Eh oui il n’y a pas plus français que les Juifs ! Et
pourtant ils partent ...
L’année passée 5000 Juifs ont quitté la France pour
Israël. Il parait que c’est moins qu’avant. Et alors ? C’est 5000 de trop.
Bien que De Gaulle ait parlé des Juifs comme d’un
“peuple d’élite” il faut ici, et d’emblée, rassurer tous ceux qui n’ont pas eu
la chance de naître juifs. Il y a chez les Juifs tout autant d’imbéciles que
chez les Normands. La même proportion de demeurés que chez les Bretons. Et un
pourcentage identique de personnages totalement dépourvus d'intérêt que chez
les Tourangeaux. Mais il y a un mais; et ce mais, le voici.
Entre les Juifs et la France un pacte a été scellé il y
a longtemps.
Au moment de la révolution de 1789. Et c’est pourquoi
dans les synagogues, il y a une prière spéciale pour la République. Pendant des
générations les enfants juifs n’ont eu aucune difficulté à ânonner “nos ancêtres les Gaulois”. Dans leurs
familles on leur apprenait à être français, très français, plus français encore
que les Français qui s'étaient juste donné la peine d’être “de souche”.
Oui les Juifs devaient être encore plus français que
les autres, car confusément, ils savaient qu’ils n’étaient pas d’ici. Et que
cela leur créait des devoirs et des obligations dont les autres étaient
dispensés. Et ils ont donc été - et sont toujours - français, à la recherche
d’une perfection dans la francitude qui ferait oublier leurs patronymes souvent
à sonorité étrangère. Y a-t-il plus français que Marc Bloch, fusillé par les
nazis, notre plus grand historien contemporain ? Y a-t-il plus français que
Raymond Aron, un philosophe qui nous honore ou que le cardinal Lustiger Juif et
archevêque de Paris ?
Quelqu’un a t’il mieux chanté la France et son identité
que le Juif polonais Finkielkraut ? Connaît-on plus franchouillard que le
dessinateur Gotlib qui créa l’inoubliable Super Dupont ? Plus gaulois que
Goscinny, le père d’Astérix, petit fils d’un rabbin de Varsovie ?
Plus
parisien, plus parigot que le chanteur Francis Lemarque de son vrai nom Nathan
? Plus cévenol que Jean Ferrat qui fut enterré sous le nom de Jean Tenenbaum?
Et Gainsbourg, ce n’était pas la France?
Pourtant des Juifs partent. Non, nous ne sommes pas
sous Vichy. La France n’est pas devenue antisémite. Mais il y a chez nous,
solidement et durablement installés, des segments de haine. Une haine de la
France et des “sales Français”. Et pour les Juifs “sales Juifs”, c’est double
peine. Pourquoi croyez-vous que depuis longtemps et bien avant les attentats,
il y a des policiers devant les synagogues ? Pourquoi y a-t-il des barrières et
d’autres policiers devant les écoles juives? Pourquoi il n’y a déjà plus de
Juifs à Sevran, à Bobigny, à Trappes et dans les quartiers nord de Marseille?
Si vous avez des enfants, trouveriez-vous normal qu’ils
aillent à l’école la peur au ventre ? Alors oui les Juifs partent. Pour un pays
en guerre où l’on risque aussi sa vie. Mais au moins là-bas l’ennemi est nommé
et désigné. Ces Juifs qui nous quittent c’est un peu de France qui s’en va. Un
gain pour Israël ? Quelle importance ! Il faut qu’ils reviennent dans le pays
qui est le leur. C’est leur mère même s’ils ont tendance à la considérer comme
une marâtre. Mais pour que cela se fasse, il faudrait peut-être que d’autres
qu’eux s’en aillent ?
