cette institution est plus
que très marquée à gauche, et s’y revendiquer de droite relève souvent du
parcours du combattant ou d’un suicide politique affirmé.
Ces établissements publics ont pour mission : «de contribuer à la formation des cadres
supérieurs des secteurs public, parapublic et privé de la nation, et notamment
des fonctions publiques de l’État et des collectivités territoriales».
Vaste programme, où la formation de consciences de gauche nettement marxiste
culturelle et globaliste, ne relève pas d’un fantasme, mais d’une réalité
concrète. Le guide des associations y est très clair. Seuls les mouvements de jeunes
de gauche y figurent : «Union des
Étudiants Communistes», «Union
Nationale des Étudiants de France» ou encore «Mouvement des Jeunes Socialistes». Interrogé, un ancien diplômé
confirme ce «terroriste intellectuel».
Pour Pierre, «le décalage entre les
opinions présentes et le reste de la population est flagrant». «Lors des discussions politiques qui avaient
lieu, s’afficher pro-Bayrou était presque considéré comme réactionnaire. Vous
pouvez imaginer les conséquences d’un choix affirmé pour Nicolas Sarkozy ou le
Front national !» Dans leurs plaquettes de présentation tout à fait
marxistes culturelles, les IEP se présentent volontiers comme «une école de la citoyenneté». La «diversité» y est un leitmotiv depuis
plusieurs années. Mais toutes les diversités sont-elles acceptables dans ces
temples de la bien-pensance et du politiquement correct ?
Madame Polony devient alors, en juin 2001, secrétaire nationale du Mouvement des Citoyens (MDC, sorte de machin socialiste et marxiste culturel de la nomenklatura politique dans l’hexagone et ancien parti politique cofondé en 1993 par Jean-Pierre Chevènement et Max Gallo sur la base du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES), un des courants présents à la fondation du Parti socialiste lors du congrès d’Épinal en 1971. La Jeune gauche puis la Jeune gauche républicaine furent les mouvements de jeunesse successifs du MDC) aux questions de société, puis membre du bureau du Pôle républicain la suite de MDC, chargée du droit des femmes. En juin 2002, elle est candidate aux législatives pour le Pôlerépublicain ripoublicain
de Jean-Pierre Chevènement, dans la 9e circonscription de Paris où elle obtient
le score absolument sidérant de 2,24 % des suffrages exprimés, comme aux jeux
olympiques l’important c’est de participer.
Madame Polony devient alors, en juin 2001, secrétaire nationale du Mouvement des Citoyens (MDC, sorte de machin socialiste et marxiste culturel de la nomenklatura politique dans l’hexagone et ancien parti politique cofondé en 1993 par Jean-Pierre Chevènement et Max Gallo sur la base du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES), un des courants présents à la fondation du Parti socialiste lors du congrès d’Épinal en 1971. La Jeune gauche puis la Jeune gauche républicaine furent les mouvements de jeunesse successifs du MDC) aux questions de société, puis membre du bureau du Pôle républicain la suite de MDC, chargée du droit des femmes. En juin 2002, elle est candidate aux législatives pour le Pôle
Nonobstant, j’aime bien la conclusion de l’article de
madame Polony qui est devenue une «journaliste»
de propagande marxiste culturelle et qui se gausse des «difficultés» des imams (d’Epinal,) à affronter les réformes du
Coran et d’enseigner la différence entre l’ordre des croyances et celui
des savoirs. L’école non plus quand le président lui-même y prône «la bienveillance et l’ouverture». Les
intellectuels encore moins dont la grande angoisse est de passer pour
islamophobe. Continuons donc de débattre de la réédition de Céline et de
l’antisémitisme en Hongrie jusqu’au prochain drame.
Il y a pourtant un intellectuel un vrai, en Rance qui
pue ou en Francarabia c’est monsieur Zemmour qui enchaîne les condamnations par
des tribunaux marxistes culturels à la botte du saint Dicat (Priez pour nous) de
l’amagistrature (Lire
ici ce que je pense de ce syndicat, fondé par mon feu ami
Oswald Baudot). En 2011, déjà, le tribunal correctionnel de Paris le jugeait
coupable de provocation à la discrimination raciale. Un an plus tôt, le
polémiste assurait, entre autres, que les employeurs «ont le droit de refuser des Arabes ou des Noirs» et que «la plupart des trafiquants sont noirs et
arabes». Oh là, hé ben celui-là il n’a pas peur des vérités pas bonnes à
dire ; Résultat : 2 000 euros d’amende et des frais de justice (plus de 10
500 euros au total) à verser aux associations antisémites d’extrême gauche qui
l’avaient attaqué. Cela ne l’a pas empêché de poursuivre dans cette voie. En
décembre 2015, suite à des propos tenus dans le journal italien Corriere della
Sera, monsieur Zemmour a été condamné à 3 000 euros d’amende pour provocation à
la haine envers les musulmans. Et là encore, ça ne lui a pas servi de leçon de
marxisme culturel car monsieur Zemmour a des couilles. Le 6 septembre 2016,
dans C à vous, le journaliste assurait que «tous
les musulmans, qu'ils le disent ou qu'ils ne le disent pas», considéraient
les djihadistes comme de «bons musulmans».
Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel aurait reçu plus de 8 000 plaintes et
souligné «la gravité des propos tenus» (Je
me demande bien à quand un délit de catholico phobie va être instauré surtout
quand j’écris : Putain
de vieille vérole du Pape (oui bon, je sais, c’est permis de se
moquer des cathos). C’est l'association d’ultra gauche antisémite CAPJPO-EuroPalestine
qui a avait porté le pet devant les tribunaux marxistes culturels. Les
journalopes merdiatocrasseux de France-info rapportent (Oh les vilains
rapporteurs) que le tribunal politiquement correct et correctionnel de Paris a reconnu
la «gravité incontestable» des propos
d’Eric Zemmour, «stigmatisant à plusieurs
reprises et en des termes particulièrement violents et péremptoires une
communauté prise dans son ensemble». Il a, en conséquence, été condamné à
une amende de 5000 euros pour provocation à la haine.
Bon d’accord, alors pour notre belle justice de s’pays
des doigts de l’homme dans le centre d’Union Libéral, les terroristes djihadistes
musulmans ne seraient pas des vrais musulmans, vraiment ?
Avant de répondre à cette question, analysons d'abord
ma réaction de protestant. Lors d'un déjeuner auquel j’étais invité, un des
convives se moquait du protestantisme du Ku Klux Klan. Là évidemment je ressens
comme un picotement dans mon égo de vieux parpaillot luthérien. On salit la
réputation de ma belle religion à moi, qui se trouve ainsi amalgamée à des gens
à côté desquels la bête immonde du Front National semble aussi innocente que le
petit Jésus de la crèche soviétique, avec le risque de me retrouver associé à
eux. «Ce ne sont pas des vrais
protestants» m’exclamé-je. Pareil plus tard pour les calvinistes Afrikaners
de l'apartheid. Puis un érudit m’a parlé de l’antisémitisme de Luther et de son
pamphlet odieux : Des Juifs et de leurs
mensonges paru en 1543 auprès duquel ceux de Céline sont des bluettes ;
pour lui il y a d’abord l’orgueil juif et ceux-ci ne sont pas seulement les descendants
d’Abraham mais aussi membres d’un peuple déicide, bouffi d’orgueil et
désobéissant sans cesse à Yahvé, mais aussi des hommes impies se démarquant par
leur avarice, leur animalité, leur saleté, leur puanteur, leur cruauté, etc.
Traités d’«enfants du diable», de «truies» ou de «chiens juifs», ils sont constamment soumis à un processus de
déshumanisation caractéristique du discours antisémite le plus haineux. Mais
c’est pas fini, car notre bon maître et fondateur de ma religion ne s’est pas
contenté d’en avoir après les Juifs, il n’a pas oublié les chrétiens «judaïsants», les Turcs (comprendre les
musulmans, faisant de Luther le «pape de
Wittenberg» un des premier à joindre à un antisémitisme de bon aloi une
islamophobie débridée), sans oublier les papistes et autres «fanatiques». Ce bon monsieur maîtrisant
sur le bout de ses doigts de l’homme l’histoire du protestantisme, ira jusqu’à
insinuer que l’influence décisive que Luther acquit à partir de la moitié du
XIXe siècle, dans la constitution d’un antisémitisme culturel allemand fut
ensuite largement exploité par l’idéologie Sociale-Nationaliste du Troisième
Reich. Pas encore totalement sénile je pris évidemment et immédiatement les positions
de certains historiens huguenots, enclins à dédouaner Luther de toute
responsabilité morale dans l’Holocauste, car il est bien évident que la
position de ce dernier n’est que le reflet de l’esprit de son temps, et que l’«outillage mental» des hommes du XVIe
siècle ne saurait être comparé à celui des hommes du XXe. Et puis alors sur le
plan de l’érudition je peux prendre à ces petits jeux, tous les marxistes
culturels gauchistes de Francarabia. L’ami «érudit»
qui connait si bien Luther semble curieusement moins bien connaître le «Dictionnaire philosophique», de 1764 de
Voltaire. Mais soit, les versions actuelles sont prudemment expurgées ! (
Comme
Marcel Pagnol). Essayez donc de trouver dans nos
librairies politiquement correctes les articles «Femme» ou «Juif» (le
plus long de tous dans l'édition originale), ils ont disparu (Poil au nez). En
allant les lire, on en apprend de belles.
