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Le président d’ En marche, Emmanuel Macron, s’est assez
mollement positionné contre la campagne antisémite BDS de boycott.
Mais car il y a un mais ! Et un gros ! Monsieur
Richard Ferrand, membre du Parti socialiste, député du Finistère, secrétaire
général du mouvement En marche depuis
octobre 2016 et bras droit d’Emmanuel Macron, a financé l’association marxiste
culturelle émanation directe du Parti Communiste se disant Français France
Palestine Solidarité avec sa réserve parlementaire 2016. Un financement pour «frais de fonctionnement» destiné à
l’antenne locale (le groupe Centre-Bretagne) de l’association, qui, pour sa
branche nationale, explique pourtant sur son site marxiste culturel et
antisémite (pléonasme) : «le
fonctionnement de l’ AFPS repose uniquement sur les cotisations de ses 4400
adhérents, ainsi que des soutiens ponctuels que ceux-ci ou leurs amis apportent
à l’occasion de souscriptions spécifiques. L’ AFPS ne reçoit strictement aucune
subvention externe, publique ou privée pour son fonctionnement courant».
Proche de Jean-Yves Le Drian – il présidait le groupe
socialiste au conseil régional de Bretagne – le camarade Ferrand, soutient
donc, via des fonds publics, une association qui a pour objet «de développer l’amitié et la solidarité
entre le peuple français et le «peuple» palestinien (qui n’existe pas) et d’œuvrer pour l’établissement d’une paix
juste et durable au Proche-Orient fondée sur la reconnaissance des droits
nationaux du peuple palestinien, sur la base du droit international» (fameux
«droit» qui n’existe pas plus que le
fameux «peuple» palestinien).
En 2016, il s’était déjà ému de l’interception d’un
bateau de militants socialos marxistes culturels qui voulaient se rendre à Gaza
et fait le relais auprès de Jean-Marc Ayrault, alors Ministre des Affaires Étrangères, des revendications de l’association communiste et fasciste rouge l’ AFPS.
Cet engagement public du camarade Ferrand en faveur
d’une association plus que controversée pose une grave question. En effet,
Emmanuel Macron aurait officiellement une position différente sur celle ci. Il
a cependant déjà été accusé de dérapage lorsqu’il avait attaqué les écoles
juives où l’on enseignerait, selon lui, «la
torah plus que les savoirs fondamentaux».
Fin 2014, l’antenne locale de Carhaix de l’association marxiste
culturelle et antisémite France Palestine Solidarité a ainsi mené une action illégale
de «boycott, désinvestissement, sanctions»
(BDS) auprès des trois grandes surfaces de Carhaix et sur le marché local. BDS
est un regroupement de collectifs bidons et d’associations – principalement
d’extrême gauche (voir la liste des antisémites qui
soutiennent BDS ici) personne ne s’étonnera d’y voir Le
Collectif des Musulmans de France, la CGT sous toutes ses formes, Le Parti de
Gauche (vous savez, la France insoumise au grand capital cosmopolite de Jean
Luc Mélenchon), le NPA (Nouveau Parti Antisémite), ATTAC France le fameux
mouvement ou le MRAP qui distille de la haine des juifs est membre fondateur
etc. – qui a pour objet notamment de «sanctionner
la politique d’Israël». D’après le tract distribué ce jour-là sur le marché
de Carhaix, «la politique criminelle du
gouvernement israélien contribue à la montée de l’extrémisme et de
l’antisémitisme».
Le collectif appelait alors à boycotter les produits
des colonies et en provenance d’Israël. Pourtant, aujourd’hui, cet appel est
totalement illégal en France. Un article du Monde de novembre 2015 expliquait
alors : La Cour de cassation a confirmé la condamnation par la cour d’appel de
Colmar de 12 militants du mouvement Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS)
à 28 000 euros de dommages et intérêts aux parties civiles et chacun à une
amende de 1 000 euros avec sursis. Il leur est reproché d’avoir, le 26
septembre 2009 pour les uns et le 22 mai
2010 pour les autres, participé à une manifestation dans un magasin
Carrefour à
Illzach, près
de Mulhouse (Haut-Rhin), «
appelant au boycott des produits en provenance d’Israël ». Ils portaient des tee-shirts avec le
slogan « Palestine vivra, boycott Israël »
et distribuaient
des tracts aux clients sur lesquels était
écrit : «
Acheter les produits importés
d’Israël,
c’est légitimer
les crimes à
Gaza, c’est
approuver la politique menée par le gouvernement israélien ».