Benoit Rayski
L’analyse de monsieur Benoit Rayski est fort juste mais
il oublie un paramètre, la cause de ces départs, il oublie d’expliquer le
nouvel antisémitisme qui est l’odieux concept d’une nouvelle forme
d'antisémitisme qui s'est énormément développée au début du XXIe siècle,
émanant simultanément de la gauche et de l'islam et tendant à se manifester
comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël. Cet antisémitisme de
gauche, a en France, des origines profondes qui remontent au Stalinisme et même
plus loin au marxisme léninisme et au marxisme culturel élaboré par Wilhelm
Münzenberg. En France les communistes, socialistes et assimilés, NPA, EELV,
Front de gauche etc. sont tous fondamentalement antisémites tout en affirmant
bien sûr le contraire. Voyez-vous amis ; Pierre André Taguief écrivait à propos
de l’antisémitisme qu’il en existe deux formes : «L'une persistante, et bien connue, le vieil antisémitisme inhérent à
une extrême droite fantasmée en France ou au nationalisme xénophobe (en
voie de disparition chez nous, fantasmée par les gauchus ou très très
anecdotique dans les marges de l'espace politique français (quelques centaines
de néo-nazis ou sociaux nationalistes, skinheads, etc. pour l’ensemble du
territoire national), l'autre en très
forte expansion, dont les principaux vecteurs sont la propagande des réseaux
d’ultra gauche marxistes et islamistes et la démagogie des nouveaux gauchistes
marxistes», notons les néo-communistes et fascistes rouges du PC se disant
F, syndicalistes CGT et néo-gauchistes, alter mondialistes et nihilistes
d’ATTAC ou du MRAP, le délicat mouvement qui distille ce qui est peu connu de
la haine des juifs, EELV (dont le Jérusalem+ dira sans se tromper qu’ils sont :
«toujours aussi cons et antisémites»), trotskistes du NPA, militants et membres
du Front de Gauche, anarchistes «Antifas»
ou «Black Bloc» et autres lobotomisés
libertaires, marxistes culturels et abrutiles musulmans nidoreux et enfin tous
les médias Français, exploitant tous massivement «la cause palestinienne», célébrée comme «cause universelle» par la gauche déliquescente de monsieur Hamon,
Mélenchon et de type En Marche de
monsieur Macron. On peut y voir la nouvelle expression du tiers-mondisme
marxiste culturel et communiste et de l'idéologie marxiste révolutionnaire dite
aussi marxiste culturelle: la fausse image du Palestinien martyr remplace le
Prolétaire en «lutte» pour la société
communiste.
Michel Alain Labet de Bornay dans son livre nommé Note
9 donne l’explication historique et
politique de ce fameux Marxisme Culturel souvent nommé «système», «politiquement correct», «classe», «freudo-marxisme»,
«marxisme Occidental», «néo-marxisme», «establishment», j’en passe et des
meilleures.
Pour pouvoir voter dans quelques jours vous devez
savoir que le débat politique est systématiquement aujourd’hui précédé d'un débat-culturel, le méta-débat,
le cadre conceptuel, ou encore «l'agenda
politique» (anglicisme), ou la Weltanschauung, l’émission de Ruquier avec
Yann Moix en est la preuve. En termes marxistes c’est «l'hégémonie culturelle»
ou «l'idéologie dominante». Le marxisme culturel consiste à modifier le cadre
philosophique classique Greco-latino-judéo chrétien occidental et les valeurs
de la république de manière subtile, en faveur du collectivisme et du
communisme, pour faciliter une éventuelle prise de pouvoir, le citoyen Macron
en est la plus parfaite représentation. Le marxisme culturel consiste aussi à
mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de mauvaise foi, autrement dit
avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même, dans le but de
saborder les sociétés occidentales.
Le lien pour commander Note 9, livre aux 558 très belles
pages entièrement écrites avec deux doigts de l’homme et des lettres latines
formant des mots en Français de France, c’est simple cliquez ici: http://www.leseditionsdunet.com/histoire-et-actualites/4869-note-9-michel-alain-de-bornay-9782312051109.html
Sur ce, amis, bonne lecture et meilleures salutations.
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