On prend d'abord l'amant de Mme du Châtelet en flagrant
délit de misogynie pure et dure. Que dit en effet de la femme l'édifiant
article du «Dictionnaire philosophique»
? : «En général, elle est bien
moins forte que l'homme, moins grande, moins capable de longs travaux ; son
sang est aqueux, sa chair moins compacte, ses cheveux plus longs, ses membres
plus arrondis, les bras moins musculeux, la bouche plus petite, les fesses plus
relevées, les hanches plus écartées, le ventre plus large. Ces caractères
distinguent les femmes dans toute la terre, chez toutes les espèces, depuis la
Laponie jusqu'à la côte de Guinée, en Amérique comme à la Chine». Sexiste ordinaire, Voltaire se révèle
aussi un homophobe virulent. L'homosexualité masculine est pour lui un «sujet honteux et dégoûtant», un «attentat infâme contre la nature», une «abomination dégoûtante», une «turpitude» (article «Amour socratique» du Dictionnaire
philosophique).
On ne s'attarde pas, généralement, à mettre l'accent sur la haine violente que Voltaire comme Luther attise envers les juifs. Il parle d'eux abondamment, et de manière récurrente, comme du «plus abominable peuple de la terre», et cela tout au long des mêmes années glorieuses où il défend Calas et la tolérance. C'est d'ailleurs à l'article «Tolérance» du Dictionnaire philosophique qu'il est sans doute le plus ouvertement ignoble : «C'est à regret que je parle des juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre». Ces écrits ne sont certes pas inconnus. Malgré tout, ce sont des textes que le marxisme culturel esquive en omettant de les éditer ou bien, quand ils sont disponibles, en évitant de les lire. On y voit pourtant Voltaire accuser le peuple juif de tous les vices, lui faisant porter la responsabilité des persécutions qu'il endure, lui attribuant tour à tour lois absurdes, ignorance crasse, cupidité sans frein, misanthropie farouche. Du côté de l'islam, enfin, la situation est aussi catastrophique. Dans sa pièce «Le fanatisme ou Mahomet», rédigée en 1736, jouée à Lille puis à Paris en 1741 et 1742, Voltaire juge le «Prophète» auto proclamé en des termes bien plus virulents que ceux d’Eric Zemmour. Au fil des dialogues, Mahomet est appelé «monstre, imposteur, barbare, Arabe insolent, brigand, traître, fourbe, cruel» - avec pour finir le verdict sans appel de cet alexandrin : «Et de tous les tyrans c'est le plus criminel». Voilà qui suffit largement pour ranger notre icône des Lumières (attention à ne pas confondre avec une femme de gauche qui crée un blog et qui devient alors une e-conne) dans la catégorie des islamophobes au prix, là encore, d'un anachronisme, puisque le mot est de notre époque (créé par les marxistes culturels), non de la sienne. Il n'empêche que, si n'importe quel intellocrate d'aujourd'hui publiait le quart de ces injures, il aurait à ses basques non seulement des pétitions indignées, mais peut-être, quelque fatwa aidant, des assassins musulmans à ses trousses. Ce n'est pas un hasard si des représentations de cette pièce, en 2005, ont suscité protestations et menaces.
