Vous pouvez regarder la vidéo ou vous comprenez
facilement qu’aujourd’hui à l’ère du politiquement correct on appelle un
musulman antisémite (Pléonasme), un déséquilibré ou un fou
Le 30/03/2017 on a pu lire sur le site du BNVCA (Bureau
National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) ce communiqué : «Le BNVCA est indigné par un rapport inique
qui pointe les banques françaises qui investissent en Israël. Le BNVCA condamne
la FIDH (Fédération internationale des droits de l'Homme) et de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme) qui
se comportent avec l'Etat juif comme les délateurs antijuifs des années 40. Le
BNVCA reçoit les protestations de très nombreux correspondants profondément
indignés par les dénonciations visant des Banques françaises qui investissent
en Israël. Le BNVCA et tous ses requérants dénoncent et condamnent ces
délations scandaleuses qui font à l'Etat juif aujourd'hui ce qui se faisait
contre les juifs dans les années 40. Les auteurs de ce rapport, La Fédération
Internationale de Droits de l'Homme, et ses comparses de la C G T ou de la
prétendue Ligue des Droits de l'Homme sont coutumiers du fait. Leur activisme
palestiniste est connu pour être de cette nature antisioniste qui pousse à
l'acte antijuif. Le rapport ne fait état que des investissements effectués en
Israël accusés de construire pour la vie et le bien être des juifs qui ont
choisi ce pays refuge. Ce rapport partisan est d'autant plus cynique et
discriminatoire que les mêmes auteurs ne se sont jamais intéressés, n'ont
jamais dénoncé, ni condamné les faiseurs de guerre, et tous ceux qui
investissent dans le terrorisme international en général, destructeur au proche
orient, tue en Europe en général et en France en particulier. Les mêmes
délateurs restent silencieux à propos de ceux qui vendent et fournissent armes
et munitions aux djihadistes, aux terroristes du Hamas, du Hezbollah et autres
islamo terroristes. Pour le BNVCA il est désormais clair que ces prétendues
FIDH et LDH Fédération et Ligue des Droits de l'Homme, sont intellectuellement
corrompues au point de défendre les droits de l'homme sauf s'il est juif. Le
BNVCA encourage les investisseurs à s'engager plus encore en Israël, pays
leader dans les progrès technologiques les plus innovantes du monde dans tous
les domaines utiles à tous les êtres de la planète».
Encore une fois et comme toujours le BNVCA
fait l’impasse sur les origines politiques des nouveaux antisémites marxistes
culturels qui sévissent maintenant dans le monde entier, ce nouvel
antisémitisme est l’odieux concept d’une
nouvelle forme d'antisémitisme qui s'est énormément développée à la dernière
moitié du XXème siècle et au début du XXIe siècle, émanant simultanément de la
gauche et de l'islam et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme
et à l'État d'Israël. Cet antisémitisme de gauche, a en France, des origines
profondes qui remontent au Stalinisme et même plus loin, au marxisme léninisme
et au marxisme culturel élaboré par Wilhelm Münzenberg. En France les
communistes, socialistes et assimilés, NPA, EELV, Front de gauche, LDH, MRAP
qui distille de la haine des juifs etc.,
sans oublier certains «républicains»
sont tous fondamentalement antisémites, ce qu’oublie de dire
(volontairement ?) le BNVCA. Ils sont tous plus ou moins antisémites tout
en affirmant bien sûr le contraire. Voyez-vous amis ; Pierre André Taguief
écrivait à propos de l’antisémitisme qu’il en existe deux formes : «L'une persistante, et bien connue, le vieil
antisémitisme inhérent à une extrême droite (aujourd’hui fantasmée en France) ou au nationalisme xénophobe (en voie de
disparition chez nous, tout aussi fantasmé par les gauchus fascistes rouges ou
très très anecdotique dans les marges de l'espace politique français avec seulement quelques centaines de petits
branleurs abrutis néo-nazis ou sociaux nationalistes, skinheads, et. pour
l’ensemble du territoire national sans assise politique), l'autre en très forte
expansion (plusieurs centaine de milliers de militants, sans compter les
musulmans intrinsèquement antisémites), dont
les principaux vecteurs sont la propagande des réseaux d’ultra gauche (marxistes
culturels et islamistes et les démagogues ces nouveaux gauchistes marxistes,
les fascistes rouges)», notons aussi les
néo-communistes et autres fascistes rouges du PC se disant F, syndicalistes CGT
et néo-gauchistes, alter mondialistes et nihilistes d’ATTAC ou du MRAP, le
délicat mouvement qui distille de la haine des juifs, EELV (dont le Jérusalem+
dira sans se tromper qu’ils sont : «toujours
aussi cons et antisémites»), trotskistes antisémites du NPA, militants et
membres du Front de Gauche ou de la LDH, anarchistes «Antifas» ou «Black Bloc»
et autres lobotomisés libertaires, marxistes culturels et abrutiles musulmans
nidoreux et enfin tous les médias Français, exploitant tous massivement «la cause palestinienne», célébrée comme
«cause universelle» par la gauche
déliquescente de monsieur Hamon, Mélenchon et de type En Marche de monsieur Macron. On peut y voir la nouvelle expression
du tiers-mondisme marxiste culturel et communiste et de l'idéologie marxiste
révolutionnaire dite aussi marxiste culturelle: la fausse image du Palestinien
martyr remplace avec celle de l’immigré clandestin le prolétaire en «lutte» pour la société sans classe
collectiviste.