Et Le Monde de poursuivre : «La campagne BDS lancée par des militants pros palestiniens en 2005 à
travers le monde fait l’objet depuis 2010 de poursuites systématiques dans
l’Hexagone. Une circulaire aux procureurs datant de février 2010 – Michèle
Alliot-Marie était alors ministre de la Justice – visait spécifiquement les «appels au boycott de produits israéliens » et recommandait aux
parquets d’apporter
« une
réponse ferme». Mais les tribunaux
et cours d’appel ont hésité et divergé, entre annulations de poursuites,
relaxes au nom de la « liberté d’expression» et condamnations au
titre de la «provocation
à la discrimination». Désormais, l’interprétation de la Cour de cassation s’impose à tous. Seuls les boycotts décidés
par l’État, à savoir les embargos, sont légaux.
L’association France Palestine Solidarité Centre
Bretagne, est bien financée par Richard Ferrand, bras droit d’Emmanuel Macron –
on parle de lui comme Premier ministre
en cas de victoire de ce dernier -, continue toutefois de relayer les actions
et les demandes des antisémites de BDS. En savoir plus cliquez ici sur J Forum.fr le portail
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Richard Ferrand lui-même avait adressé une question à
la garde des Sceaux en 2015 afin de savoir si les poursuites judiciaires contre
les militants gauchistes appelant au boycott des produits israéliens se
poursuivraient.
Si monsieur Macron me fait penser à Mussolini le
fasciste et sa Marche sur Rome, Ferrand lui me fait penser à Pierre Laval le
député maire socialiste d’Aubervilliers premier Ministre du maréchal Pétain.
Après que le socialiste François Mitterrand idole de
monsieur Macron ait le 1er février 1935 participé à la manifestation de
l'Action française contre «l'invasion
métèque» (en fait les médecins étrangers autorisés à exercer en France) manifestations
ou sont conspués les noms de médecins ou de professeurs à consonance juive.
Après que les socialistes et les communistes Français
aient voté le 10 juillet 1940 les pleins pouvoirs au Maréchal Philippe Pétain.
Après que Pierre Laval, maire socialiste
d’Aubervilliers et Franc maçon du Grand Orient ait début juillet 1942, proposé
aux nazis de livrer les Juifs étrangers vivant en zone non occupée en y
joignant leurs enfants.
Après que le socialiste François Mitterrand ait en mars
1943 prêté serment d’allégeance au Maréchal de France Philipe Pétain et reçu
l’Ordre de la Francisque.
Après que l’on ait vu le socialiste copain de monsieur
Macron Manuel Valls sur une photo issue
d’un livre paru en Angleterre en mai 2013 où il côtoie tout sourire Terry
Cooper un néo-nazi et amant de Françoise Dior, néo-nazie elle aussi et qui fut
mariée à Colin Jordan, figure représentative du mouvement social Nationaliste (Nazi)
de la Grande-Bretagne d’après-guerre.
Monsieur Ferrand apporte son soutien à une Association
d’antisémite ! Ferrand c’est le Laval de Macron le nouveau
Mussolini !
Un soutien étonnant, et même contradictoire avec les
dernières déclarations d’Emmanuel Macron à ce sujet, puisque ce dernier, lors
de sa tournée au Proche-Orient, avait réitéré son rejet du BDS : «Le boycott d’Israël a été condamné par la
France et il n’est pas question de revenir là-dessus». Par contre Emmanuel
Macron a refusé de s’exprimer sur l’idée
d’une reconnaissance de l’État de Palestine, avant même la conclusion d’un
accord de paix. Simple complaisance vis à vis des islamistes du Hamas.
Au niveau national, l’association antisémite et
marxiste culturelle France Palestine Solidarité, soutenue financièrement par
Richard Ferrand, est de plus dénoncée pour sa complaisance vis à vis du Hamas,
mouvement islamiste fondé par les terroristes djihadistes Frères musulmans. Il
prône la destruction de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique
palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine mandataire,
c’est-à-dire incluant l’État d’Israël, la Cisjordanie et la bande de Gaza.