On ne s'attarde pas, généralement, à mettre l'accent sur la haine violente que Voltaire comme Luther attise envers les juifs. Il parle d'eux abondamment, et de manière récurrente, comme du «plus abominable peuple de la terre», et cela tout au long des mêmes années glorieuses où il défend Calas et la tolérance. C'est d'ailleurs à l'article «Tolérance» du Dictionnaire philosophique qu'il est sans doute le plus ouvertement ignoble : «C'est à regret que je parle des juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre». Ces écrits ne sont certes pas inconnus. Malgré tout, ce sont des textes que le marxisme culturel esquive en omettant de les éditer ou bien, quand ils sont disponibles, en évitant de les lire. On y voit pourtant Voltaire accuser le peuple juif de tous les vices, lui faisant porter la responsabilité des persécutions qu'il endure, lui attribuant tour à tour lois absurdes, ignorance crasse, cupidité sans frein, misanthropie farouche. Du côté de l'islam, enfin, la situation est aussi catastrophique. Dans sa pièce «Le fanatisme ou Mahomet», rédigée en 1736, jouée à Lille puis à Paris en 1741 et 1742, Voltaire juge le «Prophète» auto proclamé en des termes bien plus virulents que ceux d’Eric Zemmour. Au fil des dialogues, Mahomet est appelé «monstre, imposteur, barbare, Arabe insolent, brigand, traître, fourbe, cruel» - avec pour finir le verdict sans appel de cet alexandrin : «Et de tous les tyrans c'est le plus criminel». Voilà qui suffit largement pour ranger notre icône des Lumières (attention à ne pas confondre avec une femme de gauche qui crée un blog et qui devient alors une e-conne) dans la catégorie des islamophobes au prix, là encore, d'un anachronisme, puisque le mot est de notre époque (créé par les marxistes culturels), non de la sienne. Il n'empêche que, si n'importe quel intellocrate d'aujourd'hui publiait le quart de ces injures, il aurait à ses basques non seulement des pétitions indignées, mais peut-être, quelque fatwa aidant, des assassins musulmans à ses trousses. Ce n'est pas un hasard si des représentations de cette pièce, en 2005, ont suscité protestations et menaces.
Dans une radicalité certes moins violente, on m’a parlé
des évangéliques américains sans qui l'accession de Trump au pouvoir n'aurait
pas été possible, il est évident que j’ai
refusé aussi de les considérer comme des membres de ma religion. «Tous ces courants sont une déviance du vrai
protestantisme qui se fonde sur une relation directe du croyant au Dieu
d'amour» ; CQFD !
Passons maintenant à Bouchra, une soi-disant musulmane. A l'annonce de l'action terroriste perpétrée par Adel Kermiche (ne pas confondre avec madame Adèle Belle-miche de Loche) dans l'église
Saint-Étienne-du-Rouvray, elle aurait déclaré à un journaliste: «Ces gens ne sont pas des musulmans, qui ne
tueraient pas un chat. Ce sont des drogués, une secte». Ouf, ce sont les moutons de l’aïd qui
respirent ! Pourtant notre très cher évêque de Meaux Bossuet, précepteur
de Louis XIV dont madame Bouchra, musulmane ferait bien de
s’inspirer disait : «L’islam ! Cette
religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion
sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le
monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers».
Comme moi, Bouchra se protège ainsi de tout sentiment de culpabilité, qui
pourrait naître de son appartenance à la même religion que des personnes
incriminées dans des actes immondes et terroristes. Pourtant Bouchra semble
bien être Française, mais avec une bien piètre culture, sait-elle ce que monsieur de Chateaubriand
disait de sa «religion» : «Tous les germes de la destruction
sociale sont dans la religion de Mahomet» et le grand philosophe et
historien français Joseph Ernest Renan : «Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c'est l'état
théocratique, comme l'islamisme et l'ancien Etat pontifical, où le dogme règne
directement d'une manière absolue. (…) L'islam
est contraire à l'esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays
qu'il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l'esprit». Et
puis «Bouchra» pourquoi ne pas lire
(quoique votre prophète pédophile ait été illettré, une musulmane sachant lire
ça doit être rare non ?) les œuvres de l’écrivain visionnaire
Maurice-Georges Dantec qui disait : «L'islam
est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous
faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement
dans l'Islam ? (…) Il n'y a pas
d'Islam militant et d'Islam modéré. Il n'y a que des variations d'intensité.
Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement». Passons,
car il est bien certain que pour rester musulman ou mane après ça il faut un QI
de poule, alors ne lisez pas la suite lorsque Michel Houellebecq s’exclame : «L'islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de
bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à faire - pardonnez-moi - que
d'enculer leurs chameaux». Et alors pour les Frères musulmans de
la RATP, le fait même de dire que leur religion peut engendrer
des terroristes, est une dérive islamophobe. Pourtant, il arrive très
fréquemment que leur version radicale de l'islam favorise l'émergence de djihadistes.
Il est vrai qu’au 17ème siècle Montesquieu l’avais déjà remarqué
lorsqu’il disait : «C’est un malheur
pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La
religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes
avec cet esprit destructeur qui l’a fondée».