Michel Alain Labet de Bornay président du Collectif
Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme (CTECNA) dans un livre qui vient
de paraitre nommé Note 9 avance dans celui-ci que cet antisémitisme est
exclusivement l’enfant de la gauche Française. Quelques extraits du chapitre 8
sont éclairants sur ce point et le silence continuel du BNVCA sur les origines
politiques des nouveaux antisémites. Ci-après extraits choisis du chapitre
8 : «Roger Perelman était né Rachmil Boruch Perelman à Varsovie en 1922 (son
prénom sera plus tard «francisé» en
Roger). Son père Chaskiel Perelman émigre en 1923 à Paris, où il est rapidement
engagé chez un tailleur réputé. Il y fait l'objet d'un arrêté d'expulsion, mais
un des clients qu'il habille est Horace de Carbuccia, «propriétaire de Gringoire, hebdomadaire politique et littéraire
français de droite fondé en 1928 par Horace de Carbuccia assisté de Georges
Suarez et de Joseph Kessel, très lu tout au long des années 1930, parmi les
collaborateurs du journal il y avait Irène Némirovsky, fille d'un riche banquier juif
d'Odessa, écrivain d'origine russe, juive convertie au catholicisme. Après le
début de la guerre, Gringoire est le seul magazine qui a continué à la publier,
sous pseudonyme, garantissant ainsi à sa famille le revenu dont elle avait
désespérément besoin, jusqu’à son arrestation, en 1942, par la gendarmerie
française et sa remise aux nazis». (…) Le jeune homme fréquenta on l’a vu, le Yiddisher Arbeter Sport
Club. Roger Perelman repensant à sa jeunesse au sein de cette organisation
soi-disant yiddish mais pleinement marxiste culturelle et à la faiblesse de la
formation théorique qui l’a reçue à cette époque observera : «j’étais endoctriné sans savoir la doctrine,
pratiquant d’une foi transmise par le seul contact avec les porteurs de la foi (…)
cette foi imposait un engagement total, la subordination absolue de la vie
privée aux exigences de la lutte». Si j’ai parlé de Perelman survivant de
la barbarie nazie et d’Auschwitz, c’est que ce pédiatre de renom et devenu un
homme de gauche par les mensonges permanents du marxisme culturel. L’adhésion
aux idées de «gauche» procédait et
c’est lui qui le dit d’une foi plus ou moins éclairée appuyée sur des certitudes
absolues débouchant comme chez les premiers chrétiens ou les témoins de Jéhovah
sur des espérances captivantes. L’idéal «rouge»
pouvait dès lors être considéré comme une sorte d’acte religieux remplaçant les
vieilles allégeances métaphysiques. Les «fidèles» en étaient venus à s’exprimer avec des mots issus du
vocabulaire religieux, ainsi Artúr Kösztler dit Arthur Koestler, lui aussi un
homme du «trust» Münzenberg,
d’origine hongroise juive ashkénaze et de langue allemande, cofondateur du
Betar (mouvement de jeunesse sioniste révisionniste) se converti pour un temps
à la religion séculière marxiste en entrant au Parti Communiste Allemand en
1931 et en sortant en 1938, en raison des procès antisémites de Moscou. Arthur Koestler évoquera toutefois dans ses soi-disant souvenirs : «la merveilleuse expérience sociale» se
déroulant en URSS et la «justice», la
«prospérité», «l’égalité» qui en
découlait (Et tout cela
malheureusement sans rire !) conclura : «Bref nous étions
à tous égard du côté des Anges». Allan Stewart Konigsberg dit que
Woody Allen lui dira : «Dieu
est mort, Marx est mort et moi-même, je ne me sens pas très bien...». (…) il existe bel et bien un antisémitisme spécifique à la gauche et à la
fausse droite dite républicaine. Du début de la révolution industrielle à nos
jours, toutes les composantes de la gauche ont tenu et tiennent toujours des
propos antisémites et ont poussé et poussent encore à la haine des juifs.
À l’antisémitisme économique associant
les Juifs au capitalisme, exprimé par de nombreux socialistes au 19ème et 20ème
siècle, s’est ajouté un antisémitisme racial et xénophobe à partir des années
1880. Au lendemain de l’affaire Dreyfus, tournant fondamental, l’antisémitisme
n’est plus revendiqué ouvertement dans les rangs de la gauche. Mais il n’y
disparaît pas pour autant et on le voit encore à l’œuvre, dans
l’entre-deux-guerres, à la SFIO et chez les pacifistes, au sein du Parti
communiste, puis pendant la dernière guerre chez les mêmes qui ont voté les
pleins pouvoirs à Pétain et on fait partie du fameux gouvernement de Vichy à
99% Socialiste. Je n’ai été que l’instrument de Dieu, voilà ce que Drumont
journaliste et écrivain socialiste, antisémite et nationaliste français écrira
au sujet de la rédaction de son pamphlet fleuve, La France Juive. Véritable compilation de ragots et de soupçons
antisémites en tous genres, ce livre, paru en 1886, sera l’un des plus grands
succès d’édition de la fin du XIXème siècle, assurant à l’auteur un confort
matériel certain. Succès évidemment dans les milieux de la gauche socialiste et
anarchiste, séduite par le côté anticapitaliste de l’antisémitisme. Encore un
mot sur cet antisémitisme socialiste en parlant un instant d’Ernest Granger. Un
des plus proches disciples de Blanqui, cofondateur du Comité Révolutionnaire
central. Rédacteur en chef du Cri du
peuple après la mort d’Eudes. Rédacteur au journal Ni dieu ni maître. Antisémite, partisan du socialisme national. Il
disait : «Nous aussi, après Blanqui
et Tridon, nous sommes, philosophiquement, des antisémites. Nous pensons que le
sémitisme a été funeste au génie aryen et nous déplorons que le sombre,
persécuteur, impitoyable monothéisme juif ait triomphé des libres et
naturalistes religions gréco-romaines. A cet égard, nous sommes même beaucoup plus
antisémites que Drumont et Morès, car nous, nous n'oublions pas que le
christianisme est une religion sémitique, fille du judaïsme, et nous avons une
égale horreur du juif Jésus et du juif Moïse» (Cité dans GR, p 202) ; Il
sera député boulangiste (Boulangisme: Rassemblement national et socialiste sous
le nom du général Boulanger) de la Seine en 1889 et traité d’ «idiot» par Engels, exaspéré par le
chauvinisme du socialisme français. Connaissez-vous aussi par exemple un certain Gustave Paul Cluseret ? Ce membre de
l’Internationale Socialiste combat avec Garibaldi en Italie et avec les
nordistes pendant la guerre de Sécession américaine. Elu de la commune de
Paris. Délégué à la guerre en avril 1871. Condamné à mort, il réussit à
s’enfuir. Il est amnistié en 1880. Député boulangiste du Var. Le socialiste Cluseret et un antisémite
militant. En 1887, il entraîne une partie des Blanquistes dans une alliance
avec la Ligue des Patriotes de Déroulède, il est aussi collaborateur du journal
antisémite de Drumont La Libre parole. Antidreyfusard. En
1885, avec d’autres députés d’extrême-gauche, il dépose un projet de loi de
limitation du droit des naturalisés. En 1889, il fait partie des 198 députés
qui demandent au gouvernement «quelles
mesures il comptait prendre pour arrêter la prédominance des juifs dans les
diverses branches de l'administration française».
