dimanche 21 novembre 2010

Au Parti Communiste Français flotte un léger parfum de racisme cordial.

Avertissement : Information attestée de façon formelle par la justice (Pénale en cour de cassation, par la Cour Européenne des Droits de l’homme et par un grand média les Dernières Nouvelles d’Alsace !


Le 29 novembre comparaîtrons par devant le tribunal correctionnel de Mulhouse, madame Aline Parmentier Secrétaire Départementale du Parti Communiste Français section Alsace, Farida Trichine de « Justice » pour la Palestine Alsace, Henri Eichholzer de l’AFPS 68, Mohamed Akbar Association REDA (La Dynamique présence Musulmane), et Jacques Ballouey d’ Europe Ecologie 68 avec sept autres complices dont deux membres du Parti des Indigènes de la république.

Ne doutons pas un seul instant que l’idéologie qui anime la femme politique Française du PCF et dont nous parlerons aujourd’hui ; Aline Parmentier, qu’elle nous annonce anti libérale n’est sans nul doute l’idéologie marxiste et son application le communisme si besoin est, son statut de cadre du parti communiste nous le confirme.


Le 23 juin 2007 dans une  intervention non prononcée (Mais publiée sur le net) Aline Parmentier se dévoilait et déclarait sans rire : « Dans la période de résistance (sic) à la droite et de reconstruction du Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes. »

L’inénarrable marxiste Georges Marchais, en son temps avait dit que le bilan du communisme était globalement positif. Voyons ce bilan tragique d’un peu plus près : la dictature stalinienne a fait à elle seule plus de  20.000.000 de morts. L’Afrique, le Cambodge, la Corée du Nord, le Tibet : 120.000.000. Tel est le bilan provisoire, car le communisme continue de tuer. « Le communisme tuait avant que le nazisme tue, il tuait pendant que le nazisme tuait, il continue de tuer pendant que le nazisme ne tue plus » disait Soljenitsyne. Mais pour tous ces morts pas de devoir de mémoire, on n’a même pas prévu des listes d’attente.

Voilà les lendemains qui chantent voulus par Madame Parmentier ! Un océan de sang, des fleuves de cadavres d’hommes innocents, de femmes et d’enfants, l’amnésie pour les crimes communistes contre l’humanité passés, présent et surtout à venir, l’antisémitisme forcené, le négationnisme, la falsification historique, l’occultation, les diversions, les camps d’extermination du goulag: tout est bon pour cacher la réalité des révolutions socialistes avec leurs faillites humaines, économiques et écologiques sans compter l'océan des drames humains !

A l'heure où les actions racistes et antisémites se multiplient dans la France entière et où les populations juives et Française de souche font l'objet d'un déferlement de haine, ce jugement permettra de rappeler aux proclamateurs de propos et d'actes haineux que l'antisémitisme n'est pas une opinion mais un délit.

Maintenant un fidèle lecteur et judicieux commentateur de nos articles sur Internet nous interpelle : « Concernant les actions de boycottage. Effectivement, un certain nombre d'associations ont décidés d'attaquer tout azimut ces actions arguant d'une "incitation à la discrimination raciale, nationale et religieuse". Des verdicts contradictoires ont été rendu : condamnation de Sakina Arnaud en première instance, relaxe de Alima Boumediene-Thierry et Homard Slaouti (14/10/10). Il semblerait que la chose ne soit donc pas si claire. »

Pas si clair ?Que nenni mon ami ! En ce qui concerne Madame Boumedienne et le sieur Slaouti ils ont effectivement été relaxés, mais pour vice de forme ; le procès n’a pas été jugé au fond, cette décision ne peut donc faire jurisprudence à l’inverse du cas de madame Sakina Kimoun Arnaud de La ligue des droits de l’homme condamnée en appel pour incitation à la haine raciale antisémite qui fera, n’en doutons pas, jurisprudence à Mulhouse.

Et puis surtout l’arrêt de la CEDH du 16 juillet 2009, Willem/ C France

En octobre 2002, lors d’un Conseil municipal, le maire communiste (PCF) de Seclin Jean Claude Willem, annonça son intention de «boycotter des produits israélien sur le territoire de sa commune ». La presse locale relaya cette information et le maire publia sur le site Internet de la commune une lettre expliquant sa démarche marxiste, destinée à protester contre les actions militaires du gouvernement israélien de l’époque dirigé par Ariel Sharon, et ce dans un contexte plus général d’aggravation du conflit israélo-palestinien.

Après le dépôt de plaintes, le maire fut poursuivi pour le délit de « provocation à la discrimination nationale, raciale, religieuse par parole, écrit ou moyen de communication audiovisuelle » (art. 23 et 24 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881). La relaxe en première instance fut infirmée au stade de l’appel et le maire fut condamné à une amende de 1 000 euros.
La Chambre criminelle de la Cour de cassation rejeta le pourvoi de ce dernier en 2004 (voir ici ).
La Cour européenne des droits de l’homme, saisie d’une allégation de violation de l’article 10 (liberté d’expression), a examiné si cette condamnation, ingérence aspirant à la protection des droits d’autrui, était « nécessaire dans une société démocratique ». La juridiction strasbourgeoise commence par souligner la spécificité de l’affaire par la qualité d’élu du requérant (« précieuse pour chacun, la liberté d’expression l’est tout particulièrement pour un élu du peuple ; il représente ses électeurs, signale leurs préoccupations et défend leurs intérêts » -) et l‘objet de l’expression litigieuse (« la Cour accorde la plus haute importance à la liberté d’expression dans le contexte du débat politique et considère qu’on ne saurait restreindre le discours politique sans raisons impérieuses » -), éléments qui favorisent un contrôle strict des limitations de la liberté d’expression.
Néanmoins, la Cour « constate que le requérant n’a pas été condamné pour ses opinions politiques mais pour une incitation à un acte discriminatoire », en l’occurrence « un boycott sur les produits alimentaires israéliens », à l’oral puis sur internet. A cet égard, la Cour estime qu’un maire se doit de « conserver une certaine neutralité » et de respecter « un devoir de réserve dans ses actes lorsque ceux-ci engagent la collectivité territoriale qu’il représente dans son ensemble ». Ainsi, sachant qu’il « gère les fonds publics de la commune », il « ne doit pas inciter à les dépenser selon une logique discriminatoire »

Certes tout en reconnaissant l’intention légitime de Jean-Claude Willem de lutter pour les Palestiniens, la Justice française a bien considéré qu’en l’espèce, un boycott des produits des israéliens revenait à une discrimination économique contre les producteurs de nationalité israélienne. De ce fait, elle l’a condamné à la fois comme un citoyen appelant à la discrimination sur une base nationale et comme un élu communiste manquant à la neutralité de sa charge.
La cour de Mulhouse ne condamnera pas les 12 et en particulier Madame Parmentier pour leurs opinions politiques marxistes mais pour une incitation à un acte discriminatoire antisémite soyons en sur après une pareille jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’homme.

Pour le secrétariat du CTECNA

Michel Alain de Bornay

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