Mais alors est-ce que Ben Laden était un musulman? Les
talibans sont-ils des musulmans? Les wahhabites saoudiens, qui condamnent à
mort d'autres musulmans, qui assassinent, amputent et flagellent d'autres
musulmans (homosexuels, esprits critiques, apostats et femmes violées accusées
d'infidélité), ou qui bombardent d'autres musulmans au Yémen, sont-ils des
vrais croyants? Quant aux innombrables courants de l'islam, ne s'accusent-ils
pas mutuellement d'être des sectes? Qui croire? Et que valent alors les propos
d'hommes politiques français ou de «juges»,
qui définissent haut et fort ce qu'est ou n'est pas l'islam véritable? Mettons maintenant qu’un principe d'excommunication soit appliqué à une
autre «religion». Les hommes qui ont
commis des crimes pendant l'Inquisition, les croisades, l'occupation sociale
nationaliste, la lutte contre les afro-américains et la colonisation, ne sont
pas des vrais chrétiens. Dire qu'ils le sont, c'est faire l'amalgame et jeter
l'opprobre sur l'ensemble de la communauté du Christ, car Jésus professe de
tendre l'autre joue à celui qui a frappé la première. Celui qui tiendrait ce
discours aurait à faire face à un grand défi: prouver qu'il est lui-même un
chrétien pur et dur. Le problème se répète avec des communistes qui déclarent,
à propos des centaines de millions de personnes massacrées en URSS ou lors de
la Révolution Culturelle en Chine: «Les
hommes qui ont commis ces crimes ne sont pas de vrais communistes. Affirmer
l'inverse, c'est vouloir dénigrer le communisme». Mais dans ce cas,
qu'est-ce qu'un réel communiste? Doit-il refuser d'utiliser un produit de
l'industrie capitaliste, comme le téléphone portable ou la voiture pour rester
dans la pureté de sa ligne politique? Il est tentant de
s'arroger le pouvoir de labelliser une croyance ou une idéologie pour marquer
son innocence ou pour des raisons stratégiques et électorales.
On n’en a pas encore fini Nini avecEric monsieur
Zemmour qui devra également verser un euro de dommages et intérêts à l'association
de gauchiste antisémites CAPJPO-EuroPalestine et s’acquitter de 2 000 euros de
frais de justice. Qu’on se
le dise, monsieur Zemmour a beau être écrivain, il est désormais plus connu
pour ses soi-disant «dérapages
islamophobes» comme disent les journalopes merdiatocrasseux marxistes
culturels. Jugé pour l’un d’entre eux, le malheureux journaliste vient d’être
condamné par la Cour d’appel de Paris.
Rares sont les fois où les apparitions télévisées de monsieur Zemmour ne
font pas de vagues auprès des spectateurs gauchiottes et lobotomisés. Il faut
dire qu’on ne compte plus vraiment les sorties de route dans les lignes droites
du marxisme culturel du journaliste sur les plateaux télé. Mais à trop tirer
sur la corde et taper sur les nerfs du public gauchiste Allah con et des
associations antiracistes mais antisémites Zemmour a fini par obtenir ce qui
lui pendait au nez. La Cour d’appel de Paris toute marxiste culturelle a rendu
son verdict concernant l’une de ses apparitions dans l’émission C à vous le 6 septembre 2016. Le journaliste
de 59 ans a été condamné à payer la somme de 5 000 euros pour «provocation à la haine religieuse après des
propos islamophobes».
On n’en a pas encore fini Nini avec
Islamophobie ? : Manipulation sémantique visant à
empêcher toute critique de l'islam créé par des marxistes culturels pour les
marxistes culturels. Je rappelle toutefois que le Haut Conseil à l'intégration
fondé par Michel Rocard s'est prononcé à ce sujet en 2003 lorsqu'il a rappelé
unanimement que :
En République,
la critique de la religion, comme de toutes les convictions, est libre.
Elle est
constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d'opinion et d'expression.
Elle ne saurait
être assimilée au racisme et à la xénophobie.
Pour rappel, Eric Zemmour proposait de laisser le choix
aux musulmans entre «l’islam et la
France» et expliquait que si «les
jeunes filles sont voilées» dans «les
innombrables banlieues françaises», c’était uniquement dans le cadre d’une «lutte pour islamiser un territoire». Après
avoir lu les propos du journaliste à haute voix, madame le président de l’audience
très marxiste culturelle comme toute la magistrature a expliqué que ceux-ci «visaient les musulmans dans leur globalité
et constituaient une exhortation implicite à la discrimination». Drôle de
justice ! Avec ce mot «implicite», le jugement est gravement disqualifié car
pour qu’il y ait condition implicite, il est impératif qu’on suppose
obligatoirement la conclusion à partir du contexte. Hors une supposition n’est
qu’une proposition que l'on considère comme vraie afin d'en tirer quelque
déduction, ce n’est qu’une hypothèse, une fiction servant de base à un
raisonnement ou à une argumentation et n’est pas digne de la justice d’un état
de droit. Le pauvre monsieur Zemmour a également été condamné à verser un euro
symbolique de dommages et intérêts aux antisémites de CAPJPO Euro Palestine à
l’origine de l’action en justice ainsi
qu’à rembourser les 3 000 euros de frais qu’elle a engagés dans cette pseudo
bataille judiciaire.