Cet antisémitisme socialiste forcené ce retrouve après-guerre, à
l’ultragauche, sous la forme du négationnisme. Faisons ici la preuve de l’antisémitisme de cette gauche
radicale antisémite et négationniste au travers du cas de madame Ginette
Hess-Skandrani ou Ginette Skandrani militante «écologiste» (Pastèque : Vert dehors, rouge dedans) membre fondatrice
du Parti d’ultra gauche les Verts,
aujourd’hui Europe écologie. Elle fut une des membres du bureau de campagne du
pseudo humoriste, mais véritable antisémite Dieudonné M’bala M’bala pour
l'élection présidentielle de 2007. Elle est actuellement présidente de
l'association La Pierre et l'Olivier.
Beaucoup de ses écrits ont été repris sur le site négationniste Aaargh
(interdit en France et rendu inaccessible par décision de justice, mais
facilement consultable librement sur le net). Elle a participé au journal
tunisien L'Audace édité par Slim
Bagga qui a soutenu Roger Garaudy (Ginette Hess-Skandrani est coéditrice du
pamphlet antisémite et faux Manifeste
judéo-nazi d'Ariel Sharon).
Jean Claude
Fernand Willem maire communiste de Seclin, après en 2002 un dépôt de plaintes
pour incitation au boycott des produits juifs, fut poursuivi pour le délit de
provocation à la discrimination nationale, raciale, religieuse par parole,
écrit ou moyen de communication audiovisuelle (art. 23 et 24 de la loi sur la
presse du 29 juillet 1881). La relaxe en première instance fut infirmée au
stade de l’appel et le maire fut condamné à une amende de 1 000 euros. La
Chambre criminelle de la Cour de cassation rejeta le pourvoi de ce dernier en
2004 confirmé par l’arrêt du 16 juillet 2009 de la Cour Européenne des Droits
de l’Homme, monsieur Jean Claude Willem communiste, était bien un raciste
antisémite, point barre! Il est bien sûr certain hormis quelques gens
sérieux, dont votre serviteur, quasiment personne n’a donné la couleur politique
de monsieur Willem. Le 22 mai 2012 était condamnée par la cour de cassation Sakina Arnaud
membre de la Ligue des Droits de l’Homme, pour sa participation à la campagne
antisémite marxiste culturelle Boycott-Désinvestissement-Sanction (BDS) dans sa
région. Et pour «incitation à la
discrimination raciale, nationale et religieuse» à une amende pénale de 1
000 euros, plus 1 euro de dommages et intérêts pour les parties civiles
(l’association Avocats sans frontières de Gilles-William Goldnadel, qui venait
d’être élu à la direction du Conseil représentatif des institutions juives de
France, et la Chambre de commerce France-Israël) et 500 euros de frais de
justice. Il est évident que l’appartenance à la LDH de madame Arnaud née Kimoun
sera tenue quasiment secrète par tous ce petit monde très politiquement correct
(dont bien, sur le BNVCA) !
La vraie honte c’est que le BNVCA a pompé sans vergogne mes recherches
faites sur un des inculpés pour les faires condamner tous, sans jamais citer la
couleur politique d’ultra gauche marxiste de ces antisémites ; d’autant
que le cas gravissime de l’enseignant d’Henri Eichholzer est particulièrement
emblématique de cet antisémitisme récidiviste de gauche marxiste parmi les cas
des malfaiteurs antisémites «Français»
(Dans le lot des délinquants de Mulhouse, Mahomet Akbar n’est pas Français,
mais de nationalité Afghane). (…) Monsieur Henri Eichholzer enseignant agrégé
d’histoire/Géographie au Lycée Montaigne à Mulhouse, militant de l’AFPS68 (organisation
marxiste culturelle et communiste antisémite pro Hamas, bras armé d’une annexe
du Parti Communiste osant ce dire Français) partie intégrante de la nébuleuse
de la haine rouge marxiste culturelle crée en 1921 par Willy Münzenberg. L’AFPS
était dirigée par son fondateur, Jean-Claude Lefort 72 ans ancien membre de la
Jeunesse communiste (bureau national) et en 1964 du Parti communiste s’affirmant
Français qui avait été de 1971 à 1979 le secrétaire particulier du raciste et
travailleur volontaire en Allemagne nazie Georges Marchais. (Le vieux slogan mystificateur des «amis» de Georges: «Nous ne sommes pas antisémites puisque nous étions antifascistes !» avait
déjà servi en 1945 à berner les masses juives reconnaissantes à l'égard des
victoires des alliés de l’Allemagne nazie jusqu’en Juin 1941 l'URSS, afin de
leur cacher la réalité stalinienne antisémite et négatrice de leur identité.