Un article paru sur le site de l’association en 2009,
intitulé «Qu’est-ce que le Hamas ?» interroge
: «Si l’on pense qu’il faut faire évoluer
le Hamas, comment le faire sans dialoguer avec lui ? N’est-ce pas le dialogue
européen avec l’ OLP qui a permis d’avancer ? ». Un autre relayait un
plaidoyer pour enlever le Hamas de la liste des organisations terroristes.
En 2015, Jean-François Larosière, président de la
section Nord Pas de Calais de l’association écrivait par ailleurs : « Nous
réaffirmons notre soutien à la résistance palestinienne à Gaza, où l’Union
Européenne persiste dans sa volonté de placer le Hamas, l’une de ses forces
principales, parmi les organisations terroristes. Fidèle au mandat du dernier
congrès, l’ AFPS Nord-Pas de Calais poursuit son combat pour que Hamas et FPLP
sortent de la liste européenne des organisations «terroristes».
A l’heure actuelle, ce mouvement est en effet classé
organisation terroriste au Canada, aux États-Unis, en Israël, en Egypte et au
Japon. Malgré une procédure judiciaire qui a annulé cette décision,
l’organisation est par ailleurs inscrite sur la liste des organisations
terroristes dressée par l’Union européenne.
Malgré de nombreux conflits ayant opposé ces dernières
années le Hamas et l’État islamique, une politique «d’apaisement» serait actuellement à l’oeuvre, notamment dans la bande
de Gaza. «La coopération dans la bande de
Gaza entre le Hamas et le groupe Wilayat Sinaï, affilié à l’organisation de
l’État islamique (EI), qui mène une
guérilla dans le Sinaï égyptien, est repartie de plus belle ces dernières
semaines, affirment les responsables du Shin Beth israélien». peut-on lire
sur la lettre d’informations stratégiques et de défense (TTU on line).
Pour revenir sur la subvention accordée par le très
socialiste et marxiste culturel Richard Ferrand à l’association locale antisémite
et marxiste culturelle AFPS Centre-Bretagne, certains voient dans ce soutien
immonde et affiché et subventionné à la «cause»
palestinienne un calcul électoral qu’avait déjà fait François Hollande en son
temps : séduire l’électorat musulman, l’électorat de banlieue.
«C’est
porteur de soutenir la Palestine ou les causes arabes dans les banlieues»
nous déclare un membre de l’association France-Israël qui nous explique que la
plainte visant Emmanuel Macron après ses propos sur la colonisation en Algérie
(qualifiée de «crime contre l’humanité» par
ce dernier) aurait elle aussi «augmenté
la cote» de ce dernier dans certaines cités à forte population d’origine
immigrée. «Le plus marxiste culturel dans
le jeu dramatique de ces élections, c’est Macron, non seulement émanation par
excellence du hollandisme mais aussi l’inconsistance et la vacuité
personnifiées. Son discours à Alger laisse par ailleurs prévoir le pire sur les
questions qui concernent directement les Juifs», explique par ailleurs sur
Actualité Juive le sociologue Shmuel Trigano.
En 2012, selon une étude du corps électoral menée par
OpinionWay et Fiducial le 6 mai 2012 pour Le Figaro sur 10 000 votants, 93% des
musulmans pratiquants avaient glissé un bulletin «François Hollande» dans leur enveloppe. Seuls 7% d’entre eux
avaient voté pour Nicolas Sarkozy.
Une bonne raison pour soutenir financièrement la «cause» palestinienne antisémite, tout
en affirmant publiquement le contraire !
L’article du vendredi 24 mars à propos de la subvention
allouée par Richard Ferrand, lieutenant d’Emmanuel Macron, a fait du bruit. Et
ce dimanche 26 mars, le député et conseiller régional a fini par réagir, dans
un article intitulé «Pour en finir avec
une rumeur de la fachosphère».
Une rumeur… qui n’en est pas une !
Tout d’abord, les révélations ne sont nullement
une «rumeur»
puisque Richard Ferrand confirme lui-même
l’objet principal de notre article : il a accordé 2000 euros de sa réserve
parlementaire à l’Association France Palestine Solidarité (AFPS). Cette
association, outre les actions dites caritatives qu’elle mène, soutient le
mouvement de boycott d’Israël et des produits israéliens et réclame la sortie
du Hamas de la liste des mouvements terroristes dressée par l’Union européenne.