Pour finir sur ce délicat sujet parlons un peu de ces «batailles» entre Zemmour et Zemor sans
U et avec un seul M juste pour l’équilibre.
Olivia Zemor soutient de BDS |
Vous trouverez ci-dessous un article
de © Christian Larnet pour Dreuz.info :
«Vile et perverse, Zemor avait déclaré que « acheter un produit
en provenance d’Israël équivaut à acheter une balle qui va tuer un enfant
palestinien ». La cour d’appel a vu au travers de sa perverse dialectique
et l’a condamnée pour «incitation à la
haine ou à la violence» contre les Juifs israéliens. En première instance, la justice militante avait pris ses distances avec le
droit afin de relaxer l’extrémiste anti-israélienne (non, Zemor n’est pas
pro-palestinienne : elle est restée indifférente au massacre des Palestiniens
de Yarmouk en janvier 2015 tout comme aux assassinats de centaines de
Palestiniens du Fatah lorsque le Hamas a gagné les élections à Gaza en 2007). Mais la cour d’appel de Paris, prenant
une certaine hauteur, a infirmé aujourd’hui la relaxe et l’a condamnée à 1 000
euros d’amende avec sursis, un euro de dommages et intérêts que réclamaient le Bureau
national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et la Chambre de
commerce France-Israël, ainsi que 1 500 euros de frais de justice, pour avoir
mis en ligne, en juillet 2009, une vidéo tournée dans un supermarché d’Évry
appelant au boycott des produits israéliens. Le président du tribunal, considérant les propos de Zemor d’ «outranciers», l’a jugée «coupable
d’avoir provoqué à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de
personnes, les producteurs israéliens, à raison de leur appartenance à une
nation déterminée, l’État d’Israël ». C’est une décision importante, même s’il est recommandé de ne pas
rêver qu’un changement judiciaire s’est enclenché, car elle relie enfin
l’antisionisme radical aux agressions et meurtres de juifs, qui ont hissé la
France au triste rang des pays occidentaux qui ont agressé et tué le plus grand
nombre de juifs au 21e siècle. Rappelons que le boycott est interdit par la loi
français et par la Cour européenne des Droits de l’homme. Rappelons également
qu’en 2004, le rapport Rufin sur le racisme et l’antisémitisme commandé par le
Premier ministre concluait que l’antisionisme radical est une forme
d’antisémitisme. «Parmi toutes les formes, subtiles, d’antisémitisme par
procuration, il en est une qui doit être particulièrement distinguée car elle
émerge depuis quelques années comme forme de discours dominant : c’est
l’antisionisme radical». Ceci concerne bien évidemment Olivia Zemor,
antisioniste radicale et antisémite par procuration». Merci à Christian Larnet
pour Dreuz.info.
Vous pensez en avoir fini avec le «nouvel
antisémitisme» ? Eh bien non ! Il reste cet antisémitisme de
gauche des socialistes et de la droite molle des ripoublicains en passant par
les cocos et assimilés. La
gauche Française responsable des actes antisémites de Mehra et aussi
responsable de la quasi-totalité des actes terroristes antisémites. Depuis
des années je le dénonce, en 2011, je
me suis fendu d'un article sur le "livre"
du marxiste trotskiste Besancenot le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste
antisémite (NPA), adorateur thuriféraire de Che Guevara le communiste raciste
antisémite et homophobe assassin, responsable de milliers de morts en Afrique
et Amérique latine. Dans son «livre»
(voir
ici,
livre qui est de monsieur Michael
Löwy, un juif érev rav, un assafsouf marxiste culturel né en 1938 à São Paulo
au Brésil, «sociologue», intellocrate
marxiste et écosocialiste franco-brésilien (sic). Il a été nommé en 2003
directeur de recherche émérite au CNRS et enseigne à l’École marxiste culturelle
des hautes études en sciences sociales (EHESS) sorte d’école de Francfort
marxiste culturelle. Auteur d’ouvrages sur Marx, György Lukács, né György
Löwinger (un autre juif érev rav marxiste, grand criminel contre l’humanité,
créateur avec Lénine et Münzenberg des thèses marxistes culturelle et de
l’école de Francfort), Walter Benjamin et Franz Kafka, il a reçu en 1994 la
médaille d'argent du CNRS, sorte de prix Staline) qui fait l’apologie de
l’assassin homophobe et antisémite Ernesto Guevara dit le bou «Che» (Eh oui le petit facteur est aussi
un homme de lettre par procuration bien sûr), il nous soutient que le
communiste raciste et antisémite Guevara avait cette qualité rare chez les