Cette permanence d'arguments ne doit rien au hasard, car la gauche Française
avec une partie de la droite et du centre n'ont pas aujourd'hui envers les
juifs de politique différente de celle développée en ex URSS et en Pologne communiste
contre eux. C'est d'ailleurs ce qui les rend si peu combatifs et si peu
convaincants dans la dénonciation de l'antisémitisme en ex URSS ou régnait un
fascisme rouge qui n’avait rien à envier au brun. Dans ce pays, celui-ci était officiellement
condamnable aux yeux de la loi. Mais comble de tartufferie, les juifs n'avaient
pas le droit d'y exister en tant que juifs. Dans leurs différences. Le fascisme
brun brûlait les juifs dans leur corps et ce que Georges Marchais et les
marxistes culturels d’aujourd’hui appellent le «socialisme» de ces pays, ce qui était en vérité un pur fascisme
rouge bureaucratique d'Etat, qui non content de les éteindre dans l'esprit en a
exterminé plus de trois millions sous Lénine et Staline (Voir Note9 par Alain
de Bornay Cliquez
ici.). Jean-Claude Lefort
devient en 1983 le secrétaire de la Fédération du Val-de-Marne du Parti
communiste. Il est député honoraire. A 27 ans Henri ou Henry Eichholzer avait
déjà des «idées» particulièrement
nauséabondes, puisqu’il avait été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de
district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP,
organisation terroriste placée sur la
liste officielle des organisations terroristes du Canada, des États-Unis
d'Amérique et de l'Union européenne, organisation marxiste partie de
l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) les preuves de ses liens
avec l’organisation de criminels communistes antisémites de l’OLP avaient été
trouvées par les forces israéliennes à Beyrouth. L'accusé, inculpé et
définitivement condamné pour incitation à la haine raciale antisémite, Henri
Eichholzer n’en est pas à son coup d’essais, en effet il avait notamment été
chargé en 1978 de prendre des photos des 36 étages de la Shalom Tower, plus
haut bâtiment de Tel Aviv, et de les transmettre aux terroristes antisémites du
FPLP qui projetaient un attentat. Il a affirmé qu'il ne reconnaissait pas que
les photographies aient été conçues comme un guide pour les terroristes qui
prévoyaient de poser des bombes dans le bâtiment qui abrite les bureaux du
gouvernement, des entreprises et un grand magasin. Le
camarade Eichholtzer avait été arrêté en Août 1983 lors d'une visite en Israël.
Ses liens avec les communistes du FPLP avaient été confirmés par les documents
trouvés à Beyrouth. Il avait été discrètement gracié par Shimon Pères à la
demande de François Mitterrand sous la pression des ministres communistes de
l’époque. (Source The Jewish Florida du 30 Mars 1984).Le BNVCA mis au courant
et en faisant état au procès n’en soufflât mot dans ses communiqués !
Le marxisme culturel et le politiquement correct a complétement vérolé
toute une partie des Français de quelques confessions religieuse que ce soit,
ceux de confession Israelites ayant été par les organisations de Münzenberg
plus ciblées que les autres, ceci explique peut-être cela.
Le 25 janvier 2006, l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe
condamnait officiellement «les violations
massives des droits de l’homme commises par les régimes communistes». Le
Parlement européen reconnaissait, en 2008, l'Holodomor en Ukraine (Le génocide
organisé par les communistes qui a fait 9 millions de mort) comme «un crime effroyable perpétré contre le
peuple ukrainien et contre l'humanité». Faisant de ce fait d’un communiste
d’aujourd’hui un complice de crimes contre l’humanité à l’instar d’un social
nationaliste ou néo nazi ! L’Holodomor cet épisode atroce de famine organisée et exécutée sans pitié au nom de
l’abominable idéologie marxiste, devrait être enseigné dans les classes
d’histoire, car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre
pays :
Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au
nazisme, part d’une bonne intention.
Le deuxième mythe consiste à faire croire que le socialisme
internationaliste et le socialisme nationaliste des nazis n’ont absolument rien
en commun, grâce à une petite ruse sémantique.
Si au lieu de
traduire le mot «nationalsozialismus»
par «national-socialisme» qui est un
germanisme, on le traduit en bon français par «socialisme national» là, ça change tout et ça… socialistes,
marxistes culturels et autres roses vermines, sans oublier les communistes et autres petites taches rouges du Front de
Gauche bien sûr ne le veulent pas ! Le marxisme, doctrine du socialisme, c’est la guerre des classes, et la
guerre des classes implique de liquider une partie de la population. Car pour
restructurer la société, il faut d’abord éliminer non seulement les opposants
politiques, mais aussi les intellectuels (très souvent juifs), les
meilleurs travailleurs (souvent juifs aussi), les artistes non conformes à la doctrine, etc. C’est
le genre d’ingénierie sociale qu’ont mis en œuvre Lénine, Staline, Mao, Pol Pot
et Mugabe, pour ne citer que les socialistes les plus sanguinaires. Cette
ingénierie sociale forcée répond aussi à des critères ethniques lorsque des
peuples entiers sont considérés comme trop «réactionnaires».
Karl Marx prônait lui-même «l’extermination
des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que les Basques, (?) Les Bretons
(?) et les Highlanders d’Écosse», tous peuples trop peu évolués pour la
révolution socialiste et faisant ainsi obstacle à l’inéluctable «progrès…» de l’humanité. Robert Misrahi, dans un Marx et la question juive, en 1972, l’accusera d’avoir écrit «un des ouvrages les plus antisémites du
XIXe siècle», où serait lancé, ni plus ni moins qu’un «appel au génocide». Ce
fut mis en œuvre par le socialiste internationaliste de Lénine dès 1918, puis
par le socialisme dans un seul pays de Staline puis par le socialisme
nationaliste d’Hitler qui avait décrété que «les
races nuisibles au progrès socialiste de l’Humanité» étaient cette fois les
Juifs, les tziganes, les homosexuels et les personnes de couleur, entre autres…
Le décret 0054 du NKVD soviétique du 28
novembre 1940, publié en pleine période du grand amour entre les communistes et
les nazis, précisait : «Doivent exclus de
la société socialiste…les membres de partis politiques, les personnes qui ont
été exclues du parti communiste, les réfugiés, les étrangers (NB : les juifs étaient considérés comme des
étrangers en Russie soviétique), les personnes qui ont voyagé à
l’étranger, les personnes qui font de l’espéranto ( ?), les philatélistes (
??), le personnel de la Croix Rouge, les personnes qui mènent une activité
paroissiale, les membres du clergé, les membres actifs des communautés
religieuses (notamment
les juifs), les aristocrates, les
propriétaires terriens, les commerçants aisés, les banquiers, les industriels,
les restaurateurs et les hôteliers (les trois dernières catégories
comportaient une très forte proportion de juifs)…».