Ensuite, M. Ferrand en bon marxiste culturel semble
oublier qu’à Nantes, jeudi 23 mars, alors que le journaliste de Breizh-Info.com
voulait lui poser des questions – et notamment celle concernant la subvention –
ce dernier a tout bonnement refusé de répondre. Pour Richard Ferrand, il
s’agissait de «soutenir un projet d’équipement mobilier d’une classe de jeunes
filles dans le camp d’El Aroub en Palestine».
Problème, sur le site Internet de la réserve
parlementaire il est clairement indiqué que la subvention a été allouée en «frais de fonctionnement». Sur le site
Internet de l’Association Antisémite et marxiste culturelle France Palestine
Solidarité, on trouve effectivement un article concernant cette école. Et l’on
apprend d’ailleurs que la mairie de Carhaix, dont Christian Troadec est le
maire, ainsi que le conseil départemental du Finistère, mais aussi le PC osant
se dire F, la CGT et les Chrétiens contre la torture ou encore la Banque
populaire soutiennent eux aussi l’initiative.
Quoi qu’il en soit, aussi noble que soit la création
d’une école, il n’en reste pas moins que l’association antisémite et marxiste
culturelle qui porte ce projet est plus que très controversée. Vouloir aider
des populations soi-disant défavorisées doit-il primer sur la nécessité de se
renseigner sur les bénéficiaires de ses donations ? Concernant l’usage de la
réserve parlementaire, de nombreux députés indiquent également attribuer des subventions
en «frais de fonctionnement». Mais
d’autres détaillent aussi parfaitement l’attribution des deniers publics.
Cette affaire – au-delà des critiques qu’elle a suscité
concernant la remise de l’argent public dans les poches d’une association dont
de nombreux membres ont été condamnés pour incitation à la haine raciale
antisémite – ne manquera pas d’interroger sur la finalité de la réserve
parlementaire. De nombreuses personnes demandent la suppression pure et simple
de cette pratique jugée clientéliste et, surtout, parfaitement opaque.
Le secrétaire général d’En Marche de poursuivre : «Le
projet était porté par l’antenne centre-bretonne de l’association
France-Palestine, avec à sa tête M. Jean-Pierre Jeudy, Maire honoraire,
professeur retraité, et diverses personnes engagées dans la vie associative
locale».
Le 28 janvier 2016, M. Jeudy écrivait une lettre au
Premier ministre dans laquelle on pouvait lire : «L’appel au boycott est pourtant le seul moyen pacifique et non-violent
à la disposition des citoyens pour alerter l’opinion sur cette situation. C’est
aussi le meilleur moyen de couper l’herbe sous le pied à ceux qui prennent
prétexte du conflit israélo-palestinien pour justifier aussi bien
l’antisémitisme que le recours à des dérives violentes». Avant de conclure
: «Persuadé que pour faire progresser la
loi il faut parfois savoir la transgresser, de nombreux exemples vous viennent
à l’esprit, je n’en doute pas, je continuerai donc avec mes camarades de
l’AFPS, à distribuer des tracts appelant au boycott des produits israéliens.
Après l’arrêt de la cour de cassation condamnant des militants de l’AFPS pour
des faits identiques, et en attendant la jurisprudence de la cour européenne,
j’espère seulement que le gouvernement que j’ai contribué à élire en votant
pour François Hollande en 2012 ne me traduira pas en justice à 70 ans passés». A
mon avis pour les antisémites il n’y a pas d’age pour aller en prison !
Et Richard Ferrand de terminer son billet : «Je ne le regrette pas, n’en déplaise aux
imbéciles qui cherchent des «révélations» ou de dérisoires polémiques à partir
de faits publics, parfaitement légitimes et assumés».
Un soutien d’ En
Marche parfaitement assumé, donc, à une organisation marxiste culturelle
communiste et antisémite l’AFPS qui soutient ouvertement l’immonde boycott illégal
et raciste des produits israéliens.
Pour le CTECNA
Pour le CTECNA
Michel Alain Labet de Bornay
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