acteurs de la scène politique : la cohérence entre les paroles et les actes. En
bon panégyriste Besancenot nous affirme que de ce point de vue, Guevara était
exceptionnel, et cette singularité serait pour beaucoup dans l'attraction
morbide qu'il exercerait aujourd'hui encore à travers le monde des gauchistes
et autres antisémites primaires et marxistes. Le livre de Besancenot
s'apparente à un acte de foi, marxiste trotskiste léniniste, à un cierge qu'on
pose devant une icône religieuse. De rigueur dans la confrontation des sources,
d'honnêteté intellectuelle, il n'en est pas question comme chez tout bon
collectiviste et marxiste culturel. Gageons qu'un militant du NPA, Le Nouveau
Parti Antijuif (?), lisant le texte aimera le livre qui confortera ses
nauséabondes idées reçues, d’autant plus si il est de confession musulmane (Si,
si ; il y en a au NPA !). Mais pour toute personne disposant d'un minimum
d'esprit critique, ce copier-coller de propagande communiste collectiviste sera
bien vite lassant et insupportable de bêtise crasse.
Il faut dire qu’au niveau Guevara je ne m’étais pas
arrêté là cliquez
ici
ou là.
J’ai aussi récemment écrit à ce propos : Gardez à l'esprit en lisant les citations qui suivent que l’assassin et
gangster communiste raciste homophobe et antisémite dégénérescent Ernesto
Guevara dit Le Che ou le Boucher qui les a proférées était un
médecin (sic) qui parlait sans cesse de l'ignorance et des préjugés mesquins
des gens de toutes classes sociales.
Citations de The
Motorcycle Diaries (Le livre):
«Les noirs, ces
magnifiques exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté
raciale grâce à leur manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont
vu leur territoire envahi par un nouveau type d'esclaves: les Portugais».
«Le noir est
indolent, nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté
et en boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et
d'économie qui l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se
promouvoir lui-même, indépendamment de ses propres aspirations».
**********************************
Rappelons aussi également que selon Pierre
Clostermann, le raciste et assassin communiste Che, disait que les noirs
étaient «d’une sauvagerie atavique».
Pour le marxiste Guevara les personnes de couleur
qu’il nomme «noirs de la Race
Africaine» sont sales et ne se lavent pas, ils sont indolents paresseux
nonchalants rêveurs et dépensent leur salaire dans les boissons alcooliques. Il
ne manque plus au tableau du bon communiste marxiste raciste, que
l’antisémitisme, le racket du gangstérisme mafieux marxiste et l’homophobie
communiste ; patience on y vient : avec cette autre citation de The Motorcycle Diaries:
«La première
personne sur qui nous frappons était le maire, quelqu'un appelé Cohen; nous
avions beaucoup entendu parler de lui, qu'il était juif et qu’il n’était intéressé que par l’argent, ce qui régla son
sort (…) L'épisode
nous vexe un peu, parce que l’homme, était en plus homosexuel et un ennemi de
la classe ouvrière de premier ordre et il avait pourtant été très agréable pour
nous, nous donnant 10 Dollars chacun,
apportant notre total à 479 pour moi et 163 1/2 à Alberto».
C’est cet «homme» là, un grand pacifiste et progressiste qui a dit aussi : «Les Mexicains sont une bande d'analphabètes Indiens».
Dans son testament il loue «la haine efficace, violente, sélective et froide machine à tuer».
Il dit aussi comme tous les marxistes et autres
socialistes qu'il ne peut pas être «ami»
avec quelqu'un qui a des idées contraires aux siennes. Quelle chance j’ai alors
de ne pas être comme par exemple messieurs Besancenot, Poutou ou Mélenchon et
de ne pas partager comme eux avec le Che ses idées racistes, homophobes
antisémites et maffieuses de gangster marxiste!
Même l’ancien compagnon du Bou «Che» en Bolivie, Régis Debray, déclarait à son sujet : «La haine brute fait de cet homme une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer». Fidel Castro le leader maximo, lui conseillait alors de tuer tant que cela sera nécessaire: «Notre lutte est une lutte à mort». Pour l’idéologie socialiste nauséabonde des marxistes culturels et autres militants d’En Marche qui a déjà fait la bagatelle de cent cinquante millions de morts… Le «Che» antisémite raciste et homophobe, serait un grand humaniste de gauche communiste ? Mais de qui se moque le NPA ? Vous n’avez même pas un soupçon de «rouge» au front de honte camarades ?