Eh bien voilà, en
exclusivité pour les lecteurs du blog du Collectif
Tous Ensemble Contre le Nouvel Antisémitisme, vous venez de lire quelques
extraits du Livre d’Alain de Bornay Note 9, les curieux ne voulant pas
mourir idiots et qui veulent commander Note 9, le
livre aux 558 très belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme
et des lettres latines, formant des mots en un Français de France digne des
plus grands auteurs classiques, c’est simple cliquez sur : Note 9
Philippe Val a dit dans Traité
de savoir-survivre par temps obscurs : «Quand commence la vie privée ? Quand un individu s'isole pour lire un
livre. Voilà pourquoi le totalitarisme, qu'il soit communiste ou fasciste,
brûle d'abord les livres. C'est parce qu'ils sont la clef qui ouvre la porte de
la vie privée». Vous aussi ouvrez la porte, commandez Note 9 pour cela cliquez là sur : Note 9 !
On a pu lire au début de notre article que sur le site
du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme est paru un communiqué :
Le BNVCA est indigné ! Communiqué
ou
encore une fois et comme toujours le BNVCA fait l’impasse sur les origines
politiques socialistes et marxistes des nouveaux antisémites qui sévissent en
France.
Mes fidèles lecteurs savent depuis septembre 2012 à
la mort de monsieur le président élu démocratiquement à vie Mouloud Aounit
ou j’écrivais: La mort devrait effacer tout : Les critiques, les récriminations
et les rancunes. On ne doit jamais se réjouir de la mort d’un homme, même quand
il s'agit de son pire ennemi. Mais en guise de nécrologie, il faut avouer
qu’Israël et le CTECNA n’ont pas perdu en Mouloud Aounit un ami. Mouloud Aounit
un marxiste culturel a certes consacré toute sa vie au combat contre le
prétendu «racisme» et il n’a pas
dévié d’un poil de sa ligne directrice collectiviste en se faisant le chantre
des ennemis d’Israël. Marxiste convaincu, il s'est politisé à sens unique.
Président du Mrap de 2004 à 2008, il s’était rapproché de ces camarades du
Parti Communistes, des staliniens français et des gauchistes trotskistes du NPA
avec qui il avait souvent manifesté dans les rues de Paris ou les cris de «mort aux juifs» s’élevaient des rangs
des militants antiracistes en toute impunité. A ce titre donc, il se sentait
obligé d’orienter ses attaques contre l’État juif. Il a fréquenté et défendu
ouvertement des antisémites et des négationnistes notoires comme son camarade
de Parti Garaudy, son coreligionnaire Tariq Ramadan ou l’antisémite Dieudonné
dont il cautionnait les thèses nauséabondes et les attaques contre Israël. Élu
au conseil régional d'Île-de-France, en tant que tête de liste en
Seine-Saint-Denis de la liste de rassemblement menée par le Parti Communiste se
disant Français, il n’obtint pas la vice-présidence pour des «propos contestables» tenus dans le
passé. Par dépit, il avait alors affirmé que le président Huchon «était aux mains du lobby juif». Ses
attaques contre Israël étaient devenues courantes au point qu’il évitait les
commentaires sur les attentats du Hamas et du Djihad Islamique et préférait
concentrer son réquisitoire uniquement contre Israël. Il avait appelé au
boycott des produits israéliens dans le cadre d’une passe d'arme entre
intellectuels et associations de lutte contre le racisme. Il s’était alors
permis des propos qu’aucun raciste n’aurait désavoués : «N'y a-t-il pas aujourd'hui un apartheid en Israël? Le combat que nous
menons reste fidèle à l'éthique et à l'identité du Mrap. Nous ne sommes pas là
pour dénoncer les israéliens en tant que peuple ou en tant qu'individus, mais
le fait que l'État d'Israël organise et structure une certaine forme
d'apartheid. Quand les États et la communauté internationale ne sont pas
capables d'agir face aux violations du droit international perpétrées par
Israël, il est bien que les citoyens puissent le faire. Et je suis fier de
faire partie de ce combat».
Pour un défenseur du racisme, il devenait clair qu’il
avait franchi la ligne jaune qui le plaçait dans le camp des antisémites.
Monsieur Cyclopède nous a prouvé qu’un communiste n’a pas d’âme, ainsi celle de
Mouloud ne pourra pas reposer en paix aux côtés de ceux qui ont combattu en
vain l’État juif et qui sont partis au paradis d’allah con, niquer les 72
vierges ou les petits garçons et se bourrer la gueule au gros rouge du fleuve
de vin qui coule au dit paradis, sans laisser de trace indélébile. Il n’y retrouvera
donc pas ses amis collectivistes ou musulmans qui ont voué leur vie terrestre à
la destruction de l'Etat juif, si ce n’est de son peuple. S’il est impossible
d’évaluer avec précision les dégâts provoqués par les agissements nauséabonds
des imposteurs des faux mouvements «antiracistes»,
il n’en reste pas moins que ceux-ci continuent à prendre une ampleur non
négligeable. De plus combien de gens savent que ce mouvement marxiste culturel
le MRAP «distille de la
haine des Juifs en général !». Citation de Maurice Winnikamen
tirée de Grandeur et misère de
l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? (page 203) Aux Editions Tribord.
Il est pour le moins curieux que monsieur Sammy Ghozlan président du BNVCA ait
été «ami» avec le président d’un
mouvement qui distille de la haine des juifs ; va comprendre
Charles !
Ainsi nous ne comprenons pas qu’à l’époque le BNVCA ai
pu nous pondre un communique pareil: Extrait : « Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme apprend
avec tristesse le décès de Mouloud AOUNIT président du MRAP (…) Mouloud Aounit
était un ami personnel de Sammy Ghozlan depuis plusieurs années. Ensemble; ils
ont œuvré pour le rapprochement des communautés, et lutté contre les
discriminations, le racisme et l'antisémitisme, notamment dans le département
de Seine Saint Denis. Dépassant leurs opinions quelquefois divergentes, ils se
sont souvent concertés, afin de de désamorcer des situations conflictuelles et
parfois dangereuses. Militant courageux, honnête et engagé, Mouloud AOUNIT
était aussi membre du Conseil d'Administration du groupe scolaire juif, CHNE OR
d'Aubervilliers, pour lequel il avait favorisé l'obtention de subventions du
Conseil Régional d'Ile de France, lors de son mandat d'élu de cette
collectivité territoriale ».
Faire le panégyrique d’un antisémite par ce qu’il
aurait donné 3 sous qui ne lui appartenaient pas à une école confessionnelle,
c’est faire peu de cas du don en l’année 2000 sur le budget du Mrap d'environ
600 000 euros (Entièrement subventionné par de l’argent public) au «Comité de bienfaisance et de secours aux
Palestiniens», placé en 2003 par Washington sur une liste noire
d’organisation terroriste. Ce qui lui valut un refus de demande de visa
pour les états unis pour cause de soutien matériel à une organisation
terroriste antisémite.
C’est faire peu de cas aussi de la « collecte » réalisée sur le compte bancaire de la Mouvance Radicale Acquise aux Palestiniens pour l’action antisémite «Un bateau pour Gaza» ou des fonds publics furent attribués pour cet immonde acte de guerre contre Israël par une «association» Française subventionnée !
C’est faire peu de cas aussi de la « collecte » réalisée sur le compte bancaire de la Mouvance Radicale Acquise aux Palestiniens pour l’action antisémite «Un bateau pour Gaza» ou des fonds publics furent attribués pour cet immonde acte de guerre contre Israël par une «association» Française subventionnée !
Ainsi cette «amitié»
avec le BNVCA ne peut peut-être s’expliquer qu’en faisant foi aux déclarations
étonnantes faites dans le communiqué et la lettre ci-dessous. Cliquez
ici.
Communication écrite au Président de l’ECOSOC (Conseil
économique et social de l’ONU) relativement à l’Organisation Non
Gouvernementale française MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié
entre les peuples), qui possède le statut consultatif auprès de l’ECOSOC,
depuis 1974.
De : Michel Dakar le 4 février 2010
A Hamidon Ali, Président du Conseil Economique et Social – ECOSOC de l’Organisation des Nations Unies. (…) votre attention sur la réalité de l’ONG française MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), dont le but affiché sert à dissimuler son but réel qui en est exactement le contraire.
A Hamidon Ali, Président du Conseil Economique et Social – ECOSOC de l’Organisation des Nations Unies. (…) votre attention sur la réalité de l’ONG française MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), dont le but affiché sert à dissimuler son but réel qui en est exactement le contraire.
1 - L’origine réelle du MRAP est à découvrir dans les
organisations juives sionistes américaines formées au début du 20ème siècle,
pour pousser la population juive européenne à l’émigration coloniale en
Palestine. En 1913 est apparue aux USA l’organisation juive
ADL (Anti Defamation League). Comme sa dénomination l’indique, son but réel,
l’émigration coloniale juive en Palestine, était dissimulé derrière la défense
morale de la communauté juive. Il est à noter qu’en 1908, apparurent en
Palestine le «Bureau palestinien», destiné à l’achat de terre pour la
colonisation juive, ainsi que le «Land Development Compagny», destiné à aider
économiquement l’implantation juive coloniale en Palestine. En 1922, la
Palestine passe de la domination turque à la domination anglaise, du fait de
l’effondrement de l’Empire turc et de la défaite allemande de 1918, l’Empire
turc ayant été l’allié de l’Allemagne durant la première guerre mondiale. En
1927 en France, fut formée sur le même principe que l’ADL, l’organisation juive
dénommée LICA (Ligue contre l’antisémitisme), qui sous couvert de lutter contre
les atteintes morales aux juifs, sert en réalité à favoriser l’émigration
coloniale juive en Palestine. Il est à noter qu’en 1929 en Palestine, les
conséquences de l’émigration coloniale juive sur la population arabe indigène
commencent à être impossibles à masquer, car de fortes émeutes anticoloniales
éclatent. En 1947, le plan de partage de la Palestine est adopté par l’ONU,
sous la contrainte des organisations juives sionistes américaines. L’ONU était
à l’époque constituée de 60 pays.
En 1948, par la terreur, 800 000 arabes sont chassés
de leurs terres, par les organisations juives sionistes, pratiquant les
massacres à grande échelle, comme au village de Deir Yassin dont la totalité de
la population fut anéantie. Il est à noter que c’est dans le périmètre des
terres de Deir Yassin qu’a été édifié le Mémorial mondial de la Shoah, le
centre Yad Vashem, commémorant le génocide nazi. En 1949 en France, fut formé le MRAP. Cette organisation, sous couvert
de lutte contre le racisme est en réalité une extension de la LICA sioniste. Le
MRAP a été mis en place par un dirigeant de la LICA, Charles Palant, qui en a
été ensuite le secrétaire général durant 20 ans. L’actuel président du MRAP est
un français d’origine arabe, Mouloud Aounit. Il occupe ce poste depuis 20 ans.
En 1979 en France, la LICA (Ligue contre
l’antisémitisme) change officiellement sa dénomination pour celle de LICRA
(Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). Il est à noter qu’au
Proche-Orient, Israël a envahi le Liban en 1978.(…) Le MRAP est l’une des organisations mises en place par les
organisations juives sionistes pour encadrer en France l’opposition au génocide
des Palestiniens. Le but réel du MRAP est inavouable, puisque ce but
réel est le génocide et le racisme. C’est pourquoi le MRAP pour dissimuler son
but réel, porte cet intitulé qui est le contraire exact de son but réel (lutter
contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples), et qu’on a placé à sa
tête un président d’origine arabe, lequel n’est qu’un simple homme de paille,
un prête-nom des organisations juives sionistes.
2 – L’activité actuelle du MRAP. En décembre 2008 et janvier 2009, Israël a tenté d’envahir l’immense
zone concentrationnaire de Gaza, (…). Depuis, Israël tente d’asphyxier alimentairement
et médicalement ce qui est le plus grand camp de concentration et
d’extermination de toute l’histoire humaine. Il s’agit de génocide. Le
MRAP a publié fin 2009 un rapport de 154 pages intitulé «Internet, enjeu de la
lutte contre le racisme». Ce document qui est anonyme, constitue un travail de
fichage de tous ceux qui en France s’opposent réellement au génocide en
Palestine. Dans ce document, le MRAP exprime que le sionisme est un
courant de pensée politique comme les autres, déniant publiquement son
caractère exceptionnel, puisque intrinsèquement fondé sur le racisme et le
génocide. Il est à relever que le MRAP est le guide de la répression
judiciaire en France, et que ce rapport constitue donc le vade-mecum de la
police politique en France, en matière de persécution visant les opposants au
génocide en cours de la population palestinienne. Ce rapport est à la fois un
argumentaire et une liste de cibles à abattre.