Même l’ancien compagnon du Bou «Che» en Bolivie, Régis Debray, déclarait à son sujet : «La haine brute fait de cet homme une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer». Fidel Castro le leader maximo, lui conseillait alors de tuer tant que cela sera nécessaire: «Notre lutte est une lutte à mort». Pour l’idéologie socialiste nauséabonde des marxistes culturels et autres militants d’En Marche qui a déjà fait la bagatelle de cent cinquante millions de morts… Le «Che» antisémite raciste et homophobe, serait un grand humaniste de gauche communiste ? Mais de qui se moque le NPA ? Vous n’avez même pas un soupçon de «rouge» au front de honte camarades ?
Encore un «détail
de l’histoire» pour cette fois en finir. On notera qu’à l’instar de
Staline, les marxistes culturels utilisent peu le terme de «nazi» qui serait pourtant plus approprié que le mot «fascisme» qu’ils ont en permanence
Allah bouche, créé par l’Italie
mussolinienne toutefois elle aussi socialiste.
C’est que «nazi»
vient de la contraction allemande de «national-socialisme»,
convenablement traduit on devrait même dire social-nationalisme, par exemple la
voiture du peuple en allemand, la Volkswagen ne se traduit pas par
peuple-voiture ! La Volkswagen une création du troisième Reich était la voiture
du peuple. Il est peu connu qu’avant la guerre, le désir du chancelier Hitler
qui était ne l’oublions pas socialiste est
que chaque allemand puisse s’offrir une voiture, car l’Allemagne venait de se
doter d’un large réseau d’autoroutes qui restaient désertes (L’homme politique
allemand Adolph Hitler (1889-1945), né autrichien, était socialiste
un homme de gauche comme Mélenchon. Il était le chef du
NSDAP, parti socialiste-national des ouvriers allemands (National-sozialistische
Deutsche Arbeiterpartei). Il faut traduire national-sozialistische par «socialiste-national» et non par «national-socialiste» comme on le fait
presque toujours à tort, puisque l’ordre des mots n’est pas le même en français
qu’en allemand. Ainsi, Hitler et son parti étaient socialistes avant d’être «nationaux» ou nationalistes. «Nazi» est une abréviation péjorative
(elle-même dérivée de l’argot Berlinois) forgée par les adversaires d’Hitler et
rejetée par ses partisans pour National-Sozialistische. (On a eu l’astuce de
prendre la deuxième syllabe du second mot, «zi»,
et non la première, «so», comme il
eût été normal, parce que «naso» aurait
été trop transparent et que l’on aurait deviné sozialistische ou socialiste
dans cette abréviation argotique…). L’usage quasi exclusif du mot «nazi» sert à dissimuler
la nature socialiste du régime hitlérien ; il relève de la désinformation et de
la propagande. Le
chancelier du troisième Reich Hitler déclara en 1934: «Le socialisme-national emprunte le
socialisme vital et créateur aux enseignements du marxisme». Socialiste,
Hitler n’était évidemment pas de droite, encore moins d’extrême droite ! Hitler
était un homme de gauche). L’ingénieur Ferdinand Porsche, voyant dans le projet
de la Volkswagen l’occasion de réaliser son plus vieux rêve : fabriquer un
modèle de voiture populaire, lui fit une proposition en ce sens,. Les
prototypes de ce véhicule appelé provisoirement KdF-Wagen, (Kraft durch Freude
également nom d’une des principales organisations du parti Social Nationaliste
des Travailleurs Allemands) apparaissent en 1936. Le projet tel que le voulait le
Socialiste Hitler s’accompagnait d’une formule de financement révolutionnaire
basée sur la constitution d’une épargne par achat de timbres dans les bureaux
de l'organisation KdF), la Staline tout
autant Socialiste qu'Hitler, régnant sur une nation autoproclamée
«socialiste», ne pouvait donc
l’utiliser dans sa propagande qu’avec parcimonie. Alors, que «fascisme», ne renvoyant pas directement
au «socialisme», était plus aisément
utilisable. Les marxistes culturels d’aujourd’hui dont les petits merdeux du
black bloc en 2018 ont suivi cette tradition soviétique (à la télé, j’ai suivi
très récemment l’interview d’une gamine
des Blake blocs qui disais «lutter contre
le fascisme» en cassant des vitrines). Comme quoi !
**********************************
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Michel Alain Labet de Bornay pour le CTECNA
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