3 – Il est à noter que l’entreprise de dissimulation
de la nature réelle du MRAP se déploie dans plusieurs domaines.
Le MRAP dissimule sa véritable origine en se targuant
de provenir de la résistance au nazisme. Le MRAP
s’évertue à lancer des dénonciations et des poursuites judiciaires à l’encontre
d’organisations et de personnes qui font montre d’un racisme exacerbé,
caricatural, envers les arabes et les musulmans, ceci pour brouiller la
compréhension de sa réelle fonction. Il est à noter que ces personnes et
organisations sont toujours manipulées en sous-main par les organisations
sionistes, sinon qu’elles sont de simples articulations de ces organisations.
Dans la même logique, le MRAP dénonce les exactions sionistes en Palestine.
Les organisations sionistes s’évertuent à attaquer publiquement le MRAP
comme favorisant partialement les arabes et les musulmans, ceci de même pour
brouiller la compréhension de sa réelle fonction. En espérant etc. etc.
… respectueuses salutations. M. Dakar
Lettre publiée à l’adresse suivante :
http://www.aredam.net/mrap-devoilement.html
http://www.aredam.net/mrap-devoilement.html
Lire le rapport du MRAP :
http://www.aredam.net/rapport.MRAP2009.pdf
http://www.aredam.net/rapport.MRAP2009.pdf
Toutefois il est bon de dire que ce monsieur «Dakar» est un antisémite notoire
considéré comme «fou» par le
politiquement correct alors qu’il devrait être mis en détention.
C’est sur son blog
antisémite plein de fautes de Français «La banlieue s’exprime» qu’il traite les
membres de la LDJ de bande d’enculer (on dit enculés monsieur Dakar!) et
de juifistes !
Il dit aussi à propos de monsieur Fabius : «vous méritez vous aussi la guillotine comme
pour BHL et Sarkozy» ; menaces de mort non ? Ce blog antisémite
et raciste qui n’existe plus sous cette forme aujourd’hui ne semblait pas
déranger à l’époque le MRAP, c’est vraiment étonnant non ?
Maintenant pour en revenir au BNVCA qui n’annonce pas
la couleur politique toujours de gauche, musulmane ou islamomarxiste, sans
qualifier son président monsieur Ghozlan de marxiste culturel avant qu’il ait
répondu à cet article, j’exprime un doute, car voilà un homme Français de 74
ans, de confession israélite, commissaire de police parisien à la retraite qui
n’a eu de cesse de tirer la sonnette d’alarme contre le raz-de-marée d’attaques,
de menaces, de manifestations publiques antisémites menées contre les français
de confession israélite qui sévissaient dans notre «douce France», sans jamais au grand jamais, dire de qui venaient
cet antisémitisme viscéral. Je vais vous le dire monsieur Ghozlan cet
antisémitisme est essentiellement de nature marxiste culturelle soit de gauche
avec le soutien du terrorisme musulman et de musulmans qui éructent des «mort aux juifs» dans les manifestations
à l’instigation de la gauche et particulièrement de vos «amis» du MRAP, qui je vous le rappelle et c’est pas moi qui le dit,
distille de la haine des juifs !
Il semblerait que cet ancien commissaire dans la
banlieue de Paris, qui a créé à sa retraite le BNVCA aurait installé une liaison très privilégiée entre la police française et la communauté
juive, alertant les deux côtés en cas de menaces antisémites ou d’attaques
contre des Juifs. Là aussi je m’interroge, est-ce là bien démocratique et n’y
aurait-il pas lieu là d’y voir une sorte de «privilège» ou
de «discrimination», pourquoi en
France les écoles confessionnelles chrétiennes ne sont-elles pas gardées par
des forces armées ?
Monsieur Ghozlan est parti vivre sa retraite en Israël
à l’été 2015 mais il affirmait qu’il retournerait souvent en France et il
dirigerait toujours le BNVCA.
Un portrait qui lui était consacré dans l’édition
d’août 2015 de Vanity Fair intitulé «Paris brûle» extrait : « Here,
barely a mile and a half from the Galeries Lafayette, the heart of bourgeois
Paris, the chants: “MORT AUX JUIFS! MORT AUX JUIFS!” Death to the
Jews. It was Saturday, July 26, 2014, and a pro-Palestinian demonstration
turned into a day of terror in one of the most fashionable neighborhoods of the
city.
Ce portrait le décrivait comme un «Colombo sépharade» et comme un «Yves
Montand amoché» et expliquait qu’il s’était bâti sa réputation de policier
anti-terroriste en identifiant comme sympathisants palestiniens et non
néo-nazis les terroristes qui avaient perpétré l’attentat contre la synagogue
de la rue Copernic en 1980 au cours duquel quatre personnes avaient été tuées.
Vanity Fair aurait dû préciser qu’à
72 ans l’audition de monsieur Ghozlan devait laisser à désirer et que les «morts aux juifs» éructés à Paris par
nos «chances pour la France» islamomarxistes,
mrapistofurieuses et musulmanes aucun membre du BNVCA de plus de 70 ans ne les
avaient entendues !
Ah ! En plus avec l’attentat de la rue Copernic on
touche au sublime du mensonge politiquement correct. Encore une belle
manipulation marxiste culturelle ! Cet attentat antisémite à la bombe du 3
octobre 1980, à 18h38, dirigé contre la synagogue de l'Union libérale israélite
de France, rue Copernic à Paris, fait quatre morts et quarante-six blessés.
Philippe Bouissou (22 ans) qui passait en moto est tué sur le coup. Aliza
Shagrir (42 ans), présentatrice de télévision israélienne en vacances en
France, est également tuée sur le coup alors qu'elle marchait sur le trottoir,
tout comme Jean Michel Barbé, chauffeur d'une famille qui fréquente la
synagogue. Hilario Lopez-Fernandez, le concierge espagnol de l'hôtel Victor
Hugo, situé presque en face du temple, est grièvement blessé et décède deux
jours plus tard.
Venons-en à cette manipulation marxiste culturelle
lamentable. Moins d'une heure après l'attentat, un correspondant anonyme
téléphone à l'Agence France-Presse pour revendiquer l'attentat au nom des
Faisceaux Nationalistes révolutionnaires, un groupuscule d'extrême droite, reconstitution
de la Fédération d'Action Nationale et Européenne (FANE), organisation dissoute
par le gouvernement le 3 septembre et qui ne comptait en tout et pour tout que
quelques dizaines de militants. Seulement
voilà, un an après l'attentat, Jean-Yves Pellay, responsable du Service d’Ordre
de la F.A.N.E. reconnaît être l'auteur de l'appel anonyme à l'Agence
France-Presse et avoue être en fait un militant sioniste qui a infiltré cette
structure. Il déclare au journal le Matin: «On
m'a demandé d'infiltrer la FANE» !
Les défilés prennent prioritairement pour cible une
extrême droite quasiment inexistante à l’époque en France et le gouvernement de
droite alors au pouvoir.
Monsieur Albert Levy un fasciste rouge, secrétaire
général du MRAP, ancien instituteur communiste et «journaliste» à l’organe de la haine rouge l’Humanité, attribue lui l’attentat à un groupe «néo-nazi» sans attendre les résultats de l’enquête. Le lien avec
les images de l’INA : http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/CAB8001440501/mrap.fr.html
Là où l’affaire se corse comme on dit à Bastiat, c’est
qu’à l’appel du MRAP qui n’était pas encore National, le 7 octobre 1980, un
véritable enfumage, une manifestation prétendue contre le racisme mais dirigée
en fait contre, ce que les «gentils»
militants du Mrap mouvement qui distille de la haine des juifs qualifiait
d’extrême droite ! Extrême droite fantasmée à qui le MRAP, un tantinet haineux
contre les patriotes Français, attribuait injustement l’immonde attentat, c’est
ainsi que l’on avait vu défiler 200 000 personnes (Idiots utiles) entre Nation
et République. Plusieurs députés de gauche bien sûr et de la fausse droite
ripoublicaine, véritables abrutiles s’y joignent, tous partis confondus.
Pendant plus de 30 ans le délicieux mouvement marxiste culturel antisémite persistera
dans le mensonge et la mauvaise foi et commémorera l’événement avec des
messages de haine et autres proclamations contre une «extrême droite» prétendue antisémite qui n’existait plus que dans
son imagination fertile et débridée de vénérables idiots utiles alors que ce
développait l’antisémitisme gauchiste, marxiste culturel et islamomarxiste.
Car il est depuis environ 20 ans prouvé que l’attentat
de Copernic a été commis par un commando d’arabes marxistes du Front populaire
de libération de la Palestine Opérations spéciales (FPLP-OS, branche dissidente
du FPLP). Quoi que nous baillez-vous là ? Le FPLP ? Vous voulez parlez du
fameux Mouvement Marxiste Antisémite le
FPLP dont le jeune «Français»
né à Jérusalem le terroriste palestinien condamné à 7 ans de prison Salah Hamouri l’antisémite,
est membre actif ? Salah Hamouri membre du FPLP Le chouchou du MRAP et de
toutes les «forces» de progrès ? Oui celui-là
! A merci on comprend mieux maintenant le silence «assourdissant» comme ils disent du MRAP sur les éléments de
l’attentat de Copernic.
Le samedi 4 octobre, le Comité de liaison des
étudiants sionistes socialistes (CLESS) organise un défilé aux cris de «Bonnet, Giscard, complices des assassins
!». La campagne présidentielle vient de débuter et le socialiste Jean-Pierre
Chevènement dénonce dans Le Monde la «véritable
osmose [qui] s'est créée entre une
partie du personnel dirigeant giscardien et l'extrême droite...».
La police comme la DST ont cependant la certitude que
la FANE n’a pas commis l’attentat et privilégient la piste marxiste moyen-orientale.
En novembre une note de la police criminelle allemande transmise à Paris,
précise que l’attentat a été commis par un commando de Palestiniens de cinq
personnes venues du Liban.
Le commissaire de police Jean-Pierre Pochon décrit
dans son livre les pressions exercées par le nouveau pouvoir politique
socialiste pour diriger l'enquête vers les milieux d'extrême droite au
détriment de la piste communiste moyen-orientale. En juillet 1981, Gaston
Deferre, nouveau ministre de l'Intérieur, exige encore que les policiers
orientent leurs recherches vers les «milieux
d'extrême droite».
Aujourd’hui, ce serait donc monsieur Ghozlan qui se
serait bâti sa réputation de policier anti-terroriste en identifiant comme «sympathisants» palestiniens les auteurs
de l’attentat de Copernic. Que ne l’avait-il dit avant !
Le rôle d’une véritable «organisation» antiraciste, comme se qualifie le MRAP serait de
qualifier le «délit» raciste, de
désigner l’agresseur et d’être solidaire des victimes. Or, depuis quelques
années le MRAP qui distille de la haine des juifs minimise des agressions
anti-juives d’une gravité inouïe et retournent les accusations contre les
victimes ; surtout quand il s’agit d’actes racistes anti-juifs commis par
des «jeunes» comme ils disent, issus
de l’immigration et le plus souvent musulmans. Le MRAP publie des proclamations
qui sont des chefs-d’œuvre de double langage, d’abord il condamne l’agression
ou l’attentat, puis il cherche un autre responsable que le responsable réel,
(Le Maréchal Pétain, le gouvernement, l’extrême droite qui n’existe pas) et
enfin ils rendent responsables de ces actes anti-juifs les Juifs eux-mêmes, ou
bien Israël. Ce double langage condamne l’antisémitisme sans en qualifier les
auteurs et en minimise la gravité.
Condamner l’antisémitisme sans en qualifier très
nettement les auteurs comme le fait systématiquement le BNVCA fait plus qu’en
minimiser la gravité.
Pour le secrétariat du CTECNA.
Illisible
Le
lien pour commander Note 9,
livre aux 558 très belles pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme
et des lettres latines formant des mots en Français de France, c’est simple
cliquez sur le lien Note 9
Information contrôlée exempte d’antisémitisme.
Information contrôlée exempte d’antisémitisme.
Ce matériel peut être publié, diffusé ou
redistribué dans la mesure de la citation de la source.
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